Bas le masque
14 novembre 2024Les joies du snorkeling ! Ce terme un peu barbare qui désigne la nage à la surface de l’eau simplement équipé d’un masque, d’un tuba et éventuellement de palmes pour admirer la beauté des fonds marins. Sophie se prêtait à cette activité dans un lac sans grand intérêt au vu de la turbidité de ses eaux profondes. Faute de poissons à observer, l’idée lui vint rapidement de chatouiller la belle anguille d’Amaury, le meilleur ami de son frère, parti en randonnée.
Nageant vers ce dernier, elle fit mine de glisser sur le fond vaseux et, pour reprendre son équilibre, s’accrocha à la première chose qui lui tomba sous la main, la queue flasque de son sauveur.
Celui-ci fut confus au départ, lui-même ayant rattrapé la belle naïade comme il le pouvait, c’est-à-dire en la ceinturant, les mains en plein sur ses seins voluptueux et déjà bandés !
La suite fut prompte, Sophie remercia Amaury en plaquant son corps trempé contre le sien et en écrasant la pulpe de ses lèvres sur la bouche masculine qui répondit rapidement en s’ouvrant pour laisser passer sa langue.
En un tour de main, son maillot de bain était écarté par des doigts décidés. Son pieu émergeait alors tel un périscope, bel exploit du reste puisqu’il était déjà quasi en érection !
Sophie s’accroupit dans l’eau et c’est le visage encore protégé par son masque qu’elle prodigua à cette hydre providentielle les premiers coups de langue d’une pipe qui s’annonçait aussi gourmande qu’aquatique.
Mais sucer sans pouvoir respirer par le nez est réservé aux sirènes, le couple opta donc pour prendre ses aises sur la plage de sable fin.
Le mini slip à rayures n’opposa aucune résistance lorsque la main tremblante d’Amaury en écarta le bord pour découvrir une belle chatte très délicatement dessinée et toute fraîche de la récente baignade. Il regarda longtemps ce joli petit coquillage qui s’épanouissait comme une étoile de mer, plaquée contre le tissu mouillé. Les nymphes se dépliaient lentement à mesure qu’elles se gorgeaient de désir.
Il était temps pour lui de se pencher sur ce miracle qui s’offrait à ses yeux. Il avait toujours eu envie de Sophie, sans lui avouer son attirance physique et voilà qu’elle se jetait dans ses bras et … sur sa queue !
La vulve se réchauffa rapidement entre le soleil qui pointait à travers les nuages bas et les coups de langue d’Amaury. Ses parfums se libéraient au rythme des léchages et des pénétrations digitales dont elle était l’objet.
Sophie ne put que basculer la tête en arrière et profiter de ce cunnilingus dispensé par un expert en la matière. Son compagnon de jeu aimait cette pratique et cela se sentait, n’hésitant pas à écarter les petites lèvres pour débusquer la perle de chair sensible, à s’enfoncer plus loin dans les muqueuses suaves et humides, à boire le jus qui ruisselait alors que Sophie se ruait, dans un abandon total, vers son premier orgasme de l’après-midi.
Mais ce qu’elle voulait vraiment, c’était sentir ce phallus imposant, le plus dur et bandé possible, lui fouiller la chatte et lui léguer sa crémeuse offrande.
Il l’avait tant fait fantasmer… Sophie reprit donc ses esprits après cette ascension liminaire et donna de nouveau de sa personne en exécutant une fellation absolue, la langue tournant autour de tout le gland, sa gorge s’ouvrant pour avaler le chibre dans son entier, léchant couilles et scrotum jusqu’à l’anus de son partenaire jusqu’à ce qu’il soit aussi rigide que de l’airain.
Cette tâche accomplie, elle n’attendit pas qu’il arrive pour la posséder, mais lui montra tout son enthousiasme en venant le chevaucher. Face à sa monture, elle prit un malin plaisir à écarter au maximum ses cuisses afin de lui présenter les aspects de sa chatte et de son trou du cul, tous deux lisses et déjà très dilatés.
Elle frotta sa fente tout le long de la hampe, s’amusant à déclencher des soubresauts dans la bite qui était parcourue de ruades intenses, ce qui la fit rire aux éclats, avant de s’empaler sur le périscope dressé.
Les pieds profondément plantés dans le sable, bien stable, Sophie put s’en donner à cœur joie, montant en rythme, offrant presque au gland l’occasion de s’échapper de ses petites lèvres, puis se laissant retomber avec l’impulsion prise, propulsant ainsi la torpille au plus loin dans son vagin devenu un véritable lac de mouille et de liquide poisseux qui la lubrifiaient à merveille.
Son joli popotin claquait sèchement sur les cuisses masculines.
Amaury encaissait sans coup férir, la colonne droite, la tête penchée vers son sexe pour le regarder s’engouffrer et ressurgir de cette chatte qui l’enrobait et le nappait délicieusement. Voyant son amante si bien lancée dans cette cavalcade effrénée, il se contenta d’observer d’un air coquin la belle qui, dans son élan, atteint l’orgasme en criant et en agitant sa longue chevelure aux reflets blond vénitien.
Les spasmes de sa grotte résonnaient encore qu’il ne lui laissa pas le temps de souffler. Aussitôt sorti du gouffre serré, il fit basculer le haut du corps de Sophie pour qu’elle s’installe en levrette. Cette dernière préféra prendre appui sur ses coudes plutôt que sur ses mains, libérant alors d’autant plus la raie de son cul et se donnant une fois de plus en spectacle, sans aucune pudeur, sans aucune retenue, jouant même avec ses orifices en contractant puis en relâchant ses sphincters intimes. L’érection d’Amaury se raffermit d’autant en admirant ce spectacle fou, les trous dansaient devant lui, appelant de nouvelles pénétrations et des jouissances renouvelées.
Cette fois-ci, il saisit énergiquement les hanches de la sœur de son meilleur ami, désormais sûr qu’elle voulait du sexe brut, se faire défoncer dans les règles, se faire culbuter telle une petite catin, il l’embrocha d’un coup sec !
Son mât disparu soudainement dans la fissure rose bonbon. Sophie poussa un énorme soupir de volupté sous le choc et encaissa les coups de boutoir qui s’abattirent sur son fessier comme un raz-de-marée. Elle avait été à la pêche au bon coup un peu au hasard, elle avait ferré un gros poisson, sans nul doute.
Amaury se déchaînait maintenant dans son dos, la levrette avait toujours eu sa préférence, position où l’on pouvait caresser les seins de la femme qu’on était en train de porter aux nues, et qui dégageait l’étoile anale de la plus belle des manières et autorisait ainsi toutes les intromissions dans ce puit qui s’évasait de plus en plus au fur et à mesure que ses coups de reins s’intensifiaient.
Sophie criait, labourant le sable de ses mains fines, gigotant du popotin pour encourager Amaury à lui faire subir jusqu’à la dernière vilenie. Celui-ci lui planta un pouce, précédemment lubrifié de cyprine et de salive, en plein dans l’œillet, cela lui permit de mieux assurer sa prise pour envoyer des assauts plus brutaux et donna un nouvel orgasme quasi instantané à Sophie !
Son magnifique joufflu, encore tout blanc par manque de soleil, contrastait à merveille avec la peau brune de celui qui l’enfilait dans les règles de l’art. Elle voulut le regarder dans son œuvre et lui demanda donc, non sans un petit pincement au cœur, d’abandonner la station à quatre pattes pour passer au missionnaire.
Plus intime, permettant de s’embrasser à pleine bouche et de profiter d’une vue imprenable sur sa poitrine, Sophie releva son débardeur pour exhiber ses seins aux tétons très ténus.
Elle qui complexait et sur sa taille de bonnets et sur ses aréoles minuscules fut rassurée par l’attitude d’Amaury qui s’empressa de venir jouer avec ses sphères moelleuses et fermes à la fois, aspirant les fins boutons fuchsia qui bandaient fort.
La torpille toujours aussi raide, les coups de semonce reprirent de plus belle, Sophie, écartelée, recevait en gémissant cette queue fantastique et, fermant les yeux, se concentra pour atteindre encore le septième ciel. La pulpe d’un pouce sur son clitoris accéléra le processus et le firmament de son esprit se déchira une fois de plus, la laissant exsangue, le corps à moitié sur la serviette, le cul dans le sable devenu dur à force de coups répétés et de sa mouille qui l’avait humidifié en profondeur.
Il était temps pour elle de rentrer, mais pas question d’abandonner Amaury dans cet état sans qu’il n’ait, lui aussi, joui pleinement.
Après s’être enquise auprès de lui sur la position qu’il souhaitait lui voir adopter, elle se remit en levrette, dos et reins cambrés au maximum, elle donna même à son amant l’autorisation de l’enculer, juste du gland. Amaury ne se fit pas prier et joua jusqu’à la couronne dans l’orifice serré, alternant avec la chatte toujours brûlante et trempée d’une mouille abondante.
Quelques coups précis et il sentit enfin la délivrance lui chatouiller les couilles pour remonter tout le long de sa queue. Les jets de spermes fusèrent sur toute la raie de Sophie ainsi que sur ses fesses. L’été commençait bien, sa canne avait fait son festival et il avait, avec Sophie, remporté la palme sans conteste !