Double pénétration à l’italienne

La rédaction 3 avril 2025

La lumière dorée de l’après-midi filtre à travers les rideaux, projetant des motifs délicats sur le parquet. Mes parents sont partis pour le week-end, me laissant seule dans leur très grand et très chic appartement. L’endroit est si silencieux que j’entends presque les battements de mon propre cœur.

Tout aurait pu être parfait : une après-midi paisible, un thé fumant et peut-être un bon livre. Mais, bien sûr, une catastrophe s’invite toujours quand on s’y attend le moins. « Non, non, non… pas maintenant ! » Je m’agenouille, frôlant du bout des doigts l’espace sombre et inaccessible derrière le canapé. Une de mes boucles d’oreilles, une précieuse petite pièce d’argent offerte par ma grand-mère, a glissé là en un instant de maladresse. J’ai beau scruter, rien à faire. Mon bras est trop court, et ce canapé en cuir crème semble peser une tonne. Je m’assois en tailleur sur le tapis, mon short orange se froissant légèrement sous mes mouvements. Je soupire.

« Bon, réfléchis, Juliette… Qui pourrait bien t’aider ? » Une idée me traverse soudain l’esprit. À l’étage, il y a Georgio et Giuseppe, deux Italiens adorables qui s’occupent de ménages et de petits travaux dans l’immeuble. Je les ai croisés plusieurs fois : Georgio, toujours souriant, en tee-shirt et jean ; Giuseppe, un peu plus réservé, qui adopte le même uniforme, mais charmant à sa manière.

Je me lève, attrape mon téléphone posé sur la table basse, et compose leur numéro. La sonnerie retentit une, deux, trois fois avant que Georgio ne réponde.« Pronto ? »

« Georgio, c’est Juliette, du troisième étage. J’ai un petit problème… Ma boucle d’oreille est tombée derrière le canapé, et il est bien trop lourd pour que je le déplace seule. Vous pourriez venir m’aider, vous et Giuseppe ? »

Un petit rire chaleureux résonne à l’autre bout du fil.« Ah, Juliette ! Pas de problème. On descend tout de suite. »

Quelques minutes plus tard, des bruits de pas dans l’escalier annoncent leur arrivée. Georgio entre en premier, son sourire éclatant immédiatement contagieux. Giuseppe le suit, vêtu d’un tee-shirt moulant un torse parfaitement sculpté. « Alors, où est le patient ? » plaisante Georgio, jetant un coup d’œil sur le salon. Je leur montre le canapé, gênée par l’effort que je leur demande.

« C’est ici. Ma boucle d’oreille a glissé derrière. Je suis désolée, il est vraiment lourd. » Georgio fait un signe de la main. « Rien d’insurmontable. Giuseppe, prêt ? » Giuseppe hoche la tête, se plaçant à l’un des coins du canapé. Ils se penchent tous les deux, et, au signal, soulèvent le meuble avec une facilité déconcertante. Sous le canapé, la boucle d’oreille brille faiblement parmi quelques moutons de poussière. Je m’empresse de la ramasser.

« Je l’ai ! Merci beaucoup, vraiment ! » Ils posent le canapé avec soin, essuyant leurs mains sur leur pantalon. Georgio sourit.« Facile. Une autre mission ? » Je ris, reconnaissante. « Non, c’est bon, mais… vous avez l’air fatigués. Vous voulez vous asseoir un peu ? Ce canapé est peut-être lourd, mais il est très confortable. »

Ils échangent un regard. Giuseppe hausse les épaules. « Pourquoi pas ? » Nous nous installons tous les trois sur le canapé. Je m’assois au milieu, les observant du coin de l’œil. La tension qui m’avait envahie un peu plus tôt se dissipe peu à peu.« Alors, Juliette, commence Georgio, tu vis ici depuis longtemps ? » « Depuis toujours, en fait. C’est l’appartement de mes parents. Ils sont partis pour le week-end. »

Giuseppe hoche la tête, son regard se perdant un instant sur les rideaux. « C’est beau, ici. Très lumineux. » « Merci. Et vous, vous êtes à Paris depuis longtemps ? »

La conversation s’anime. Georgio me raconte son enfance en Toscane, entouré de champs de vignes et de collines verdoyantes. Giuseppe partage des souvenirs de la Sicile, où les plages dorées rencontrent des eaux cristallines. Ils parlent avec une telle passion que j’ai l’impression de voyager à travers leurs mots. « Et toi, Juliette ? » demande Giuseppe, ses yeux sombres fixant les miens. « Moi ? Oh, rien de très intéressant. Je passe mes journées à jongler entre le travail, mes amis, et… et des canapés récalcitrants. »

Georgio éclate de rire.« Tu devrais venir en Italie, alors. Là-bas, tout semble plus facile. »

Un silence agréable s’installe. Je me surprends à penser que ces deux hommes, qui n’étaient que des voisins lointains jusqu’à aujourd’hui, viennent de transformer une simple journée en un moment chaleureux et inattendu.

Le canapé semble presque vivre sous nous, comme s’il répondait à la tension qui s’est doucement installée dans la pièce. Georgio, à ma gauche, s’est rapproché de moi, son regard intense plongé dans le mien. À ma droite, Giuseppe, toujours un peu réservé, a posé une main légère sur mon genou, un geste à peine perceptible, mais chargé de promesses.

Leur proximité créait un mélange d’excitation et de curiosité en moi, une sensation nouvelle, enivrante. Georgio fit glisser sa main doucement le long de mon bras, effleurant ma peau avec une lenteur calculée. Chaque mouvement semblait amplifié, chaque contact brûlait légèrement, comme si la température dans la pièce avait soudain grimpé de quelques degrés.« Tu es très belle, Juliette », murmura-t-il, sa voix grave résonnant tout près de mon oreille.

À ma droite, Giuseppe se pencha également vers moi, son souffle effleurant ma joue. Il  a semblé hésiter un instant, puis la chaleur de ses doigts se fit plus affirmée. Sa main quitta mon genou pour remonter doucement le long de ma cuisse, traçant un chemin lent mais certain.

Mon souffle s’accéléra légèrement, mais je ne bougeai pas. Chaque geste, chaque frisson qui parcourait ma peau semblait parfaitement naturel, comme si ce moment avait été écrit d’avance.

Leurs regards s’échangeaient parfois, une sorte de communication silencieuse, une complicité qui m’incluait sans que je me sente envahie. Georgio glissa ses doigts sous mon menton, me faisant tourner la tête vers lui. Ses lèvres s’approchèrent, si proches que je pouvais sentir leur chaleur sans qu’elles ne me touchent encore. « Tout va bien ? » demanda-t-il à voix basse, ses yeux cherchant une confirmation dans les miens. « Oui », répondis-je, à peine plus qu’un souffle, incapable de dire autre chose.

Les gestes semblaient se synchroniser naturellement, comme si nous étions tous les trois connectés par un fil invisible. Georgio, toujours à ma gauche, glissa sa main le long de ma taille, la chaleur de sa paume traversant le tissu fin de mon haut. Sa prise était ferme, mais pas brutale, comme s’il voulait s’assurer que je me sentais en sécurité dans cette intimité partagée.

À ma droite, Giuseppe poursuivait son exploration. Sa main large et chaude remontant doucement le long de ma cuisse. Il s’arrêta juste avant de dépasser la limite que je n’avais pas encore franchie, attendant un signal tacite, un mouvement de ma part qui lui confirmerait qu’il pouvait aller plus loin. Alors, j’ai écarté un peu plus mes jambes et ses doigts ont plongé en moi. Ils jouaient avec mes lèvres, les pinçaient délicatement, les écartaient, aussi. Il devait sentir qu’une longue coulée était en train de dévaler sur mon petit shorty.

Mon cœur battait à un rythme que je ne pouvais plus ignorer. Leurs présences étaient tout autour de moi, et je ne pouvais m’empêcher de fermer les yeux, me concentrant uniquement sur leurs gestes, leur souffle. La pièce semblait rétrécir, ou peut-être était-ce seulement le monde extérieur qui s’effaçait, ne laissant que nous trois dans cette bulle intime.

Georgio pencha doucement sa tête, ses lèvres frôlant la ligne de ma mâchoire. Ce contact, à peine une caresse, déclencha un frisson qui parcourut mon corps tout entier. Pendant ce temps, Giuseppe, toujours aussi attentif, fit courir ses doigts sur l’intérieur de ma cuisse, ralentissant chaque geste pour en prolonger l’effet.

« Tu es incroyable », murmura Georgio, sa voix grave vibrante d’une sincérité désarmante.

Je rouvris les yeux, croisant son regard intense. Giuseppe s’arrêta un instant, ses doigts toujours posés sur ma peau, et ses yeux noirs rencontrèrent les miens avec une douceur presque timide.

Je me suis alors lâchée et je leur ai rendu la pareille. Mes mains se sont promenées du côté de leur entrejambe et j’ai senti deux grosses bosses déformer leur pantalon bien serré. J’ai sorti leurs deux queues en même temps et j’ai commencé à les astiquer doucement.

C’était amusant, elles faisaient pratiquement la même taille. Mes deux Italiens avaient des allures de jumeaux jusqu’à la pointe du gland.

Aventureuse, je me suis mise à les sucer, un à un. J’ai d’abord commencé par Georgio en avalant sans retenue sa bite jusqu’à la moitié. Puis, je me suis attelée au corps de Giuseppe. J’ai massé tendrement ses couilles et ai englouti son membre d’un grand coup.

Ni l’un ni l’autre n’avait l’air jaloux quand il ne recevait pas une de mes attentions. Ils en profitaient plutôt pour me masser et m’encourager doucement, à travers des caresses qui avaient le poids des mots. Plus notre exploration buccale avançait, plus nos habits glissaient le long de nos corps. Il faut dire que Georgio avait, lui aussi, l’envie de me goûter.

Il a tiré sur mon short et a approché sa tête de mon sexe et de mon cul.

Quelques secondes plus tard, Giuseppe a voulu faire de même. Toute mon entrejambe suintait maintenant de la salive de mes deux amants, combinée à ma propre mouille. Giuseppe s’est révélé être un expert en anulingus. Je ne pensais pas qu’il pousserait l’exploration si loin.

Il léchait mon petit trou avec beaucoup de fièvre et d’engouement. Puis, très vite, profitant de la position où ma chatte était à sa disposition, il s’est enfoncé en moi.

Son gland a d’abord tapé contre mes lèvres, puis il a plongé dedans, d’une traite. Alors que j’avais la bite de son comparse en bouche, j’ai étouffé un « mppffff » discret. Il s’est alors penché vers mon oreille, et, prévenant, m’a demandé : « Je ne t’ai pas fait mal, j’espère ? » J’ai répondu que non et, soulagé de la réponse, il a repris ses à-coups de plus belle.

J’aimais bien le sentir en moi, mais j’avais envie que Georgio donne le change. Je voulais savoir ce que cela faisait d’alterner leur bite en moi, de mesurer, à l’aune de mon élasticité, la taille et la rigidité de leur queue.

J’ai retiré tous les vêtements qui entravaient mes gestes, je voulais me sentir pleinement à l’aise. Ah si mes parents m’avaient vue ainsi, toute nue dans leur salon, aux mains des deux beaux Italiens, nul doute qu’ils m’auraient sacrément engueulée. Mais heureusement, ils n’étaient pas là pour me donner des leçons de morale, et je pouvais librement m’adonner à ces petits plaisirs.

Après avoir testé alternativement les deux membres, j’ai vu poindre l’envie de les accueillir ensemble en moi. N’était-ce pas l’occasion…?

D’un mouvement ample, j’ai grimpé sur Giuseppe comme une lionne sur sa proie. Sa bite était dure et bien dressée, il m’a laissé m’empaler très tranquillement, s’insinuant peu à peu dans mon anus. Sans me presser, descendant et remontant doucement sur la bite d’acier, je sentais mes sphincters se détendre. Je fermais les yeux, je m’abandonnais. Mes deux Italiens me susurraient des mots doux pour m’encourager, et Georgio, profitant du spectacle, faisait glisser son membre dans ma bouche.

Si mon cul était bien rempli, ma chatte implorait que l’on s’occupe d’elle. J’ai donc comblé ce vide de mes doigts. Georgio m’a regardée d’un air coquin « Ah toi ! Je comprends où tu veux en venir… tu nous veux tous les deux en toi ? » J’ai acquiescé, il captait vite !

Il m’a alors suggéré d’y mettre toute la main. Je l’ai pris comme un défi personnel, et j’ai ajouté deux doigts. À ce moment-là, je me suis rendu compte avec beaucoup d’étonnement de la finesse de la cloison entre les conduits. Je pouvais presque sentir avec précision toutes les nervures de la bite qui était en moi, ainsi que l’épaisseur de son gland. Et quelle sensation incroyable d’être dilatée à ce point ! J’ai fini par y glisser mon poing fermé, entier, qui s’est fait comme aspirer par ce trou béant.

Giuseppe me hurlait des compliments italiens que je ne comprenais pas. Des montagnes de sensations intenses irradiaient de mon bas-ventre. J’était ouverte, pleine du désir de ces deux membres.

C’est le moment qu’a choisi Georgio pour venir remplacer ma main par sa bite.

Je me suis retrouvée en sandwich entre les deux hommes, chacun enfonçant son membre plus profond en moi. Ils ont petit à petit trouvé le rythme, orientant comme ils pouvaient mon bassin. « S’il y a un souci, n’hésite pas à nous le dire », m’a chuchoté Giuseppe.

Mais ils s’y étaient bien pris et aucune douleur ne venait contrarier ce moment de plaisir, seules des salves de jouissance montaient et devenaient de plus en plus intenses. Les sensations étaient incroyables, j’avais l’impression d’être totalement ouverte, tous mes sens étaient en éveil.

Je n’avais jamais connu autant de plaisir avec mes précédents amants, ni autant de zones de mon corps stimulées à la fois. J’étais au bord de l’orgasme, les sensations étaient si fortes que je n’arrivais même pas à jouir. Peut-être que la position, quelque peu précaire pour moi, n’aidait pas à ce que je me laisse submerger.

Mes compagnons de jeux ont dû le sentir car ils ont profité de ce moment pour changer de position et ainsi, inverser les rôles. Je me suis retrouvée à l’envers sur le canapé, toujours à cheval sur Giuseppe, mais dans l’autre sens.

Ce dernier a alors investi les lieux, s’engouffrant dans mon con jusqu’aux couilles, laissant la porte de derrière offerte à l’énorme braquemart de Georgio.

Pour arriver à ses fins, Georgio a réussi à monter en grenouille au-dessus de mon cul et à introduire son membre doucement, sans aucune contrainte, avant de me labourer gaiement, synchronisant ses poussées avec celles de son acolyte. Je ne pouvais m’empêcher d’exprimer mon plaisir à gorge déployée, et cette fois un énorme orgasme m’a emportée. Mes deux beaux amants ont encore tenu le rythme quelques minutes avant de s’affaler sur le canapé en riant. C’était la première fois qu’ils partageaient une partenaire et ils s’étonnaient de leur proximité.

« C’est fou d’avoir senti ton sexe si près du mien », s’est exclamé Georgio. Et bizarrement, comprendre ce rapprochement entre ces deux hommes si beaux m’excitait aussi. Les deux Italiens ont finalement éjaculé ­selon leurs préférences. Georgio s’est occupé de mon cul et a propulsé son foutre dans mon anus. Giuseppe a préféré gicler alors que je lui faisais une lente fellation.

En repartant, mes deux Italiens n’ont pas manqué de remettre à nouveau le canapé en place. Avec tous nos efforts, il avait encore glissé. Coquin de canapé !


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