Roulez jeunesse !

La rédaction 11 mars 2021

Cindy compte sur l’ex de sa sœur, Kevin, pour lui apprendre les rudiments du skate. Le garçon, au grand cœur, ne se fera pas prier pour lui apprendre bien plus !

Je m’appelle Cindy, j’ai 24 ans et je ne suis pas exactement ce qu’on appelle une jeune fille rangée. J’ai un goût particulier pour entreprendre ce que je ne suis pas censée faire. Je suis celle par qui arrive la tempête.

Je possède en outre un outil idéal à cet esprit aventureux : mon corps. J’ai de longs cheveux châtain clair, des yeux noisette, un corps svelte et souple, des seins certes petits, mais qui tiennent tous seuls comme par magie ! Bref, j’adore jouer de mes charmes.

J’ai du mal à m’empêcher de flirter avec toutes les personnes que je rencontre. Avec Kevin, qui est l’ex de ma sœur, j’avais réussi à me tenir tranquille tout le temps qu’a duré leur relation. Mais j’étais tout de même sensible au charisme de ce garçon, un blondinet à piercing, bien foutu, avec qui je m’étais déjà imaginé vivre une joyeuse partie de jambes en l’air, par pur esprit de provocation.

C’est alors que, par une coïncidence tout à fait heureuse (je vous assure !), j’ai croisé Kevin alors que je me baladais. Il était au skate park en train de faire des figures. Je lui ai fait signe de la main et il s’est précipité vers moi. Voilà déjà une bonne entrée en matière.

J’avais une petite salopette qui dévoilait mes longues jambes jusqu’au ras de mes fesses. « Qu’est-ce que tu fais là ? » a-t-il demandé.

« Je suis venue pour que tu m’apprennes à faire du skate, voyons ! » ai-je répondu, déjà joueuse, et sans même parvenir à réfréner les mots qui sortaient de ma bouche de vile tentatrice… « Avec plaisir ! » m’a-t-il répondu.

Kevin a emprunté le skate d’un ami qui s’apprêtait à rentrer. Je me suis hissée dessus. « Déjà, il faut que tu te familiarises avec les sensations… » Il me tenait par les mains pour me guider sur la planche. Puis, il s’est approché pour accompagner mon mouvement en me tenant par les hanches. Il corrigeait la position de mon buste, puis reprenait mes mains pour m’aider à garder mon équilibre. Je provoquais ces rapprochements, sa proximité me troublait de plus en plus.

Son contact, ses mains autoritaires, avaient un effet affolant sur moi. Pendant qu’il me tractait sur la planche en se tenant tout contre moi, nous avons échangé des nouvelles l’un de l’autre. On avait le droit, désormais, d’être proches ! « Tu m’as toujours plu, tu sais. Et c’est en partie pour ça que j’ai quitté ta sœur, c’était trop dangereux », a-t-il avoué. J’étais flattée ! Nous nous sommes arrêtés sur le trottoir. Il était tout proche, torse nu, ses bras sculptés autour de ma taille, sa peau alléchante à portée de main. C’était irrésistible : je n’ai eu qu’à me pencher pour unir mes lèvres aux siennes par un baiser et abolir la distance polie qui subsistait entre nous.

Ses lèvres ont répondu positivement aux miennes. Nous nous dévorions déjà, tout au désir que nous avions l’un pour l’autre. Face au skate park se trouvait une jolie maison avec un jardin. Elle avait les volets fermés – c’étaient les vacances scolaires. Kevin m’a entraînée vers elle et nous avons sauté par-dessus la barrière.

Nous nous sommes retrouvés sur une terrasse en bois au beau milieu d’une pelouse verdoyante. J’ai fait sauter les bretelles de ma salopette et soulevé mon ­t-shirt pour dévoiler mes seins qui n’étaient entravés par aucun soutien-gorge. Mes tétons pointaient dans sa direction.

Il les a pris entre ses mains, a empoigné mes deux mamelles pour les couvrir de baisers. Ma poitrine était parcourue de chair de poule, tant le plaisir irradiait ma peau. « T’es trop belle, j’ai rêvé de ça plusieurs fois, en secret. » Je n’étais donc pas la seule à avoir des fantasmes mal placés ! Pendant qu’il pelotait mes seins, j’ai attrapé sa ceinture pour le déboutonner et dégager son sexe.

Le moment de découvrir une bite me remplit toujours de félicité. Sa queue était fière et dure, bien roulée, bien faite, vigoureuse, comme lui ! Les bites sont toujours à l’image de leur propriétaire et c’est un moyen de mesurer certaines qualités humaines, selon moi. Je me suis coulée à ses pieds sensuellement pour poser son gourdin sur ma langue en soutenant son regard.

J’avais envie de le rendre dingue !

J’ai astiqué sa longueur de quelques allers-retours avec ma bouche de gourgandine. Puis j’ai attrapé son manche pour le branler au-dessus de mon visage tout en lui gobant les bourses. Elles étaient rondes, douces et chaudes, un régal pour ma langue. Il gémissait de plaisir, et les chants des oiseaux répondaient aux bruits qui émanaient de nos caresses.

Le soleil cognait sur la pelouse, l’air s’était empli d’odeurs de fleurs et d’herbes séchées. La tiédeur du temps faisait que nos corps pouvaient s’épanouir à leur guise, tout nus, sur cette terrasse. Puis Kevin a baissé ce qui restait de ma salopette sur moi pour découvrir mon string rose qui moulait ma minette comme un gant. Il s’est agenouillé à son tour et ai resté un instant sans voix devant mon entrejambe.

Puis, il a fait glisser le string le long de mes jambes, et a découvert mon adorable chatte, ornée d’un liseré de poils noirs. J’étais adossée contre le volet fermé d’une fenêtre, mon string pendait sur un fermoir de volet, la planche de skate était dans mon dos et quelques rayons de soleils caressaient mes seins. Le relâchement qui m’envahissait était accentué par la cajolerie de sa langue qui venait de se poser sur mon sexe entre mes jambes écartées.

La pointe de sa langue avait trouvé mon clito et en même temps qu’il le branlait avec ce petit bout de lui, ses mains chatouillaient l’intérieur de mes cuisses. Le frottement de nos muqueuses entre elles et de ses mains sur ma peau fine était enivrant… Ma chère sœur était bien loin dans mon esprit à ce moment-là, car j’étais toute entière aux mains de velours de cet homme sensuel.

Il réveillait en moi une tempête de sensations, et peu à peu, je ne désirais plus qu’une chose, je voulais tâter de son pieu ! Kevin s’est remis debout face à moi et a commencé à tremper sa queue dans mon minou.

Il a écarté délicatement mes petites lèvres avec son gland, puis s’est enfoncé doucement en moi, dans ma fente nimbée de salive et de mouille. Il était devant moi, son joli visage dans le soleil, son torse sublime et sa queue qui allait à ma rencontre.

Les sensations dans ma chatte étaient autant excitantes que de le voir comme ça, à la merci de son désir pour moi. Plus il perdait les pédales à vouloir me dévorer, me posséder, plus je lâchais prise toute occupée que j’étais à prendre mon pied.

Je me suis retournée contre le volet fermé et j’ai appuyé mes mains et mon buste dessus. Devenant de plus en plus entreprenant, Kevin m’a aidée à soulever ma jambe pour lui donner accès à ma fouffe. J’ai posé le genou sur un rebord de fenêtre et il a tenu fermement ma cheville dans sa main.

Dans une telle posture, j’étais vraiment comme une poupée vivante et il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Délice de ma soumission pour lui ! Je m’accrochais au volet pour ne pas tomber et sa bite entrait en moi vigoureusement, ma chatte s’ouvrait grand pour lui et, en me tenant par la hanche et par la cheville, il s’enfonçait avec vigueur au rythme qu’il avait décidé. Il se faisait du bien dans mon trou dilaté par l’excitation. Acculée, je me plaquais un peu plus contre la maison à chacun de ses coups de bite.

Je le voulais plus fort encore, alors j’ai plongé un peu plus dans ma servitude érotique. Quand je lâche la garde, la séduction laisse place à mon abandon aux sensations intenses d’une pénétration férocement menée.

J’ai glissé à terre à quatre pattes. Si les voisins mataient, ils devaient bien se rincer l’œil ! J’ai posé les coudes sur la planche de skate, cul pointé vers le dard de Kevin, gonflé par le stupre. Sa bite m’a astiqué la chatte en levrette.

« Oh oui, baise-moi, profites-en bien car ce sera peut-être la dernière fois ! » menacé-je. Il me faisait taire en me labourant de plus belle avec son sexe pressé.

Emportés par le plaisir, nous avons fini au sol, en cuillère, trous offerts et luisants de ma transe, lui qui s’enfonçait encore et encore.

Il me tenait par le cul et me baisait avec sa queue généreuse qui achevait de faire grimper mon plaisir entre mes cuisses resserrées. Pour finir, je me suis retrouvée agenouillée sur la terrasse, jambes écartées cette fois, son jus se répandant dans ma bouche pendant que ma main sur ma chatte faisait éclater mon propre orgasme à coups de touchers précis et rapides sur mon clito. Nous dégoulinions des plaisirs suscités par notre écart… sans pour autant nous repentir de quoi que ce soit !


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