On m’fait qu’au cul !

La rédaction 27 août 2020

Mylène, 30 ans, est mariée mais aussi libertine. Pendant sa lune de miel avec son mari, elle rencontre un Mexicain très chaud au lit.

Ne vous méprenez pas : j’aime mon mari Hubert. Nous nous sommes mariés il y a 1 an, lors d’une belle cérémonie où nous nous sommes jurés fidélité. Malheureusement, je n’ai pas pu honorer ce vœu. Mes penchants libertins ont été les plus forts, comme je l’ai découvert tout de suite après, lors de notre lune de miel au Mexique. Hubert, mon chéri, je me confesse à travers cette histoire de sexe et j’espère que tu me comprendras.

À peine arrivés sur place, j’ai compris que ma nature allait me rattraper. Je suis libertine depuis 10 ans et Hubert acceptait que je m’adonne à mes penchants les plus pervers, jusqu’à ce qu’il me demande en mariage… Là, il a dit qu’il faudrait essayer de tout arrêter. Mais entre le soleil qui tapait, les journées à la plage et tous les beaux mecs bronzés qui traînaient autour de moi, pas évident de se retenir. Un jour qu’Hubert était parti en excursion et que j’étais restée à la plage, j’ai craqué.

Il s’appelait Luis. Un riche Mexicain qui résidait dans le même hôtel que nous. Je l’avais déjà repéré sur la plage la veille. Sauf que cet après-midi-là, j’étais seule et il a donc osé m’aborder. Plus exactement, il s’est planté devant mon transat et a montré l’hôtel de la tête. En espagnol, il a lâché en souriant : « Ça vous dit de venir ? » J’avais une piña colada dans le cornet, la meilleure excuse pour passer un après-midi coquin avec un inconnu…Dans l’ascenseur, Luis et moi avons réussi à nous retenir. Nous respirions tous les deux très fort. Face à face, nous avons découvert nos corps dans le détail mais uniquement avec nos yeux. Il était bien fait de sa personne, la peau caramel, un regard noir et franc. De mon côté, je sentais bon le monoï et mon petit accent frenchy avait tout pour plaire. Respectueux jusqu’à ce que la porte de sa chambre claque derrière nous, nous nous sommes ensuite transformés en bêtes furieuses…

BOUTIQUE SEXY

Une fois dans l’obscurité de la piaule, Luis s’est jeté sur moi et a arraché un à un mes vêtements. De mon côté, je déboutonnais sa chemise puis son short. Oh, la belle bite ! J’ai commencé par la sucer goulûment. Elle avait un goût de sel et une petite amertume que je n’avais jamais goûtée jusque-là. Le goût de l’exotisme sans doute ! Ces mots crûs en espagnol résonnaient à mes oreilles, pendant que je m’appliquais à lui repeindre le gland de ma langue. Miam miam… Luis a ensuite voulu que nous nous mettions en 69. Idéal pour me bourrer la bouche comme si c’était un con ! Pendant que j’enfournais son dard à fond, le Mexicain admirait mon antre, l’écartant du bout de ses doigts. Ça l’a fait durcir encore plus de m’ausculter de la sorte… Puis il a fini par y glisser une langue épaisse. J’ai alors eu beaucoup plus de mal à m’appliquer côté pipe. Toute joyeuse de me faire aspirer la vulve par un parfait inconnu, je l’ai laissé aller et venir à sa guise dans ma gorge, me focalisant sur mon plaisir vaginal.

La suite a été à l’avenant. Luis était un amant parfait… Après m’avoir léchée, il m’a admirée sous toutes les coutures, puis a jeté son dévolu sur mon derrière. Après l’avoir doigté délicatement, il y a inséré son gland gluant. Mais, curieusement, il n’est pas allé plus loin. Il a continué à m’écarter en faisant des cercles. J’étais alors en levrette, et très surprise ! Mais quand Luis a glissé ses mains entre mes cuisses, puis m’a pénétrée avec trois de ses doigts bien serrés, j’ai dû admettre que sa technique était impeccable. Tout en élargissant mon anus de son large bout, il a fourragé dans ma figue bien humide. Quel pied ! J’étais dilatée de part en part…

J’ai eu peur qu’il vienne dans mon anus… Cette pratique reste vraiment réservée à mon mari chéri. J’ai donc fini par me retourner et j’ai remplacé mon trou le plus étroit par ma bouche veloutée. Le fait d’avaler un chibre tout chaud qui venait de sortir de mes fesses m’a beaucoup excitée. Tout en léchant, je me suis branlée l’entrecuisse… jusqu’à me faire venir. Et là, miracle ! Un long jet est sorti de ma chatte. Il m’arrive parfois de jouer les femmes fontaines quand je suis ultra chaude… Le goût si spécial du dard de Luis me faisant cet effet ce jour-là. En voyant ça, le Mexicain n’a pas pu se retenir et a plaqué ses mains derrière ma nuque. Impossible de lui échapper. J’ai dû boire son jus exotique à la source.

Pour me laver de ce secret honteux, je suis allée me plonger dans les vagues en face de l’hôtel. Fallait-il que je dise la vérité à Hubert ? En tout cas pas tout de suite. Depuis, j’ai craqué à trois reprises, notamment avec un collègue de travail. Il est aujourd’hui temps de te révéler mon secret, mon Hubert. J’espère que tu m’accepteras comme je suis, et même que nous pourrons partager ensemble mon jardin secret… Je t’aime.

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