Break (fuck) club !

Au milieu de ces vacances estivales, quoi de mieux que de profiter au maximum et, pour ce faire, de bien débuter la matinée par un copieux petit déjeuner ?

Force de propositions, Sofia avait mille idées d’activités, mais, à l’évidence, rien n’avait l’air de plaire à Johan, son mari, pas plus qu’à Benoît, son associé et meilleur ami. Elle décida donc de passer immédiatement au plan B.

Rien de plus simple.

Elle releva sa petite robe blanche afin de leur montrer sa jolie petite culotte assortie ! Son époux afficha un sourire qui se mua peu à peu en un rire franc devant la tête décomposée de son copain. Pour le rassurer, il lui envoya une grande bourrade dans le dos et, sur ce, il sortit sa queue, un énorme tube terminé par un gland aux courbes élégantes que Sofia s’empressa d’avaler tout entier.

La mise à l’air du second chibre fut une formalité. Sofia qui avait des soupçons sur la taille de l’engin de Benoît eut confirmation de ses doutes. Lui aussi était monté comme un âne et elle allait se régaler en accueillant ces deux gourdins XXL dans tous ses orifices disponibles. Comme quoi, les activités matinales n’étaient finalement pas si difficiles à trouver…, ce serait pipes, cunnis, baises, sodomies, doubles pénétrations et … cafés « double crème », ces dernières remportant haut la main l’adhésion de toutes et tous !

Les deux compères, désormais souriants et tendus dans le bon sens du terme, se laissèrent sucer de concert, Benoît découvrant les talents de pipeuse d’une Sofia dont la bouche extensible faisait des miracles, alternant coups de langue, introduction profonde dans la gorge et branlage en règle des deux gros manches.

Galants, les deux hommes débarrassèrent le petit déjeuner avant de soulever la belle blonde qui fut portée jusqu’à la table de la cuisine et déposée avec délicatesse sur le plan de travail. Johan offrit de nouveau sa sucette à son épouse, quant à Benoît, il sépara les longues jambes de Sofia qui n’attendait que cela.

Cette dernière releva un peu son joli cul afin d’aider son second amant à lui écarter sa culotte. Elle se félicita, en son for intérieur, de s’être rasée la chatte le matin même, les sensations du cunnilingus qui allait commencer n’en seraient que plus intenses.

Plus jeune, elle avait déjà expérimenté les trios, avec deux femmes d’abord, puis avec deux hommes et s’en étaient suivies toutes les autres combinaisons possibles. C’était pourtant la première fois qu’elle réalisait ce fantasme avec son mari qui, visiblement, était très excité par la situation. La dureté de son membre et les à-coups qu’il donnait avec dans sa bouche en étaient la meilleure preuve.

Pendant ce temps, plus bas, entre ses cuisses, un véritable déluge de coups de langue se déchaînait !

L’appendice souple et puissant à la fois s’insinuait dans toutes les circonvolutions de son sexe, écartant les grandes lèvres, aspirant les petites, titillant le clitoris bandé qui sortait ostensiblement de son capuchon protecteur. Quel bonheur pour Sofia d’avoir, en même temps, un expert du léchage de minou qui s’activait entre ses jambes et la queue robuste et délicieusement parfumée de son mari à sucer !

Mais les garçons avaient envie de tout essayer.

La bouche onctueuse de Benoît s’éloigna du con humide d’où une cyprine suave mêlée à de la salive suintait avec douceur. C’est avec sa bite raide qu’il enchaîna. Sa longue hampe n’eut aucune difficulté à se frayer un chemin dans le canal vaginal, pourtant extrêmement serré. Sofia, toujours à pomper son mari, dû relâcher quelque peu l’étreinte de ses lèvres sur le vit tant celui qui la limait commençait déjà à lui donner du plaisir. L’engin s’était lancé dans des va-et-vient aussi puissants que profonds et, du petit doigt, Benoît lui masturbait le clitoris avec beaucoup d’agilité.

Cela ne manqua pas de provoquer l’inéluctable. Entre l’excitation d’avoir deux bites pour elle toute seule, le fait de se faire prendre devant son homme sur la table de la cuisine et le talent de baiseur de leur hôte, elle explosa dans un orgasme dont la déflagration se propagea dans tout son corps, recroquevillant ses pieds et ses orteils, la faisant frissonner jusqu’au cuir chevelu et lâcher un long cri qui signifia son état à ses amants.

Une fois la pression redescendue, Johan, qui connaissait sa moitié par cœur, s’installa à son tour sur leur couche improvisée et, malgré l’inconfort de l’endroit, invita sa blonde à venir le chevaucher. Le tunnel était plus ouvert que d’habitude suite au passage du chibre de Benoît, mais très vite les muqueuses reprirent leur force d’étau qu’il appréciait tant et il put balancer ses coups de reins jusqu’à en faire décoller Sofia de la table.

C’est d’ailleurs avec grand peine qu’elle parvint tout de même à attraper le pénis d’un Benoît monté sur une chaise afin de présenter sa queue à la bonne hauteur pour une nouvelle fellation dans les règles.

La femme du trio pouvait fixer son homme dans les yeux, tout autant que Benoît qui la surplombait et qui, elle le ressentit très rapidement, avait le sexe qui gonflait encore un peu à chaque fois que son regard de suceuse croisait celui du sucé. Elle joua donc de ses charmes, papillonnant avec l’un et l’autre en alternance jusqu’à ce qu’elle sombre de nouveau dans les affres lumineuses du plaisir total.

Un partout, le score était équitable et le « match » aurait pu s’arrêter là, mais ni ­Johan, ni Benoît n’était rassasié. Après tout, ils n’avaient pas exploré toutes les perspectives qu’offre une telle partie à trois !

Après avoir demandé très galamment si une double pénétration serait possible, Sofia approuva en se léchant les lèvres, mais réclama juste qu’on lui prépare le petit trou afin de faciliter le passage des deux mastodontes dans ses orifices.

Il fut décidé qu’honneur serait fait à l’invité, c’est donc à Benoît que fut confié la délicate tâche du lapement de la rondelle afin de la lubrifier correctement, puis la première sodomie, dans le but de dompter le sphincter très étroit qui ne se montra rétif à l’intromission que quelques instants.

Enculée jusqu’à la garde, Sofia n’en parvint pas moins à avaler tout entier le chibre de son mari, retenant ce dernier par derrière les cuisses pour pouvoir s’enfoncer le dard le plus profondément possible dans la gorge.

Elle était prête, sa chatte et son anus ouverts et trempés de mouille. Elle souhaitait maintenant ardemment sentir les deux pines qui l’avaient fait jouir, en même temps en elle.

La suite fut abracadabrantesque, digne d’une cascade. Emportés par leur élan et leur désir, aucun ne pensa à aller continuer leur baise confortablement dans un lit. Benoît s’allongea à plat dos sur la table, Sofia vint se ficher sur sa belle queue bien droite et Johan la sodomisa tout en douceur, alors qu’elle écartait ses fesses de sa main pour rendre l’approche plus aisée à son époux.

La hampe s’enfonça lentement, la porte étroite s’ouvrit sans peine et, lorsque les couilles de Johan furent en contact avec celles de Benoît, le temps s’arrêta. Sofia prit une grande inspiration et donna le signal à ses deux amants, telle une machinerie sensuelle, les deux pistons se mirent en marche.

L’un sortait du vagin, le second s’introduisait dans les méandres anaux, le premier se logeait de nouveau au fond du bas-ventre tandis que l’autre chibre se dégageait du sphincter désormais totalement dompté.

Le bourgeon de Sofia était sollicité par le pubis de sa moitié, Benoît était en position idéale, bien qu’en équilibre précaire, pour s’occuper de ses seins. Suivant le rythme des va-et-vient, il pinçait les tétons et les étirait, faisait rouler les mamelons sensibles ou bien encore, malaxait la superbe poitrine au gré de ses envies.

Le plaisir fut plus long à venir que pour les premières fois, mais le pinacle fut d’une force impressionnante. Les deux orifices participèrent à la montée au septième ciel. Des ondes fulgurantes, irradiant la chatte de Sofia, entrèrent en résonance avec les vagues plus profondes issues de son cul. L’ensemble fusa en elle comme une colonne de feu qui satura son cerveau d’endorphines orgasmiques.

Ménageant une petite pause, Benoît proposa ensuite à son ami et associé de lui rendre la politesse et d’à son tour, investir le petit trou de son épouse. Sofia ne savait pas si elle était en capacité de jouir de nouveau, mais elle opina du chef. Il fut donc décidé d’inverser les rôles et la position de cette dernière. Cette fois, elle fut prise d’assaut en étant allongée sur son mari.

C’est elle-même qui s’encula sur le chibre tendu et Benoît vint la posséder par devant. Surprise ! Sa posture lui permettait de lancer des coups de reins puissants qui avaient comme effet de plaquer les fesses de Sofia contre les hanches de Johan. La conséquence heureuse de cette combinaison fut que la sodomie se trouva approfondie.

Les glands se frottaient de chaque côté de la fine paroi, les hampes étaient compressées l’une sur l’autre, tout comme les bourses de ces messieurs. Benoît embrassa à pleine bouche Sofia, son mari avait une main sur son cou et la traita de petite salope d’amour.

Le tourbillon du plaisir l’emporta une fois encore, cette fois avec une énergie incroyable. Elle qui ne se pensait plus en capacité d’avoir un nouvel orgasme, connu le plus fort de toute la matinée, jusqu’à en gicler sur les cuisses de ses baiseurs émérites.

Les deux hommes abandonnèrent leur position, installèrent confortablement Sofia sur la table et lui donnèrent leur queue à sucer jusqu’à ce qu’ils éjaculent quasi simultanément dans sa bouche ouverte. Cette ration de double crème fut le point d’orgue d’un petit déjeuner aussi fou que revigorant !