Promotion canapé (de Charlotte)

La rédaction 25 septembre 2019

Charlotte, 24 ans

J’ai 24 ans, et je suis technicienne de surface dans une entreprise d’agroalimentaire de la région paloise. Il y a deux mois, j’ai emménagé dans un petit appartement quand mon copain m’a larguée. Il ne me touchait plus depuis un bon moment en plus, bon débarras ! Mon patron Brahim, qui a eu vent de ma situation, m’a proposé de me vendre son canapé pour pas cher. Il comptait le jeter de toute façon. Et moi, je n’avais pas de meubles ni de thunes pour en acheter des neufs.

Mon associé Abdel est passé me chercher le samedi soir suivant, avec le fourgon de l’entreprise. Nous sommes allés chez Brahim pour prendre le canapé. On m’avait prévenue que c’était son anniversaire, alors j’ai soigné ma tenue : jupe courte, décolleté juste suffisant, petit string et soutif transparent (on ne sait jamais). Je dois avouer que mes patrons me faisaient un peu craquer. Pendant le trajet, Abdel n’a pas cessé de me dévorer des yeux et de me féliciter sur ma tenue. Il m’a expliqué que nous ne serions finalement que quatre à la soirée de Brahim puisque seul leur ami Mourad pouvait venir. Ils s’y étaient pris un peu tard pour organiser la petite fête.

Dans le salon, nous avons bu l’apéro sur mon futur canapé. Je me suis vite retrouvée à siroter mon deuxième cocktail. Puis, j’ai dansé un peu. Comme je ne bois quasiment jamais, l’alcool n’a pas tardé à me tourner la tête. Brahim s’est approché de moi et m’a demandé si tout allait bien. J’ai respiré son parfum entêtant et j’ai apprécié sa voix douce. Je lui ai répondu que je ne m’étais pas sentie aussi bien depuis longtemps. Il a dit que ça se voyait avant de me complimenter sur mon gros 95C et mes fesses rebondies. Il m’a proposé de goûter aux délices de l’Afrique en posant ma main sur son sexe. J’ai eu l’impression de quelque chose d’énorme et de gonflé à travers la toile du pantalon. « J’ai en tête un truc sympa que tu pourrais m’offrir pour mon anniversaire, Charlotte« , a-t-il chuchoté dans ma nuque. Je me suis dit: « Pourquoi pas ? » Leurs manières n’étaient pas très subtiles, mais j’étais vraiment en manque de baise.

Je me suis bientôt retrouvée toute nue en train de sucer la large queue de mon chef, tandis qu’Abdel me bouffait le minou à pleine bouche. Il aspirait mon clito tellement fort que j’en avais le souffle coupé. Je haletais et tremblais comme un petit animal fébrile qui va avoir une friandise. La mouille dégoulinait entre mes cuisses. Soudain, Abdel a carrément poussé sa langue au fond de mon intimité. Là, j’ai crié de plaisir. Brahim était fasciné par mes nichons qu’il pétrissait. Il me chauffait à blanc en glissant des saletés dans mon oreille : « On va te tringler comme une salope ! Mais suce-nous encore un peu d’abord, tu as tellement l’air d’aimer ça… Tu ne perds rien, on va te défoncer à la sauvage, tu vas voir ! »

Je n’en pouvais plus, je voulais me faire prendre, je les ai supplié de m’empaler, j’en avais trop besoin. Mon patron s’en est chargé. Il me l’avait promis ! Il m’a assise de dos sur son dard en béton armé. Il m’a topée en marche arrière, quoi. J’ai tout reçu d’un coup, il a rivé ses mains sur mes hanches et j’ai eu l’impression qu’il m’écartelait tant son pieu était long et dur. Je n’avais jamais eu une aussi grosse queue dans mes entrailles. Brahim, lui, me trouvait serrée de la chatte, il adorait la sensation et ne se privait pas de me le dire. « Je vais t’élargir, Charlotte, je vais te déformer, tu es trop bonne. »

Abdel et Mourad sont venus se faire sucer pendant que Brahim coulissait dans mon minou de plus en plus fort, il entrait en moi jusqu’aux couilles en criant: « Tu vois, c’est comme ça de se faire baiser à la sauvage ! » J’étais au bord de l’évanouissement, j’allais jouir. Mes hurlements devaient résonner dans tout l’immeuble. J’ai alors eu le bonheur de découvrir l’orgasme multiple, j’ai joui coup sur coup… sur coup, toutes les trente secondes ! Il me fourrait violemment sans s’arrêter. Ça a ensuite été au tour d’Abdel de me défoncer dans la même position. Il était bien monté lui aussi. J’ai pris sa grosse bite dans ma fente pendant vingt minutes alors que Brahim et Mourad me baisaient la bouche. Ils m’ont aspergée en même temps. Abdel a poussé un petit cri en déchargeant au fond de ma chatte pendant qu’il me doigtait l’anus. Les deux autres ont repeint mes (je cite) « gros nibards de salope » avec leur sperme.

Depuis ce jour-là, je passe le plus clair de mon temps avec les jambes écartées et les seins nus à l’entreprise… Je les ai invités tous les trois à mon nouvel appartement vendredi soir et ils m’ont dit qu’ils n’épargneraient aucun orifice. Il y en aura pour toute la nuit, soi-disant… On verra bien. J’ai hâte !

(Photo à la une : Getty Images)

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