Prof (très) particulière

La rédaction 21 novembre 2025

J’ai toujours été précoce, en tout, pour marcher, parler, lire, ensuite, à l’école, j’ai sauté trois fois une classe, je me suis donc retrouvée avec mon CAPES de maths très jeune. Mais une professeure en collège presque nubile, ça ne gagne pas des masses, j’ai donc diffusé des annonces pour donner des cours particuliers. J’ai été contactée très vite par Benoît (Ben), il était en prépa et galérait avec une partie du programme. Voici mon histoire de sexe amateur érotique.

fellation et cours particuliers

Les premières séances se sont déroulées tout à fait normalement, jusqu’au jour où, à la fin d’une longue bataille sur des algorithmes, j’ai aperçu un magazine traîner sur le lit … interstron.ru ! La fille sur la couverture était superbe, elle affichait une paire de seins magnifiques. Jouant les fausses ingénues, j’ai demandé ce que c’était. Sans même rougir, Ben a attrapé l’ouvrage et a commencé à me faire la lecture. Après les deux premiers témoignages, je glissais une main sur la braguette de Ben, il bandait à mort. J’ai écarté l’élastique de son short, aucun slip ni caleçon à l’horizon, juste une bonne grosse queue qui n’attendait que ma bouche pour lui faire du bien !

Je déteste faire l’amour à moitié habillé, on est empêtré dans une culotte ou une chemise au boutonnage rétif. J’ai dénudé mon élève et me suis mise à poil devant ses yeux exorbités. Ils lui sont carrément sortis de la tête lorsque je lui ai tendu mon portable pour immortaliser notre première partie de jambes en l’air. Il n’était pas au bout de ses surprises … Je me suis accroupie devant un Ben très attentif et je l’ai pris en bouche. Au fur et à mesure que je pompais son gros dard, l’engin prenait forme, un peu comme un ballon dans lequel on souffle, sauf que là, j’aspirais.

Je me suis relevée et allongée sur le lit, j’ai alors pu accepter son énorme chibre au plus profond de ma gorge. Pendant ce temps, Benoît me doigtait la chatte et je sentais bien qu’un de ses auriculaires, coquin, allait traîner ses guêtres du côté de ma petite étoile plissée. Le garçon avait visé juste, je ne jouis jamais aussi fort qu’avec une pénétration anale. Je l’ai donc encouragé à continuer ses explorations interdites tout en poursuivant ma pipe, alternant les coups de langues sur son scrotum et sur son gland, avalant le mât ou crachant sur la hampe pour aspirer ma salive ensuite et créer une fraîcheur sur la zone ciblée.

soixante-neuf et sodomie

Nous avons inversé les rôles, moi dessus et lui dessous, en soixante-neuf. Sa langue pilonnait mon clitoris, j’engloutissais la colonne en rythme afin de lui garantir la dureté la plus forte possible, mais Ben jouait les timides, là-bas, entre mes fesses. C’est moi qui lui ai montré la voie ! J’y ai glissé un, puis deux doigts et j’ai taquiné mon anneau juste sous son nez. Le message a été assez clair. Nouveau retournement de situation car le cochon voulait tout maîtriser et tout voir, c’est donc en missionnaire qu’il a entamé la sodomie que j’attendais tant ! Après m’avoir, tout de même, voluptueusement embrassée avec la langue, s’il vous plaît, et avoir goûté ma mouille aux fragrances marquées, il a joué avec son gland sur les pourtours de mon anus déjà bien dilaté.

Je respirais fort, mon ventre se soulevait, mes seins bandaient, j’ai murmuré plusieurs fois des « putain, oui, oui, vas-y, mets-là moi » et il s’est enfoncé en moi. Mon trou arrière s’est ouvert sans broncher, il a fait entrer son bout turgescent et s’est arrêté, attendant un signe de ma part. Je l’ai attiré pour lui rouler une pelle et, en se penchant sur moi, il s’est planté au plus profond de mon sphincter. Je sentais ses couilles battre le long de la raie de mes fesses, il transpirait et marmonnait des mots incompréhensibles, mais son bassin bougeait comme par magie. Ben ne décollait pas son torse de ma poitrine, mais sa queue allait et venait toute seule dans mon anus. Le poids de son corps, la régularité de ses pénétrations m’ont fait jouir dans un relâchement total et j’ai poussé un cri surpuissant.

Benoît est sorti de mon orifice anal tout doucement, laissant à mes spasmes le temps de s’apaiser puis de disparaître. Mais à vingt-et-un ans, on est robuste, endurant, et mon amant savait se maîtriser. Je l’ai repris en bouche. Sa bite était désormais veinée, agitée de soubresauts, ses doigts cherchaient ma chatte. Nous nous sommes réinstallés tête-bêche et j’ai eu un nouvel orgasme sous les assauts de sa langue. Décidément, ce jeune mâle en devenir était déjà bien au fait des secrets du plaisir féminin. J’ai tout de même eu le dernier mot. Mes lèvres se sont faites velours, mes ongles sont venus jouer avec ses bourses, les mouvements de déhanchement ont recommencé, plus vifs, plus francs, jusqu’à ce que je sente un flot de foutre gicler par saccades.

A lire aussi : 

Sodomie en forêt normande

Sodomie tant attendue

La sodomie de la vengeance

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru