Une double et au lit !

La rédaction 30 mai 2024

Soucieux de répondre à l’appétit sexuel débordant de son épouse, Aymeric a invité son meilleur ami afin d’initier la belle au plaisir de la double pénétration. Quand les gros calibres sont de sortie, ça tire à blanc

Épuisé, Aymeric était épuisé. Trop de boulot, de clients à gérer, de stress, de temps passé sur les routes et surtout, trop de sexe ! Qui l’aurait cru, lui qui avait été un coureur de jupons. Lorsqu’il avait rencontré Gabriella, il n’en était pas revenu !

Cette femme avait une libido surmultipliée. Le jour, la nuit, au coucher, au réveil, elle n’en avait jamais assez, elle était insatiable.

Il l’avait déjà surprise plusieurs fois, alors qu’il venait de la baiser et qu’elle avait eu trois ou quatre orgasmes, à se masturber comme une forcenée, avec les doigts, un jouet ou le jet du pommeau de douche.

La dernière scène onaniste qu’il avait espionnée l’avait décidé à agir. En rentrant du bureau, il avait trouvé Gabriella à quatre pattes sur leur grand lit, la chatte et le cul explosés par deux godemichets énormes, elle en tenait un troisième dans la main qu’elle suçait comme si elle était en pleine fellation sur une vraie queue.

Le samedi suviant, il avait donc tout prévu et avait invité un de ses partenaires de rugby que tout le club appelait « bras d’enfant » à cause de son appendice pénien d’une taille démesurée.

Stan plaisait à son épouse, il le savait, l’occasion était donc trop belle, d’autant que son confrère de sport était tout ce qu’il y a de plus partant pour un plan à trois !

Stan est à la maison comme chez lui.

À peine arrivé, il est parti se servir une bière dans la cuisine, lorsqu’il est revenu au salon, Gabriella était au pied d’Aymeric, à moitié nue, ses seins voluptueux à l’air et bandant comme deux grosses têtes d’épingle. Son mari l’embrassait et la caressait doucement.

Stan s’assit dans le canapé et se contenta de les regarder. La brune plantureuse s’était mise à mordiller le jean de son homme au niveau de sa queue qui semblait déjà s’être éveillée. Les boutons de la braguette sautèrent en un rien de temps et une bite raide et légèrement courbée en émergea. Ne voyant plus que la chevelure, le complice comprit aux bruits et aux mouvements de balancier de la tête que la fête avait commencé et qu’une pipe très goulue était en cours.

Stan sortit sa pine à son tour et se branla mollement pour se faire durcir. Son membre avait, lui aussi, besoin des soins buccaux de Gabriella pour accéder à son plein potentiel. Il en fallait du sang pour gonfler cette monstrueuse hydre jusqu’à son paroxysme !

Cette dernière abandonna donc son époux pour gagner le sofa, elle se léchait déjà les babines en s’agenouillant auprès de celui qui s’apprêtait à devenir officiellement son amant. Elle ne quittait pas du regard cette queue gigantesque. Aymeric ne lui avait pas menti, Stan était équipé d’un braquemart hors norme, épais, très épais même, long et massif avec deux énormes balloches accrochées en dessous.

Cul relevé, Gabriella était bien décidée à venir à bout de ce barreau de chaise. Tel un cigare, elle mouilla d’abord le bout du gland et laissa couler sa salive le long de la hampe.

Le fabuleux Cohiba fut bientôt entièrement recouvert d’un jus mousseux qui facilita sa capture en bouche. Les lèvres s’élargissaient et s’étiraient, prêtes à craquer tant l’engin prenait des dimensions hallucinantes !

Le mât était de plus en plus ferme dans la main de Gabriella qui branlait, léchait, pompait, excitée comme jamais d’avoir un si gros morceau à se mettre sous la langue !

Son mari les rejoint à ce moment-là, aiguillonné par le spectacle, il s’était rapproché pour avoir, lui aussi, sa dose de fellation. Sa compagne fit volte-face et offrit son cul bien ouvert à Stan pour prendre soin du vit conjugal. Elle en conçu un soulagement, le volume de la queue de son homme étant bien plus modeste ! Elle était donc en train de butiner le gland turgescent d’Aymeric quand elle sentit un bulbe bien plus imposant fouiller son sillon fessier !

Stan n’avait tout de même pas l’intention de l’enculer ainsi, sans plus de préambule qu’une noix de salive étalée sur son anus !?

À l’instant même où cette pensée lui traversait l’esprit, son petit trou fut investi ! Elle en eut la respiration coupée, elle cessa ses allants buccaux pour pousser sur son sphincter et souffler lentement.

La hampe gagna du terrain pour finir par se loger au plus profond de son rectum. Son étoile s’était transformée en un beignet confortable qui s’élargissait au fur et à mesure que les coups de reins étaient lancés dans son arrière-train. Gabriella dégagea sa jambe pour permettre un accès total à son orifice qui s’épanouissait sous l’effet de cette sodomie vigoureuse.

La queue volumineuse lui pourfendait le fion, ce dernier s’ouvrait et s’assouplissait à proportion que les impulsions de pistons montaient en intensité.

Ses seins étaient l’objet de divers traitements, une main lui pelotait fermement le gauche tandis qu’une autre pinçait fortement son téton droit, étirant le mamelon moelleux et extensible.

Le plaisir était au rendez-vous, sans nul doute, son bas-ventre la chauffait de plus en plus et, même si son clitoris n’était pas encore titillé, les ondes qui provenaient de ses fesses étaient plus qu’agréables, elles se diffusaient jusque dans sa matrice et lui arrachaient des gémissements non feints.

Elle reprit la bite d’Aymeric dans sa main, elle branla la douce verge courbée de son mec, elle était au mieux de sa forme et gagna même encore un peu de volume lorsqu’elle la suça avec une voracité qu’elle ne se connaissait pas.

Entre ses globes, la charge était toujours en cours, le canon de 75 bien calé dans son cul la laminait implacablement, à tel point que Gabriella en conçut une envie folle. Avec ces deux mâles à disposition, pourquoi ne pas satisfaire son vieux fantasme d’une double pénétration ? Elle fit signe à Stan, un peu désappointé, d’arrêter de l’enculer et se releva légèrement chancelante – tenir une pose à ce point acrobatique n’était pas des plus confortable – et alla offrir son anus bien ouvert à Aymeric.

Le clin d’œil entre eux était explicite, son mari comprit immédiatement où elle voulait en venir. La belle brune se laissa coulisser sur le membre bien raide. Plus fin que celui de Stan, il n’eut aucun mal à se frayer un chemin dans les muqueuses dilatées et bientôt, la chatte de Gabriella vint s’écraser sur les couilles glabres.

Un geste de l’index en direction de Stan suffit pour illuminer son regard d’un nouvel éclair de vice. Il se leva prestement et prit possession du tunnel liquéfié.

Les deux queues se retrouvaient voisines, s’apprivoisant l’une l’autre, se faufilant côte-côte, chacune de part et d’autre de la mince cloison qui les séparait.

La première reculait, prenant son élan pour mieux se ficher dans l’œil de bronze, réinvesti de plus belle, tandis que la seconde suivait le chemin inverse, s’enfonçant dans les méandres du vagin moelleux et satiné.

Gabriella, tenue en sandwich, se laissait docilement faire, portée par les va-et-vient des deux amants fougueux qui emplissaient chacun l’un de ses trous d’amour.

D’entre ses cuisses, parvenaient les remugles iodés d’une mouille qui coulait en abondance ainsi que des bruits de chairs humides qui s’entrechoquaient au gré des mouvements de houle infligés à son corps.

Son plaisir fut d’une extrême violence, il naquit dans son bourgeon sensible pour s’insinuer dans tout son con, une charge détonante émanât alors de son cul et s’en alla rencontrer la première ignition.

Les deux sources se rejoignirent pour ne plus former qu’un flux qui alla lui faire exploser la tête d’un vertige orgasmique sans pareil.

Le temps qu’elle se remette de ses émotions, ses deux amants avaient échangé leur place, Stan fut de nouveau invité à emplir l’œil de bronze de Gabriella, l’anneau s’effaça sans peine cette fois, il était ouvert à toutes les pénétrations, aussi impressionnantes soient-elles. Quant à Aymeric, il goûta derechef les bienfaits des pipes fabuleuses de sa femme.

Ce dernier ne put se retenir bien longtemps et, le regard posé sur le pieu qui enculait sa dulcinée, totalement abandonnée, il éjacula dans sa bouche, un torrent de foutre liquide et un peu amer que Gabriella s’empressa d’avaler et de lécher jusqu’à la dernière goutte.

Stan fit durer sa sodomie, une main douce vint alors lui caresser les couilles, la brune voulait son sperme.

Les effleurements sur ses burnes eurent l’effet escompté, elle sentit un pic de pression de la bite enfichée dans son anus, le premier jet avait dû se perdre dans son rectum, les suivants lui souillèrent les fesses, la raie et même le bas des reins !

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