Baisée par mon beau-père

La rédaction 19 mars 2020

Ce week-end là, j’étais venue rendre visite à ma mère et à son nouveau compagnon dans leur maison de campagne. Ma mère avait bien de la chance : elle avait pris un sérieux coup de jeune depuis qu’elle avait rencontré ce nouvel amant, Alain, qui s’était, à ma grande surprise, installé chez elle au bout de quelques mois de liaison seulement.

C’était un beau mec à la chevelure poivre et sel de 45 ans, tandis qu’elle allait sur ses 58. J’en ai moi-même 30, si bien que je me retrouvais dans cette position étrange, à loucher moi-même avec curiosité sur cet homme qui semblait tant la satisfaire depuis qu’elle avait divorcé de mon père. Alain était à ce moment de sa vie où il paraissait à la fois séduisant aux yeux d’une femme comme ma mère, désireuse de commencer une nouvelle vie plus active sexuellement, et à moi, qui me questionnais sur le désir et l’avenir de ma sexualité.

Comme je me préparais à me fiancer avec un garçon de mon âge, cet homme un peu plus mature m’émoustillait pas mal et me donnait presque des envies de dernier écart avant mon engagement… Je sentais que son regard s’attardait sur moi. Normal, je ressemble beaucoup à ma mère, blonde et toute mince, mais en plus jeune… L’idée m’a traversé l’esprit : allions-nous commettre ce péché, cette trahison ultime de coucher ensemble ? Je n’osais y penser, tout en le fantasmant secrètement.

Le dimanche après-midi, ma mère est partie à son cours de yoga après un déjeuner où nous avions été particulièrement complices tous les trois et où j’avais senti comme un encouragement dans la manière qu’avait Alain de me regarder et de me parler.

Ma mère a filé à son cours et nous avons rangé et fait la vaisselle ensemble en discutant. Sa main effleurait parfois mon épaule en saisissant les assiettes pour les sécher et j’étais certaine qu’il n’y avait pas de hasard dans ces contacts inopinés. Puis il a filé dans leur chambre pour faire une sieste.

Je suis allée dans la mienne pour en faire autant et je me suis déshabillée pour me retrouver en culotte de coton et débardeur.

Mais, plutôt que de me glisser sous ma couette où j’avais envie de me caresser en pensant à lui, je me suis dirigée vers sa chambre sur la pointe des pieds, pour regarder, pour l’observer dans son sommeil.

Quelques secondes seulement, juste pour avoir une image de lui, promis.

Il m’attirait beaucoup trop. J’ai poussé la porte.

Alain était étendu sur le lit dans le plus simple appareil ! Je le soupçonnais presque d’avoir fait exprès. Un simple bout de couette recouvrait son buste, mais ses jambes dépassaient, et je devinais sous l’édredon la base de ses couilles.

Je n’ai pas pu résister et je me suis approchée. Avant même de réaliser ce que je faisais, je me suis retrouvée à quatre pattes sur le lit, à prendre délicatement sa queue entre mes doigts. Elle était déjà légèrement bandée et s’est instantanément durcie dans ma main.

Elle était belle, fière, rose à souhait, la peau lisse et le gland parfaitement dessiné.

J’avais envie de n’en faire qu’une bouchée ! Le mec de ma mère a ouvert les yeux en sursautant : « Lola! Qu’est-ce que tu fais? On ne peut pas faire ça… » « Ne prétends pas que tu n’y as pas pensé», ai-je rétorqué en mettant un doigt sur ma bouche pour lui intimer de se taire. « Et puis ta queue semble d’accord, elle…» Il a laissé retomber sa tête sur l’oreiller.

Il capitulait. J’ai alors donné quelques petits coups de langue et des baisers sur le gland avant de le suçoter doucement, goûtant au fruit interdit.

« C’est vraiment mal ce que tu fais… » a-t-il murmuré entre ses lèvres, tout en soupirant de plaisir. J’étais allée trop loin déjà et je ne pouvais résolument pas m’arrêter en si bon chemin.

Ma mère avait tellement de chance de baiser un mec pareil ! Sa bite était délicieuse. Je me suis allongée sur le lit tout contre lui.

J’ai retiré mon t-shirt et mes seins se sont retrouvés contre son torse d’homme plus âgé que moi, mes tétons pointant délicieusement contre sa peau chaude.

J’ai posé mes lèvres sur les siennes tout en tenant fermement son sexe dans ma main et en le branlant énergiquement jusqu’à lui faire pousser ses premiers gémissements. Le contact de ses lèvres, de son torse et de sa bite qui palpitait dans ma paume, m’excitait intensément.

Ce goût de transgression absolue rendait la scène encore plus érotique.« Ce sera notre petit secret », ai-je murmuré à son oreille, incapable de refréner mon désir.

J’ai, une fois encore, pu constater que les hommes n’offrent que peu de résistance à une proposition sexuelle appétissante : en quelques secondes, il s’est laissé complètement aller, ses mains malaxaient mes seins et se promenaient avec fièvre sur mes hanches.

« Je veux que tu me goûtes », ai-je demandé. Désormais intégralement nue moi aussi, je me suis hissée pour me trouver accroupie au-dessus de son visage et lui présenter mon sexe.Je me tenais à la tête de lit pour descendre progressivement sur sa bouche.

Sa langue léchait ma fente et mon clito alors qu’il tenait mes fesses au-dessus de sa tête pour les masser et les écarter en même temps. Sa langue m’administrait un cunni savoureux et dynamique, tandis que ses doigts pétrissaient mon cul, et mon sexe s’ouvrait un peu plus sous chacune de ses caresses mouillées.

J’adorais m’offrir à lui de la sorte et céder à mon caprice. C’était un bon amant, je m’en étais doutée. Alain s’est relevé brusquement pour me plaquer dans le lit.

ll avait abandonné toute retenue morale et, je pense, tâchait d’oublier ma mère, le temps de quelques instants, pour faire taire les arguments qui l’auraient empêché de céder lui aussi.

Il m’a précipitée contre le matelas pour se retrouver au-dessus de moi, dominant mon corps exposé, jambes écartées, sexe offert, il voulait reprendre les rênes.

Alain a saisi sa queue vigoureuse pour la frotter sur ma vulve, la caresser avec, délicatement, insérant son gland progressivement mais pas entièrement, me poussant à le supplier de me prendre, de me baiser. « Tu en as autant envie que moi… » ai-je constaté. « Je vais te baiser, t’inquiète pas.»

Il m’a alors retournée, comme pour me punir de mon audace. Je me suis retrouvée face contre le matelas, poitrine contre le drap, cul relevé, cuisses écartées. Au-dessus de moi, dans mon dos, il a pris mes hanches pour me pénétrer brusquement. J’adore me faire prendre en étant allongée sur le ventre. Sa queue s’est introduite en moi d’un coup. J’ai gémi mon plaisir tout en serrant le drap dans ma main. Je pense qu’il a voulu me prendre ainsi parce qu’il ne voulait pas croiser mon regard, pour limiter le sentiment de culpabilité qui ne tarderait pas à l’envahir aussitôt qu’il aurait joui.

Alain a de nouveau saisi mon cul qui semblait le fasciner, pour l’écarter, le fesser, le malmener. En même temps, il s’enfonçait en moi et me pénétrait furieusement.

Je resserrais un peu les cuisses pour le percevoir plus fort en moi.

J’espérais que ma mère n’en saurait jamais rien et en même temps, je ne regrettais pas une seule seconde : j’adorais sentir sa queue me pilonner le minou et la sensation de cette bite si puissante et plus expérimentée que celle de mon fiancé suffisait à me convaincre que j’avais eu raison, tant c’était bon. Je m’agrippais aux draps et tout mon corps était traversé de chacune de ses pénétrations, dont les mouvements étaient absolument jouissifs.

J’avais l’impression que sa queue était partout en moi, j’aurais du mal à oublier l’intensité de nos sexes soudés ensemble…

Puis j’ai voulu reprendre un peu le contrôle des choses et je l’ai escaladé pour me retrouver à califourchon sur lui et m’empaler sur sa bite.

Elle s’est fichée dans mon vagin trempé et j’avais l’impression qu’il m’appartenait, ce “beau-père” si charmant dont l’accès m’était en théorie interdit…

Alain me tenait la taille et continuait de fétichiser mon cul en le tenant, en le malaxant, en lui donnant encore une fessée bien placée, dont le coup faisait vibrer mon sexe.

Le visage tendu dans mon plaisir, je profitais pleinement de cette grosse queue qui me limait, me remplissait, me faisait tout oublier de ce péché ultime… Nous évitions toujours soigneusement de nous regarder dans les yeux et profitions seulement de la décharge de plaisir fulgurant qui nous gagnait, et dont tout devrait disparaître, une fois les réjouissances terminées.

Je prenais sa bite au plus profond de moi, je l’avalais dans ma chatte jusqu’à la garde et je frottais mon clito contre son ventre pendant que sa bite butait sur mon point G. J’ai lâché toute retenue en me permettant de jouir, en me cambrant et en criant. Le temps filait. Il fallait en finir.

Je me suis retrouvée de nouveau à quatre pattes, mes cheveux caressant sa queue, ma bouche engouffrant son sexe pour le sucer, sucer cette bite qui m’avait fait craquer quelques minutes plus tôt.

Je l’ai pompé franchement, cette fois, tout en le branlant, jusqu’à le faire éjaculer dans ma bouche et me délecter de sa semence épaisse.

En jouissant, il a lâché un profond gémissement qui trahissait un plaisir intense. Encore nus, nous nous sommes promis de ne jamais en parler.

Je ne sais pas si nous saurons vraiment nous discipliner…

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

  • Nelmy

    J’aimerais bien-être à la place de monsieur ce genre de récit m’excite grave, c’est histoire n’arrive qu’aux autres

    • Cédric

      Ça m’est aussi arrivé de sauter Elodie, la fille de ma compagne…. trop bon!!! Elle a joui très fort avec mon 21 cm!! J’ai giclé dans sa bouche et dans sa chatte.

interstron.ru