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La rédaction 3 juin 2021

Baptiste, 35 ans nous raconte son histoire pré-Covid avec Luna, une bombe de 25 ans pendant une journée de formation professionnelle.

Je suis un homme de 35 ans, ingénieur dans une grosse boîte, plutôt solitaire, mais aimant les plaisirs simples comme le fait de me réconforter avec votre magazine ! Cette histoire de sexe se déroule avant la Covid, quand il se passait encore des trucs en entreprise. Nous devions faire une journée de formation avec une jeune animatrice qui devait faire de la prévention contre le sexisme dans le management.

lle s’appelait Luna, 25 ans environ, une jolie blonde belle gosse en service civique sur laquelle tous les mecs de l’équipe se sont tout de suite mis à loucher. Avec elle, on a bien appris les différentes formes de sexisme, et même les questions de consentement. Bon, contrairement aux idées reçues, nous n’étions pas qu’une bande de gros beaufs et nous étions déjà un peu au courant, mais c’était quand même un rappel nécessaire pour certains d’entre nous. Nous avions bien envie de lui demander son consentement à elle, pour des rapprochements et plus si affinités !

Pendant la formation, j’ai remarqué qu’elle me regardait tout le temps, de manière très rapide et presque imperceptible, mais tout de même je voyais bien que son regard s’attardait sur moi et me dévisageait avec une petite pointe de sourire en coin. À la fin du cours, je me suis avancé pour la remercier et elle m’a fait un grand sourire. « Merci, vous étiez un des seuls qui semblaient vraiment m’écouter et pas juste mater mes seins. »

Si elle savait, je ne faisais pas que prendre des notes, ça non… J’ai pris mon courage à deux mains et lui ai demandé si elle consentait à aller prendre un verre en essayant de ne pas être trop lourd, prêt à me rétracter. À ma grande surprise, elle a accepté ! Je jubilais intérieurement et nous sommes allés nous attabler à une terrasse chauffée. Elle m’a raconté qu’elle venait de commencer ce job et que ça la saoulait un peu car elle tombait souvent sur des gros lourdauds qui, plutôt que d’appliquer ses préceptes, lui lançaient justement des vannes sexistes à longueur de temps.

Elle m’a avoué que, pourtant, elle fantasmait souvent sur les ingénieurs barbus et un peu geeks à qui elle s’adressait, comme moi, en s’imaginant vivre des passions torrides avec eux pendant qu’elle donnait sa formation.

Elle savait me prendre par les sentiments ! Nous avons continué à flirter gentiment, elle et moi, en descendant quelques bières et elle a fini par à nouveau prendre les devants en me demandant de la suivre chez elle. J’ai pensé à ma copine une seconde, mais elle m’avait trop ensorcelé pour faire marche arrière. Comme elle habitait assez loin, je l’ai embrassée sur le trottoir pour la chauffer et changer un peu ses plans. Plutôt que d’aller chez elle, je connaissais une petite salle de réinterstron.ru qui serait un bel endroit où réaliser son fantasme.

Elle m’a suivi en riant, et cette perspective commençait à devenir vraiment sexy. Nous sommes retournés dans les locaux de ma boîte. Une fois dans la salle de réu, nous avons fermé la porte et nous nous sommes installés sur un canapé d’angle qui servait à prendre le café. Nous nous sommes pelotés avec avidité, nos langues jouant un étrange jeu l’une dans l’autre, à naviguer ensemble dans un bain de salive, de bouches avides de sexe. Elle s’est installée confortablement en travers du canapé. À genoux près d’elle, j’ai sorti ma queue déjà bien gonflée par le désir de posséder cette si jolie personne qui avait envie de moi…

Quand elle l’a vue, elle a eu l’air impressionnée par la taille et la grosseur de l’engin. Elle a voulu le recevoir dans sa jolie bouche que je rêvais de prendre. Ma bite s’est enfoncée progressivement entre ses lèvres et elle m’a fixé de son regard bleu et mutin tandis que ma chair avançait dans sa bouche baignée de désir, déformée par la grosseur de mon membre. La formatrice avait besoin parfois de s’amuser un peu, on dirait ! De ma main gauche, j’ai fouillé dans sa culotte jusqu’à sentir l’inondation de sa cyprine, j’ai remué les doigts contre son clito et sa vulve et elle se tortillait comme une petite féline. Je profitais de ces mouvements pour faire avancer ma queue plus loin dans sa bouche tout rose qui l’accueillait avec un ravissement visible. Poussé par l’érotisme du moment, j’ai attrapé mon téléphone pour lui tirer le portrait. Elle a rosi encore plus. La pièce était silencieuse et on ne percevait que nos gémissements étouffés. Elle était sous le charme.

Quand elle a commencé à déboutonner son pantalon, je l’ai aidée et j’ai découvert son adorable minette elle aussi toute rose et humide de désir. Elle m’a offert un spectacle divin sur sa chatte en écartant bien les jambes. J’y ai enfoncé ma virilité durcie et épanouie, trouvant un chemin d’intense plaisir au cœur de son intimité, dans ce couloir des délices percé entre le ventre et les fesses, et je la sentais m’appartenir.

Dans cet élan qui me faisait sentir si bien, niché au creux d’elle, j’ai pris les dernières photos de ma queue dans son petit trou avant de décharger dans son puits d’amour alors qu’elle se donnait du plaisir en se frottant le clito. Elle a joui elle aussi, et fort, et la salle de réinterstron.ru n’était plus que la chambre d’échos de notre attraction irréversible.

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