Réveil humide

La rédaction 30 juin 2019

Constance, agent administratif, 33 ans

Traînant au lit, et pas encore pleinement réveillés. Cédric s’est tourné sur le côté, son pénis a touché ma hanche. J’ai eu l’impression qu’un somnambule cherchait son chemin, quand j’ai senti son nœud dur comme un menhir à travers l’étoffe de son pyjama. J’ai profité de la chaleur de la nuit, sa veste ouverte, pour passer ma main sur son torse chaud. Mais quels rêves avait-t-il donc fait pour bander aussi dur ? Je m’imaginais des choses érotiques bien que sachant que, pour la queue, peu importe la nature des rêves, n’importe quelle sorte d’images nocturnes font bander.

J’en ai profité pour glisser ma main sous le pantalon de son pyjama et j’y ai trouvé son braquemart bien raide. Quand la bite est d’acier, elle ressemble parfois à un bout de bois. Pourtant, à la main et en bouche, ce que je vérifiais aussitôt, cela reste bon ! Je me suis mise à le sucer en caressant le gland du bout de la langue, tout en lui parlant : « Tu l’as grosse ce matin, tiens ». En passant sur le gland rose et humide de ma salive, j’imaginais mon bouton, mon clit’ d’amour se presser très doucement sur le méat ouvert ! Cela reste aussi mystérieux, magique et un peu comique, cette verge qui gonfle, au point que l’on croit qu’elle a un os solide, et puis qui s’affaisse, devient minuscule. Au réveil, de plus, Cédric a souvent envie de vidanger, et sitôt rentré des toilettes, la bite belle et grosse en acier trempé devient malléable, comme de la pâte à modeler. Rien de tel alors que de soulever les boules, de les toucher du bout des doigts puis de les garder au creux de la paume en serrant. Elles sont alors comme un cœur qui se contracte et expire pour attirer le sang et le propulser à l’extérieur. Ensuite, j’aime lui montrer mes seins pour que sa queue tressaille, les pans de ma veste de pyjama écartés. 

Ce matin, il a caressé mes seins en poire qui dessinaient deux tremplins. Il s’est saisi d’eux par les tétons et a passé ses paumes sous eux pour les presser. « J’ai envie de toi… », lui fis-je, tandis qu’il écartait mes cheveux noirs qui chatouillaient le haut de la poitrine. « N’oublie pas que nous sortons… ». Ce rappel m’a fait prendre conscience que ma chatte était bien mouillée, humide, la fourrure bouclée et dense, bien fournie jusque vers la raie en brousse, tout autour de l’anus, du trou du cul, Cédric ayant lui aussi une forêt de poils épaisse.

J’ai commencé à faire venir de haut en bas sa tige entre mes seins. Cédric m’a embrassée et fait basculer sur le dos. Il a sucé à pleine bouche mes seins et j’ai senti sa langue sur mes lèvres intimes et ma chatte s’ouvrir. Mon clit’ d’amour délicatement sorti, il a pu enfin baiser ma touffe, fourrer son nez dans ma toison et parcourir mes lèvres du dehors et les volets intérieurs ouverts. « Ton con est humide, très ouvert… ». Je donnais du bassin pour que sa langue aille le plus loin possible sur ma vulve. Sa langue se promenait, il m’embrassait comme un baiser très amoureux sur la bouche du visage, posant et retirant ses lèvres rapidement, poussant sa langue que ma chatte aspirait. Je sentais mon intimité se mêler à sa langue, la serrer, pendant que ma main prenait sa queue. Je me suis aperçu qu’il bandait, très raide. Tirant dessus du bout des doigts, je l’ai attirée vers mon sexe pour la glisser en moi. Le con a cet avantage de pouvoir se métamorphoser, de devenir une voie de plaisir, zone de mille picotements, quand le derme de la chatte prend le vit. Puis je présentai à Cédric mes fesses, qu’il s’est mis à lécher. Et, prenant le majeur de sa main gauche superposé au mien, je frottais mon clito. Je me suis ensuite à nouveau saisie de son bâton et, par derrière, ma chatte l’absorba. Cédric m’a donnée des nouvelles de cette queue par son foutre, reçu cinq sur cinq, cette décharge en moi si délicieuse. Je me suis alors précipitée sur son membre après avoir joui moi aussi. Je l’ai sucé, trouvant quelques gouttes de foutre matinal que je partageais dans un large baiser. 

J’ai enfilé une culotte une fois lavée, mon dos et mes fesses, ma chatte et mes seins reposés après avoir été frottés par Cédric dans la baignoire ! Une jupe et un corsage, septembre étant encore chaud. Cédric a enfilé son caleçon et son pantalon, jetant sur sa poitrine un maillot blanc. Il a serré mes seins à demi-découverts dans un soutien-gorge d’été, mon chemisier déboutonné laissant voir leur naissance, tandis que son pantalon de toile légère laissait deviner sa queue qui bandait à nouveau. 

Je mouillais depuis un certain temps à l’idée de me pencher à une fenêtre, les fesses tendues, et de sentir la queue de Cédric m’englober, me la mettre entre les globes. C’était notre mission du jour et l’objet de notre sortie. Pour cela, nous avions repéré une pièce d’un musée zoologique dont les fenêtres ouvertes l’été donnaient sur un parc. Pièce peu fréquentée où il n’y a pas de surveillant. Ce jour-là, nous nous sommes rendus dans cette fameuse pièce d’animaux naturalisés. Seuls, il nous fallait profiter du pas de tir idéal, l’orbite de mes fesses, le cœur battant tous deux, Cédric me disant combien il était fébrile et heureux. Ma jupe était déjà soulevée, je lui ai passé un onguent artisanal que nous avions fabriqué avec des fruits mixés et que j’avais glissé dans mon sac. Il a baissé ma culotte, trempé son index dans ma minette, elle-même très heureuse de sentir l’air extérieur la caresser. 

Mon amant a alors passé la crème de fruits, mêlée à de la matière grasse, dans mon anus, tandis que ma main passait par sa braguette ouverte et le côté du caleçon. Si des visiteurs venaient à passer, ils ne verraient que deux amoureux penchés l’un dos à l’autre à la fenêtre… Le trou du cul a bu cette pulpe de fruits et s’est assoupli, si bien que sa queue a rebondi en douceur par-dessus les anneaux, parcourant le canal anal. Nous avons pu nous foutre ainsi plusieurs minutes, excités par les voix intérieures, mais surtout par les promeneurs du parc. Je me voyais foutue en cul, en plein désir sans que personne ne s’en doute… Puis j’ai dit à Cédric que ma chatte, jalouse, en voulait un peu. Son membre fut aspiré par la vulve qui recula, grossit et s’étendit comme une tempête… J’ai joui, bouche fermée. Quel dommage de ne pouvoir crier l’amour ! Comme c’est bon de se faire foutre, le nez à la fenêtre du musée !

(Photo à la une : Getty Images)

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