Ma première expérience libertine

La rédaction 21 juin 2020

Tania, 42ans.

Après ma première expérience libertine (dans le numéro de novembre 2016), je ne rêve qu’à une chose : retrouver mon étalon inconnu. Je décide donc de nous inscrire (mon mari candauliste et moi-même) sur un site échangiste en espérant retomber dessus et revivre mon histoire de sexe.

À peine inscrite, je suis contactée par deux savoyard en vacances dans le Sud qui proposent de nous rencontrer pour boire un verre. Après beaucoup d’hésitation, nous acceptons et nous nous rejoignons donc dans un bar à Cannes. Cela n’engage à rien.

Je suis immédiatement séduite par l’un plus que l’autre, et au fur et à mesure de la conversation, je me sens de plus en plus en confiance. Ils me laissent le choix de dire « oui ou non » aux deux ou de n’en accepter qu’un. Nous nous quittons donc avec sérénité et ils me laissent le choix de donner suite ou pas. Nous en discutons avec mon mari et prenons la décision de les inviter à un petit barbecue coquin un soir dans la semaine, bien que je me crois incapable de contenter deux hommes en même temps.

Le jeudi en fin d’après-midi, je me prépare à recevoir mes deux savoyards. Après une bonne douche avec un gommage pour me faire une peau douce, puis un brushing pour lisser mes longs cheveux, j’enfile une petite robe noire en dentelle, toute transparente, sans rien dessous et je mets de magnifiques chaussures à talons hauts, très hauts. Je recouvre le tout d’une multitude de jets de parfum et voilà je suis prête.

Mon cœur bat la chamade. Je n’ai connu qu’un seul homme depuis 33 ans et voilà qu’en un mois, je m’abandonne à un inconnu dans un club… et ce soir je vais me donner à deux hommes ! Heureusement, j’ai un mari formidable qui me rassure et me dit que jusqu’au dernier moment je peux toujours renoncer si je change d’avis.

Nos deux coquins arrivent et nous les accueillons avec un petit apéro au bord de la piscine. Nous évoquons leur séjour et je m’étonne moi-même d’ouvrir les hostilités en ôtant ma jolie robe et en proposant à nos deux invités une petite baignade avant le repas. Nous nous retrouvons tout nu dans la piscine. À peine dans l’eau, ils prennent immédiatement les commandes et commencent à me caresser, à m’embrasser. Je sombre. C’est le bonheur. Dans l’eau à 30° C, je me fais lécher par un tout en suçant l’autre. Entre deux baisers fougueux, ils échangent leur rôle et j’ai donc droit à une autre queue dans ma bouche affamée. Leurs mains, leurs bouches découvrent chaque partie de mon corps.

Nous faisons une pose barbecue bien méritée après ces préliminaires plus que concluants. Un café et un petit digestif, puis j’emmène mes deux vacanciers dans ma chambre. Nous reprenons là où nous avions arrêté dans la piscine. Moi allongée sur le lit, en train de sucer l’un, pendant que l’autre me fouille l’entrejambe avec sa langue. Je suis sur un nuage et je n’ai qu’une envie : leur donner autant de plaisir que j’en reçois. Je veux leur offrir chaque centimètre carré de mon corps. Je passe par de nombreuses positions pendant plusieurs heures… à tour de rôle, ils m’attrapent. J’ai toujours une queue enfoncée dans ma chatoune ou dans mon cul qui me lime à la perfection et de quoi satisfaire ma bouche. Bien sûr, les jours précédents je m’étais projetée quelques scénarios dans ma tête, mais de là à tous les réaliser… je ne pouvais pas rêver mieux ! Plus j’en ai, plus j’en veux. Pour clôturer notre belle soirée, je propose à mon bandeur préféré une belle pipe finale, avec finition.

Il ne se fait pas prier et avec beaucoup de plaisir (pour lui comme pour moi), il me gicle tout son sperme au fond de la gorge. Je lui lèche à nouveau le bout de son gland, afin de ne pas en perdre une goutte, sous les regards comblés de son acolyte et de mon mari qui n’a pas raté une minute de tous nos ébats. Nous finissons la soirée à 2 h du matin en nous décontractant dans le jacuzzi, où je peux de nouveau goûter au jus d’un de mes beaux savoyards.

Nous nous revoyons trois jours plus tard, juste avant leur départ et, une dernière fois, nous profitons les uns des autres avec délectation. Depuis nous sommes régulièrement en contact et nous aurons d’autres occasions de nous voir puisqu’ils viennent tous les étés dans le Sud. Nous avons tous hâte d’y être ! Quel bonheur d’avoir un mari candauliste. Merci mon amour.

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Nos premiers pas dans le libertinage

« Je lui ai caressé les seins aux bouts bien tendus pour ensuite les aspirer pendant que je la doigtais… Que c’était bon ! Ensuite, je suis descendue vers son bas-ventre pour venir enfouir ma langue dans sa chatte hyper trempée. Puis, je suis remonté jusqu’à ses seins tout en la doigtant et Suzanne m’a saisi la tête pour m’embrasser tout en enfonçant sa langue dans ma bouche. » Luc, 60 ans.

Mon expérience en bande organisée

« Les mots de Roger m’excitaient tout autant qu’ils m’humiliaient. Je n’étais plus qu’un objet, un spectacle divertissant dont le seul but était de l’exciter. Son voyeurisme lui allait bien, il se masturbait et me prenait en photo en même temps. J’étais loin d’imaginer que notre première relation à plusieurs se passerait de la sorte, qu’elle serait aussi loin de nos habituels ébats et que Roger se métamorphoserait autant, au point que toute notion de jalousie lui semble étrangère. » Nathalie, 52 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


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