Offerte à un pote Viking

La rédaction 16 février 2021

Jean-Marc, 45 ans et sa femme partent à Copenhague pour remonter le moral de leur ami danois… il sauront comment le réconforter avec une nuit coquine à trois.

Clarisse et moi vivons en couple depuis huit ans, et nous sommes toujours aussi amoureux, voici notre histoire de sexe. La quarantaine élégante, ma femme est une belle brune fine et élancée, aux cheveux bouclés tombant sur un envoûtant regard noir. J’adore plonger mon visage dans son superbe 90C. Nous avons toujours partagé nos fantasmes. Depuis longtemps, Clarisse était très excitée à l’idée que je puisse un jour l’offrir à l’un de mes copains ou à un inconnu du genre « vieux salaud » aimant « bouffer les chattes » (dixit Clarisse) !

Il y a quelques semaines, un de nos 1 amis danois, séparé depuis peu, nous a invités à passer un week-end dans sa maison près de Copenhague. Costaud, plutôt blond, August est en pleine forme à 62 ans et en fait bien dix de moins. Après un dîner un peu arrosé, au cours duquel August nous a confié sa tristesse et sa solitude depuis le départ de son épouse, nous sommes allés nous coucher. Dans le lit, nous avons commencé à nous caresser et, sentant Clarisse réceptive, je lui ai glissé que nous pourrions peut-être remercier notre hôte de sa formidable hospitalité. « D’autant que le pauvre n’avait certainement pas baisé ni bouffé de chattes depuis de nombreux mois ! », ai-je insisté. À ces mots, Clarisse s’est trouvée trempée d’excitation et, malgré de fausses réticences ou autres retenues de sa part, j’ai adressé un SMS à August qui était dans la chambre à côté : « Veux-tu venir nous voir quelques instants ? Nous avons une surprise pour toi. » Moins de cinq minutes plus tard, on frappait à la porte.

Nous avions tamisé la lumière. Clarisse attendait en nuisette, assise sur le rebord du lit, les jambes légèrement écartées. Je me tenais près d’elle, vêtu d’un caleçon et d’un T-shirt. Je la devinais tremblante, troublée. August est apparu, également en T-shirt et slip. À la vue de Clarisse ainsi vêtue, nous l’avons senti confus, mais il ne comprenait pas encore toute la légitimité de son état. « Vous aviez quelque chose à me dire ? — Oui, avec Clarisse, nous souhaitions te remercier de ton hospitalité » et, tout en relevant la nuisette de Clarisse, j’ai ponctué ma phrase par : « Nous avons pensé à un cadeau qui te ferait vraiment plaisir… »

Eberlué, il nous regardait, nous prenant sûrement pour des fous ; mais nous avons observé très vite une bosse se former dans son caleçon. Normal, j’avais commencé à tripoter Clarisse devant lui. Passant une main dans sa nuisette pour peloter ses seins et les faire ressortir, j’ai simultanément écarté ses lèvres intimes de mon autre main. Puis, portant à ma bouche un doigt que je venais de tremper dans son minou, j’ai dit à August de s’approcher pour la goûter. Il s’est exécuté, embrassant Clarisse, passant ses mains sur son corps. Il a peloté ses seins, lui tétant les pointes goulûment.

Enfin, il a descendu son visage entre les cuisses de Clarisse. Le salaud n’avait pas dû voir de chatte depuis longtemps… Il la bouffait comme un goinfre ! Il mettait sa langue partout, relevant et écartant ses jambes pour bien s’insinuer dans chaque recoin, allant de son clitoris à son petit cul. Je parlais à l’oreille de Clarisse qui était complètement absorbée par ce traitement, cette langue et ces doigts inquisiteurs. Elle n’en oubliait pas pour autant de me caresser vigoureusement la queue, et le rythme de sa branlette révélait le plaisir qu’elle prenait à voir August se régaler. C’est alors que j’ai saisi l’autre main de Clarisse pour la diriger vers la bosse d’August. Elle s’en est emparée, et lui, il a grogné de satisfaction. Elle lui a baissé son caleçon… Quel engin ! Elle m’a regardé dans les yeux et m’a fait signe d’observer le « morceau »… quand, tout à coup, j’ai vu le visage de ma femme se transformer. Il l’amenait à la jouissance avec sa langue. Elle s’est jetée sur ma queue et l’a prise en bouche au moment où un premier orgasme l’a submergée.

Quand elle est revenue à elle, je lui ai ordonné de remercier notre ami en le gratifiant d’une gâterie. J’ai vite orienté la tête de Clarisse vers le membre d’August. Posant doucement ses lèvres sur la verge tendue, elle s’est mise à le pomper énergiquement, passant sa langue sur toute la tige, saisissant ses couilles à pleines mains, répétant inlassablement et avec délectation les mouvements. Il la regardait faire et prenait un sacré plaisir. « Elle suce bien hein, cette petite chienne ? », ai-je dit. August s’est mis à lui parler en danois… Sûrement des insanités ! « Je te l’ai amenée pour qu’elle te vide les couilles tout le week-end… Elle est à toi, tu en fais ce que tu veux. » Je ne savais pas encore à quel point il avait compris le sens de cette dernière phrase.

C’est alors que, n’en pouvant plus, j’ai profité de sa position pour l’enfiler par-derrière. Je la limais et la préparais pendant qu’elle suçait cette autre bite. Après l’avoir jugée prête, nous avons inversé nos places. Elle allait sentir passer la grosse queue d’August. Clarisse s’est mise sur le dos et m’a pris en bouche. Auguste lui a écarté les cuisses en grand, a approché son gland violacé de sa fente et s’est enfoncé. Elle n’a pas tardé à gémir de bonheur, il la remplissait pleinement, lui prenant les fesses. On voyait aux joues rougies de Clarisse qu’il s’insinuait profondément. Soudain, le rythme s’est accéléré. Elle était aux anges, me pompant comme une affamée… Et, après un pilonnage en bonne et due forme, August a sorti sa queue et a déchargé sur le ventre et les seins de Clarisse. Ce spectacle ajouté à la turlutte d’enfer qui m’était offerte m’ont fait jouir aussitôt dans la bouche de ma femme adorée.

Après une longue discussion, nous ri sommes tombés dans les bras de Morphée, Clarisse bien calée entre nous deux… La nuit était déjà bien avancée quand j’ai été réveillé par ma chérie, chaude et gémissante. Elle a empoigné ma queue tout en me disant « Ton salaud de copain me fouille la chatte depuis dix minutes et je te préviens, je suis tellement trempée qu’il va me la mettre sans problème « À peine avais-je vérifié cette information et dénombré quatre doigts dans l’intimité de ma chérie qu’il était déjà en elle, la prenant par-derrière et la baisant fougueusement… Elle me branlait de nouveau pendant ce temps-là.

Après un bon quart d’heure de cette saillie nocturne, il s’est vidé au fond de sa chatte et est retombé sur le côté… « Tu m’as bien dit quand je voulais », a-t-il cru bon d’ajouter en s’écroulant. À mon tour, j’ai décidé de l’honorer puis, après l’avoir baisée profondément, je lui ai donné moi aussi mon jus, et j’ai replongé dans le sommeil.
Ce week-end n’a été que sexe mais aussi un doux « dressage » pour Clarisse. Par exemple, August pouvait être dans  la salle de bain, et on entendait alors du fond de la maison : « Clarisse, viens me voir ! » Elle s’exécutait après avoir obtenu mon consentement d’un hochement de la tête. Elle allait le retrouver pour se faire tirer sous la douche, non sans avoir au préalable sucé à genoux notre hôte, pendant qu’il se rasait, debout devant le miroir.

Dès le samedi matin, il a été décrété démocratiquement (avec une majorité d’au moins deux voix) qu’elle serait interdite de culotte pendant tout le séjour, car nous devions pouvoir la toucher ou la prendre quand bon nous plaisait… Et puis, si on la sentait « faiblir » dans son envie, on la positionnait entre nous deux sur le canapé, devant la télé, pour visionner un film porno (elle adore), la faire mouiller encore plus et générer chez nous trois de nouvelles idées…

Le jour du départ, c’est moi qui ai conduit la voiture jusqu’à l’aéroport. Clarisse est montée à l’arrière du véhicule avec August pour se faire tripoter et lécher le minou une dernière fois. Quelle excitation de voir son regard dans le rétroviseur intérieur, pendant qu’elle se laissait bouffer la chatte, ses jambes gainées de bas bien écartées sous sa jupe retroussée! Puis, après avoir hurlé de plaisir sur la banquette arrière, elle a sorti la queue toute droite d’August pour lui délivrer une dernière petite pipe.

Le salaud avait vraiment décidé d’en profiter jusqu’au bout, poussant le vice jusqu’à lui tenir la tête afin qu’elle ne puisse s’échapper, au moment où il a déchargé dans sa bouche en la traitant de salope dans un grand râle.

En le quittant et le remerciant chaleureusement pour ce super week-end scandinave, je lui ai bien dit  que, au cours des mois à venir, « s’il souhaitait se vider les couilles, il pourrait toujours passer nous voir à Paris, Clarisse étant bien évidemment là pour ça… »

Depuis notre retour, ravis de nous retrouver tous les deux, nous passons notre temps à faire l’amour et à repenser à ce week-end insensé. Je me réjouis que la femme de ma vie ait pu vivre des moments si intenses en conservant toute la complicité et l’amour dans notre couple. À bientôt !

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