Plaisir d’offrir !
5 octobre 2020Leïla, 58 ans, a un mari candauliste et voyeuriste. Elle décide de se taper un homme marié devant lui, dans un parking souterrain.
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Mon mari aime m’offrir à d’autres et j’y consens allègrement. C’est même plutôt moi qui décide de me taper qui je veux et cela tombe bien, car ça l’excite follement !
Notre couple a une certaine longévité derrière lui car j’ai aujourd’hui 58 ans et nous nous sommes rencontrés dans notre jeunesse. Nous avions trouvé ce petit jeu candauliste pour nous réinventer et nous élaborions même les scénarios de nos fantaisies sexuelles.
La dernière en date a pour décor un garage. C’était le garage de l’immeuble d’un homme marié que je voyais en cachette de sa femme (mais pas de mon époux). Nous avons décidé de nous retrouver là-bas pour plus de discrétion, d’autant que les hôtels étaient fermés dans le quartier et que nous voulions baiser à l’extérieur pour plus de piment. Cette fois-ci, je ne me contentais pas d’y aller et de raconter mes galipettes à mon mari. Il m’accompagnait.
Celui-ci a pris le volant pour me conduire dans le garage de mon amant. J’étais en mini-jupe avec des porte-jarretelles et des bas qui habillaient mes cuisses rondes. Mon soutien-gorge push-up me faisait une belle poitrine sous mon débardeur et mes longs cheveux châtains en caressaient le galbe. Mon mari avait effleuré ma cuisse tout le long du trajet et cela avait éveillé mes sens.
Une fois arrivés au garage, il s’est dirigé vers un coin reculé pour se garer nez-à-nez avec une grosse berline noire. Là, au volant du véhicule à l’arrêt, mon amant nous regardait. Il était beau, la cinquantaine, t-shirt noir sur son torse agréable, cheveux bouclés et drus qui lui donnaient un air jeune. Je suis sortie, courte vêtue, pour m’asseoir dans sa voiture, côté passager. Il m’a saisie par le cou et m’a longuement embrassée avec la langue.
Nous jetions des coups d’œil à mon compagnon resté dans sa voiture qui nous matait sans en perdre une miette. Je voyais son bras bouger et je devinais qu’il avait déjà sorti sa queue pour se masturber devant le spectacle de nos ébats. Puis je me suis concentrée sur mon amant, Max. Son visage a plongé dans mon décolleté et il a embrassé toute la surface de mes seins pendant que mon sexe palpitait au rythme accéléré de mon cœur.
J’ai écarté les cuisses sur le siège et il y a plongé ses doigts intrépides, cherchant mon clito et le titillant de la pulpe de l’index. J’ai penché mon visage vers sa queue sous le volant et il a caressé mes cheveux pendant que je le pompais. Mon mari devait voir le visage contracté de l’amant qui se faisait sucer, et, même sans voir ma propre bouche déformée par son chibre, il devait bander très dur.
Max a reculé le siège et baissé un peu le dossier. Je me suis assise sur sa queue, agenouillée de part et d’autre de lui. Il a soulevé ma jupe pour caresser mon cul qui s’offrait ainsi en spectacle au voyeur. Ses mains ont palpé ma chair, donné des fessées, parcouru mes fesses pour y enfoncer une puis deux phalanges. Je tortillais du cul pour mieux sentir sa pénétration digitale qui me faisait grand effet.
J’imaginais la vue plongeante de mon époux sur mon derrière imposant en train de remuer sur un autre. Ivre de désir, Max m’a prise d’un seul coup. Je n’avais pas de culotte alors l’accès à mon sexe était aisé… J’ai senti sa bite jaillir dans mon vagin et le plaisir m’envahir. Je jouais des reins et les cambrais pour mieux le sentir. Ses mains et sa bouche étaient dans mon cou, sur mes seins, ses mains se perdaient dans mes cheveux, m’agrippant de toutes parts et ma langue disparaissait dans sa bouche.
Mon mari devait être subjugué devant tant de passion. J’ai tourné la tête pour regarder en arrière dans sa direction. Pendant que Max me baisait de plus belle sur le siège de son auto, nos regards se sont croisés. Mon mari pouvait voir mon cul frémir sous les coups de bite et mon regard incandescent le transpercer pendant que je me faisais prendre par cet homme qu’il ne connaissait pas.
Je me suis tournée pour me retrouver agenouillée sur Max dans l’autre sens, dos à son visage qui continuait d’embrasser ma nuque. Mes seins durcissaient à mesure que mon amant me pénétrait. Je faisais face à mon mari, dont je voyais le visage pantelant derrière son pare-brise. Je poussais sur les genoux pour accélérer les allers-retours sur le sexe dressé de Max. J’ai laissé l’orgasme me saisir pendant que je bondissais sur mon amant, offrant le spectacle de mon visage jouisseur et de ma poitrine déchaînée à mon compagnon…
Quand Max a eu joui à son tour, je suis sortie tout naturellement de sa voiture, la jupe encore remontée sur les fesses, pour revenir m’asseoir dans le véhicule de mon légitime. Il m’a embrassée tendrement et j’ai vu le mouchoir plein de son foutre dans le vide-poche, signe qu’il avait apprécié sa séance voyeuriste.