Auto-stop, et plus si affinités

La rédaction 27 août 2019

Paul, 45 ans

Je me prénomme Paul, j’ai 45 ans et je suis conducteur d’engins en Vendée. Je suis marié et j’adore ma femme. Notre couple fonctionne d’ailleurs à la perfection. Elle est super coquine, c’est à la fois une épouse et une maîtresse. Et pourtant, l’autre après-midi en rentrant chez moi, quand j’ai vu Julie, une de nos jeunes voisines, qui marchait sur le bas-côté de la route, je me suis arrêté pour lui demander si elle voulait que je la dépose quelque part. J’ai fait le galant, quoi ! Elle est montée sans se faire prier et m’a expliqué que sa voiture était en panne.Elle a environ 30 ans et ses longs cheveux bruns cascadent sur ses épaules. C’est une très belle fille. Elle m’a remercié et s’est mise à l’aise. Elle a retiré son long manteau noir. En dessous, elle portait une jolie jupette et des bas. Pour rire, je lui ai dit que la balade allait lui coûter cher. Puis j’ai ajouté qu’une si charmante demoiselle ne devrait pas marcher au bord de la route toute seule, qu’elle risquait l’agression. Elle a rigolé et m’a assuré qu’elle était prête à payer le prix de la course sans problème.

Elle a caressé sa cuisse pour souligner son propos, par jeu. C’était du moins ce que je croyais… Mais sa main est ensuite passée sur ma cuisse ! Et elle a rapidement glissé vers mon entrejambe. Mon petit soldat s’est immédiatement mis au garde-à-vous. Elle était bien entreprenante la petite voisine ! Je n’osais même plus la regarder dans les yeux… Dire qu’un instant plus tôt, je faisais encore des boutades pour briser la glace et elle… Elle me tripotait déjà la bite ! Je n’osais pas non plus l’arrêter, c’était vraiment trop bon. Je me suis laissé faire, en silence.Nous roulions en rase campagne. J’ai trouvé le courage de la regarder dans les yeux. Elle a souri, sûre de son emprise sur moi. J’ai dit : « Il ne faut pas non plus te sentir obligée, je plaisantais pour la course, tout à l’heure, tu sais… » Elle a encore rigolé, décidément, je devais être vachement comique.

Pour toute réponse, elle a ouvert ma braguette et a fait jaillir ma bite hors de mon slip. Elle a englouti mon membre d’un coup. J’étais fou de plaisir, j’en tremblais. Je dois bien avouer que je m’étais déjà tapé de fameuses branlettes en pensant à sa bouche sensuelle ! Nous risquions l’accident. Dès que j’ai vu un petit chemin tranquille, je me suis engagé dedans. Avec les trous et les bosses du chemin défoncé, ma queue est allée cogner au fond de sa gorge et elle a émis un petit bruit de haut-le-coeur. Le siège conducteur s’est vite trouvé rabattu en couchette. La petite Julie pompait admirablement bien.

Je lui ai retiré son string et j’ai fourré deux doigts dans sa minette trempée. Ça rentrait tout seul ! Sa langue est venue s’activer sur mon gland pendant que ses mains enserraient mes couilles. Sa chatte était de plus en plus ouverte, je voyais son oeillet se dilater sous mes doigts qui massaient, fourraient, glissaient. Visiblement, elle appréciait mes attouchements. Son ventre s’est tendu et son tendre minou s’est serré quand elle a joui dans mes mains en gémissant, sa bouche pleine de ma queue. Sentant que mon plaisir montait un peu trop vite, je l’ai prévenue (sans quoi elle n’aurait même pas lâché ma bite et m’aurait laissé jouir, cette affamée !). Elle est venue se mettre à califourchon au-dessus de moi. Elle s’est enfilé mon engin avec joie. Elle a souri, m’a regardé et m’a dit : « C’est bon ! ». C’était simple comme une grenadine à l’eau, ce plaisir soudain, facile. Son corps montait et descendait avec une cadence folle. Elle se foutait du rythme de l’amour, elle voulait baiser… Et fort ! J’ai soulevé son T-shirt et détaché son soutien-gorge comme j’ai pu.

Elle a viré tout ça d’un seul geste, sans même s’arrêter. Je n’en revenais pas de tant d’entrain. Ma tige tenait bon sous les assauts répétés ! Ses
seins fabuleux gigotaient maintenant devant mes yeux, en rythme eux aussi. Ils étaient pleins, pas énormes, le gentil 90B de votre copine à 20 ans. Je ne pouvais pas m’empêcher de les prendre dans mes mains et de les faire se rejoindre, de les embrasser. Ils luisaient de sueur, les petits bouts étaient roses, bien sortis. J’ai joui dans son conduit enflammé en criant. J’étais essoufflé et Julie aussi. Elle s’est écroulée contre moi, nos deux corps étaient si chauds, la scène était torride. Nous sommes restés ainsi sans prononcer un seul mot. Puis, elle a décidé qu’il fallait nettoyer tout ça à présent. Elle s’est soulevée et a léché ma tige d’un bout à l’autre, très doucement. Après quoi, elle s’est cambrée au-dessus de mon visage pour me présenter sa minette. Je me suis baissé (pas facile dans l’habitacle !) et j’ai lapé en la maintenant par les fesses. Ma femme ne m’avait jamais fait faire un truc pareil, c’était délicieux et dégueulasse, « déligueulasse » ! Elle avait bon goût, la chouquine. J’avais sa mouille et mon propre sperme sur la langue, et je dois dire que j’en raffolais.

Enfin, nous nous sommes rhabillés et nous avons repris notre route. Je l’ai déposée chez elle et j’ai filé dans la salle de bain dès que je suis arrivé chez
moi… Depuis cet après-midi endiablé, nous nous sommes revus plusieurs fois, ma belle Julie et moi. C’est génial à chaque fois, je crois que l’idée de l’adultère et de l’interdit nous excite à fond. Comme nous sommes des adeptes de votre revue, j’espère qu’elle pourra me lire et savoir combien j’adore lui faire l’amour.

Julie, si tu me lis, je te demande de venir nue sous ton manteau à notre prochain rendez-vous. Je ferai des belles photos de toi et nous les enverrons à interstron.ru pour que tous les lecteurs puissent profiter de ta beauté. Bises à toutes les lectrices et à très bientôt !

(Photo à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Auto-stop très hot

« Nous étions entourés de voitures susceptibles de voir tout ce qu’il se passait à l’intérieur de notre habitacle, mais ça n’a pas gêné les tourtereaux qui se sont déshabillés. Lauryn a branlé le long phallus de Renaud, a craché dessus, et s’est placée à quatre pattes sur la banquette arrière pour se faire prendre. » Sofia.

Sex on ze road

« C’est alors qu’elle a posé ses pieds sur le tableau de bord pour se mettre bien à l’aise. Elle a largement écarté ses jambes et a tiré sur sa petite culotte. (…) Je n’ai pas pu résister à l’envie de prendre une photo. Elle a commencé à se mettre un doigt. Puis deux, puis trois… Sa petite chatte avait faim. » Denis.

À retrouver sur notre plateforme VOD

HISTOIRES VÉCUES 8 – VIDÉO PORNO – interstron.ru

Une jeune auto-stoppeuse se fait baiser dans les toilettes d’une autoroute. Florence se fait bronzer sous l’œil voyeur de son voisin qui viendra la rejoindre et l’enculera. La belle Iris visite Marseille et sera visitée à son tour dans tous les trous. Paul offre à sa copine un petit scénario les yeux bandés.


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru