Partie de foutre

La rédaction 4 février 2021

Ayant un penchant pour les fluides corporels, Aurélie, 30 ans aime expérimenter avec son amant des jeux coquins et humides. Sperme, salive, mouille, tout y passe!

Je m’appelle Aurelie, j’ai 30 ans et voici mon histoire de sexe.

Je suis une femme mariée, mais je n’ai pas l’esprit d’une femme casée bien sage ! J’ai une personnalité coquine et des appétits sexuels débridés. Je suis notamment fascinée par les fluides et j’adore jouer avec ma mouille, ma salive ou du sperme. Le problème, c’est que mon mari est beaucoup plus timoré que moi sur ce plan-là, il aime bien que tout soit propre… Ça fait qu’au bout de trois ans de mariage, je n’ai pas résisté à l’idée de me trouver un amant avec qui expérimenter ce goût que j’avais pour les jeux d’adulte humides. Cet amant s’appelle Lucas. Je n’éprouve pas du tout les mêmes sentiments pour lui que pour mon époux, mais j’adore me lâcher avec lui. Je le vois comme un sas de décompression, un peu comme une séance chez la psy ! Sauf qu’il s’agit d’une approche corporelle…

Dernièrement, nous nous amusons à faire des photos de moi comme d’une oeuvre d’art peinturlurée de sa semence... Voici comment nous procédons. Lucas vient chez moi quand mon mari n’est pas là. Nous nous mettons nus tout en nous regardant nous effeuiller. Je m’allonge sur le lit en me caressant pour qu’il me contemple dans le plus simple appareil. Je prends soin de me maquiller et de porter des bijoux pour habiller cette nudité. Puis je lui taille une belle pipe vigoureuse, au point de faire bouger mes cheveux et mes grandes boucles d’oreille – il adore ça ! Et j’adore le préparer ainsi à décharger sur mon corps de déesse.

C’est ce rituel que nous avons reproduit la dernière fois que nous avons baisé. Mais pour une fois, nous avons eu envie de faire une vraie séance photos pour vous les envoyer. Cette fois-là, j’avais encore mon chemisier blanc quand Lucas s’est placé entre mes seins dénudés pour s’y mouvoir, et baiser la vallée de peau douce entre mes deux montagnes. J’ai saisi mes deux mamelles pour les frictionner contre son pieu bien dur. Il était très excité car nous ne nous étions pas vus depuis plusieurs jours. Il était au-dessus de moi sur le lit, me dominant de sa hauteur et de son désir animal.

Il m’a prise en photo. “Tu es tellement belle, j’ai envie de t’honorer, de te souiller.” J’adore quand il me parle. J’ai resserré mes seins autour de sa tige. Nos deux chairs chauffaient l’une contre l’autre, sa queue se fondait contre la rondeur de ma poitrine et cette dernière le malaxait chaudement. Mes tétons bandaient de plaisir en rencontrant son sexe. Il n’a pas tardé à jouir en me prenant en photo. Son foutre a aspergé mon décolleté avec grâce, les giclées coulaient le long de la vallée, le lac de sperme faisait une flaque entre mes deux monts moelleux, les gouttes recouvraient mon collier d’argent et baptisaient ma peau de leur texture collante. Ça m’excitait tellement !

Avant de repartir à l’assaut de son chibre, je me suis allongée sur le dos pour me caresser à mon tour. J’ai retiré mon chemisier et je me suis branlée, tandis qu’il continuait de prendre des photos de moi tout en se remettant à titiller sa queue, qui reprenait petit à petit du poil de la bête.

Je voulais encore qu’il m’inonde de son jus, je voulais me rouler dans le stupre comme une grosse cochonne dans la gadoue. Avec ma main, j’ai réveillé ma petite chatte qui voulait elle aussi se prendre une douche de sa liqueur. “Tourne-toi”, a-t-il ordonné. En petite chienne, j’ai cambré les reins pour lui tendre mes fesses et qu’il ait accès à ma vulve bien épilée pour l’occasion. Il a présenté son gros gland et l’a agité contre ma fente, l’a fait glisser, le trempait de temps en temps à l’intérieur pour le ressortir aussitôt, puis il se branlait entre mes lèvres. Mon corps était son terrain de jeu et il s’amusait à réveiller ses recoins les plus intimes en me donnant au passage beaucoup de plaisir, car j’adorais qu’il m’utilise de la sorte. La sensation de sa queue contre ma fente me faisait encore plus mouiller et, alors qu’il enfonçait encore son gland en moi, je continuais à me masturber. Son serpent coulait dans la vallée trempée de mon entrecuisse. “Vas-y, remplis-moi de ton foutre”, ai-je dit en me tordant comme une chienne en chaleur.

Lucas ne me pénétrait même pas vraiment, il faisait ondoyer son sexe contre le mien et nos deux organes se branlaient l’un contre l’autre dans un frottement de peaux et de muqueuses qui nous a fait jouir en même temps, tant nous aimons ces frictions externes et délicieuses. Il a rempli mon trou de sa semence et ma chatte débordait de son liquide épais et blanchâtre. Il a pris une photo pour me la montrer ensuite. J’adore cette image. J’ai mis une main sous mon sexe pour recueillir des gouttes de son foutre et me l’étaler sur les seins, mes seins gonflés de plaisir et sublimés par son suc nacré. Une fois qu’il repart de chez moi, je ne me lave pas tout de suite pour conserver la sensation de ce sirop amer sur ma peau.

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