La panne du téléphone

La rédaction 5 janvier 2021

Coralie, 30 ans ne sait pas quoi faire de son portable tombé en panne ! Heureusement, la magie d’internet lui permettra de trouver un ami dépanneur rapidement…

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Cette histoire érotique s’est passée lors de la dernière rentrée.

Il m’est arrivé une fâcheuse mésaventure : j’ai fait tomber mon téléphone portable dans l’eau du bain juste avant la reprise du travail. C’était un dimanche. Paniquée, j’ai lancé une bouteille à la mer sur un réseau social, en demandant s’il n’y avait pas autour de moi des réparateurs en herbe. C’est alors qu’une vieille connaissance de la fac m’a contactée. C’était Frédéric, on ne s’était pas parlé depuis des lustres ! Je me suis souvenue qu’on se tournait un peu autour à l’époque.

Du coup, j’étais assez intriguée qu’il réponde à mon message. Nous avons échangé quelque temps et il m’a proposé de passer chez lui (nous habitions toujours dans la même ville), pour qu’il regarde mon téléphone, car il avait l’habitude de dépanner ses amis pour les petits problèmes d’électronique. Très curieuse à l’idée de le revoir, je me suis rendue chez lui dans la foulée. Je me suis retrouvée dans son appartement, face à mon ancien camarade. Les dix années qui avaient séparé ce jour de notre dernière rencontre lui avaient plutôt réussi : il avait le visage plus mûr, l’air plus assuré, beau brun au sourire ravageur. La trentenaire que j’étais devenue avait aussi l’air de lui plaire : avec mes tatouages, ma sveltesse et mes cheveux blonds coiffés d’un bandeau jaune faussement sage. J’ai vu à sa main qu’il avait une alliance, mais il m’a expliqué qu’il était en train de démarrer une procédure de divorce.

Il s’est penché sur mon portable tout en évoquant le passé. Nous avons ri en nous souvenant de la fac et ce moment était agréable. Il a même fait une référence au fait que je lui plaisais à l’époque et ça m’a un peu émoustillée, je dois dire. Moi, je venais de me fiancer, mais je n’étais pas une monogame dans l’âme.

Quand il a eu fini de bricoler son téléphone, il a regardé si l’écran marchait, il avait réussi à le faire fonctionner. Hourra ! Puis il a voulu tester l’appareil photo. Il m’a proposé de poser en riant : j’ai pris la pose, tournant le dos pour qu’il voie mes fesses, lançant des regards chauds à la caméra. Il m’a défiée : t’as qu’à te désaper tant que t’y es ! Je l’ai pris au mot.

Je me suis installée sur une banquette du salon et j’ai petit à petit enlevé mes habits. Mes seins blancs et dodus pointaient, mon string était certainement taché de mouille. Je me suis mise à jouer avec, à le faire entrer entre mes lèvres intimes, à l’écarter, à me mettre des doigts, tout en le regardant par le biais du téléphone. C’était bien commode, pour ne pas le fixer directement dans les yeux ! Le visage cramoisi à cause de la surprise, Frédéric prenait plein de photos, le regard comme hypnotisé. J’adorais ça, mon Dieu !

Je lui ai dit de s’asseoir à son tour sur la banquette et je me suis mise à le sucer avec coeur. Il n’a opposé aucune résistance et sa bite a surgi de son caleçon comme un diable hors de sa boîte. Hum, il régalait ma bouche de suçeuse ! Je le regardais avec provocation et il continuait de me photographier. Ça m’excitait ! Nous allions bien rattraper le temps perdu !

Je me suis hissée à califourchon sur lui pour éprouver le calibre de monsieur, et j’en étais tout à fait satisfaite. Il méritait bien une petite récompense, pour avoir réparé mon précieux téléphone… Je m’attelais à onduler sur lui, sa queue bien plantée dans ma chatte gloutonne. Je voyais dans son regard qu’il s’égarait dans le plaisir. Pas si vite, toi ! Je voulais que les choses durent pour le sentir plus fort encore, alors j’ai fini à quatre pattes sous son objectif, le cul frétillant, désirant qu’il me prenne avec conviction.

Il m’a prise en levrette en me donnant quelques claques sur les fesses qui m’arrachaient des petits cris d’extase. Si j’avais su qu’il était aussi vigoureux, je me le serais tapé dès la fac, dis donc. Quel bonheur que de retrouver des flirts passés : ils bénéficient encore de l’attrait nostalgique de la vie d’avant, et ils ont l’expérience sexuelle des gens qui ont vécu entre temps.

Frédéric me besognait tant et si bien qu’à un moment, je lui ai arraché le téléphone des mains pour profiter pleinement et nous nous sommes baisés tous les deux jusqu’à la jouissance qui est venue vite et de manière brutale, nous laissant exsangues, avec du sperme et de la mouille partout. Et avec de jolies photos-souvenirs en bonus !

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