Le gangbang de la divorcée

La rédaction 4 novembre 2020

Helena, 36 ans, plaque toute sa vie plan-plan pour réaliser son fantasme : un gangbang. Et elle ne va pas être déçue pour sa première fois…

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Pendant quinze ans j’ai mis toute ma vie entre parenthèses. Je me suis mise en couple avec mon premier amour, un mec bien mais “plan-plan” au quotidien, on a fait deux mômes, on a acheté une baraque vers 28 ans, et à 35 ans, j’avais déjà l’impression d’être une vieille avec les gamins qui grandissaient et la petite routine pépère.

Je ne me reconnaissais plus dans cette femme au planning préétabli, à l’organisation minutieuse et à la sexualité silencieuse. Je ne me reconnaissais plus dans cette femme terne, alors que je savais que du haut de mon mètre soixante-dix, perchée sur des talons de dix centimètres, mon corps et mon allure faisaient encore tourner beaucoup de tête…

Bref, j’ai tout plaqué. Ça peut paraître choquant pour certains mais c’est comme ça. Et ça demande un courage fou ! Je me suis dit que mes choix ne seraient plus guidés que par mon plaisir et mes envies. Je m’étais trop assise dessus pendant des années.

Et il y a bien un fantasme qui m’attirait plus que les autres : celui du gangbang. Tous ces hommes gonflés de désir pour moi à la merci de mon bon vouloir. Je me disais qu’il était presque impossible à réaliser, quel homme accepterait de me partager avec plusieurs autres le temps d’une nuit ?

En réalité, il m’a juste fallu poster une annonce sur un site libertin pour qu’un “Mamba” (c’est son pseudo, il est Brésilien) me dise : « ne t’inquiète pas, j’ai des copains qui ont l’habitude ». Et royal, il a tout organisé pour moi, jusqu’à la location d’un petit lieu très sympa.

Nous nous sommes retrouvés à huit dans un appartement, il y avait six hommes et une autre femme, en plus de moi. C’était l’épouse d’un des mecs présents, et elle était adepte de la pratique. Elle s’est tout de suite posée comme mon “initiatrice” et m’a expliqué tous les us et coutumes.

« D’abord tu les suces tous, c’est la base pour les mettre en érection. Et après, c’est toi qui choisis ce que tu veux. Ne les laisse jamais faire quelque chose que tu n’as pas envie qu’ils fassent, comme de l’anal ou des doubles pénétrations. N’hésite pas à dire « non », ils ont l’habitude. »

Elle était à la fois douce et enjôleuse, j’ai adoré la façon dont elle s’exprimait. Très vite, elle a commencé à sucer son premier mec, le plus beau de la bande, après lui avoir demandé de s’asseoir sur un canapé et avoir sorti son sexe par la braguette. Elle regardait les autres avec des regards très explicites et tous n’attendaient que d’être le prochain. Pour sûr, elle savait mettre de l’ambiance !

Son mari, certainement un peu jaloux, s’est planté devant moi en essayant vainement d’entamer la conversation. J’avais bien compris qu’il voulait que je le suce aussi mais je le laissais mariner un peu, c’était si drôle. Nous étions tous les deux debout à discuter pendant que sa femme enchaînait les pipes sur le canapé d’à côté.

Plus les minutes et les teubs défilaient, plus je sentais qu’il était sous pression. Le pauvre ! Bon, j’ai arrêté de le faire poireauter, je suis descendue au niveau de son entrejambe, et complice, j’ai exhibé une bite d’une quinzaine de centimètres de son pantalon. Il a doucement caressé ma tête en tremblotant, trop heureux que j’ai pris moi-même l’initiative.

Je l’ai sucé comme on suce par curiosité, sans vraiment y prendre de plaisir. Voire comme on suce par compassion ou par ennui. J’étais de toute façon dans une configuration trop nouvelle pour être totalement à l’aise, ou au moins autant que sa femme. Je me suis alors redressée au bout de quelques minutes, j’ai vu sur sa tête qu’il était satisfait, c’était le plus important.

Puis la soirée s’est écoulée, les flutes de champagne aussi, et je me sentais de plus en plus en pouvoir de lâcher-prise. J’ai commencé mon premier trio dans un petit coin de la pièce, avec le mari et un autre mec, bien taillé, qui se sont occupés de moi. Ils étaient tous les deux très raisonnables, l’un léchait ma vulve tandis que l’autre caressait mes seins et m’embrassait sur la bouche.

Personne pour me pénétrer à l’improviste. Puis un troisième, m’a demandé très gentiment s’il pouvait me mettre un doigt. Je l’ai laissé faire, étant bien consciente d’offrir totalement la partie la plus intime de mon anatomie à quelqu’un dont je ne connaissais même pas le prénom. Et la soirée a dérapé de cette façon.

En douceur, avec des hommes qui se rajoutaient au fur et à mesure, toujours très inquiets de mon plaisir et de ma jouissance. Ils devaient en avoir terminé avec l’autre femme et je devenais alors l’objet de leur désir.

Je crois que j’ai léché à peu près toutes les bites de la soirée et j’ai connu toutes les positions possibles. Sur le dos, allongée, l’un me pénétrant, l’autre me faisant sucer sa queue. Ou alors, ma préférée, cambrée, une queue à l’arrière, une queue à l’avant. Je me rappelle qu’en fin de soirée j’ai eu une petite pensée pour mon mari. C’était fugace, mais c’était surtout sans aucun regret.

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