
Le déjeuner dans l’herbe
29 mai 2025C’est l’hiver et le froid pétrifient même notre libido. Pour remédier à cela, quoi de mieux que ce doux souvenir d’un pique-nique ou nique était bien plus essentiel que pique. Eva, sublime blonde à l’appétit débordant, nous remémore ce moment apte à faire grimper toutes les températures.
Les premiers frimas sont là, la neige a recouvert Paris et l’Île-de-France il y a quelques semaines, les doudounes et les plaids sont de sortie, et c’est sous son gros bonnet en laine, en allant au marché, qu’Eva se souvient de cette après-midi de printemps où Sam, son amoureux du moment, Jody, Marc et elle étaient partis en forêt pour un pique-nique qui allait se révéler fort coquin.
L
Enfin, ils avaient servi un verre de vin avant de trinquer joyeusement avec les deux beautés blondes qui les accompagnaient.
C’est l’espiègle et très coquine Eva, à l’initiative de cette sortie bucolique, qui donna le signal à Jody par un clin d’œil peu discret.
Marc et Sam se regardèrent, étonnés de voir leurs copines s’agenouiller de concert et s’installer chacune devant le compagnon de l’autre.
Ils le furent encore plus en constatant qu’elles descendaient les zips de leurs braguettes afin de glisser une petite main dans l’anfractuosité, batailler avec l’élastique de leurs slips et extirper leurs queues !
Les polissonnes avaient tout prévu et l’apéritif serait donc libertin et très sensuel. Quoi de mieux, après tout, qu’une bonne fellation, voire plus, pour s’ouvrir l’appétit !?
Les bouches féminines s’entrebâillèrent, légères, sexy, gourmandes, elles accueillirent les glands encore timides, suivis des tiges pour l’instant molles et flasques.
Ces dernières ne le restèrent pas longtemps, sous l’effet conjugué des aspirations et des mouvements de branle de leurs mains, les jeunes femmes eurent tôt fait d’obtenir deux belles bites fièrement dressées. Les érections de ces messieurs étaient prometteuses pour la suite, mais Eva et Jody ne cessèrent pas pour autant leur lutinage harmonieux.

Le quatuor finit par se déshabiller, éparpillant ses vêtements dans l’herbe et s’allongeant pour un ballet qui allait durer tout l’après-midi. Eva se remémora – les pieds frigorifiés en choisissant ses courgettes (un légume qui attisa encore la fusion de sa culotte, se rappelant des queues tendues de Sam et de Marc) –, qu’elle avait rejoint Jody, déjà étendue sur le dos, les seins pointés vers le ciel.
« Qu’elle était belle ! » s’était-elle dit avant de venir embrasser l’un de ses tétons.
Elle n’était pas spécialement lesbienne, mais affectionnait tout particulièrement les effleurements saphiques néanmoins, surtout lorsque la fille était aussi belle et sexuelle que la douce Jody. Celle-ci releva une de ses jambes pour permettre à Sam de venir la pénétrer tout en allongeant un bras afin de caresser la poitrine de son amie.
Leur blondeur les aurait presque fait passer pour des sœurs, elles ne l’étaient pas, mais leur complicité dans cet instant de poésie sensuelle était une évidence. Le pénis dur, Sam n’y alla pas par quatre chemins et l’enfila de toute sa longueur dans le sexe ouvert de son amante. La fente était trempée d’une cyprine suave et huileuse.
Pendant ce temps le membre de Marc, plus fin, mais bien plus long, se faufila dans le sillon nacré d’Eva. Les fellations avaient obtenu l’effet escompté, les deux pines étaient raides comme des branches de bois flotté, toutes deux épilées, bourses comprises, elles purent prendre leur essor et aller et venir à l’envi dans les cons ruisselants des deux jeunes femmes.
Sportifs, les quatre impétrants varièrent alors les plaisirs et les positions. Eva fut la première à désirer diversifier les voluptés. Le beau Marc, queue tendue, fut allongé sur le dos à son tour et elle se ficha sur son mât avec un gémissement qui fit frissonner tout le monde. Très clitoridienne, elle pouvait ainsi diriger idéalement son pubis et faire frotter son bourgeon dans le but de récolter le plus de sensations possibles. Le résultat de cette manœuvre ne se fit pas attendre et elle obtint son premier orgasme de l’après-midi. Agrippée au torse de son amant, elle laissa son vagin couler sur ce dernier, avant de s’écrouler dans ses bras, son corps pris de convulsions idylliques qui s’estompèrent lentement.
Jody fut un peu plus longue à venir que son amie, elle était toujours paresseuse à gagner son premier voyage au paradis.
C’est grâce à son jeu de langue et à ses doigts que Sam trouva la clef de son Eden, fouillant son bas-ventre en y enfonçant deux phalanges en fourchette, émettant un véritable vibrato irrésistible sur le clitoris.

Un éclat de rire plus tard et une pelle excitante au possible, chacune d’elles se mit en position, Eva opta pour la levrette, alors que Jody choisit quelque chose de plus sportif, restant debout et ne prenant appui que sur une jambe.
Les grands yeux écarquillés de Sam et Marc les amusèrent beaucoup, encore plus lorsqu’elles leur annoncèrent que leurs petits trous étaient à leur entière disposition. La surprise passée, et trop heureux de pouvoir enculer ces deux beautés, les deux athlètes se branlèrent un peu pour obtenir l’érection la plus dure possible. Triompher des anneaux très serrés et très toniques de ces deux nymphes demandait effectivement des bites d’airain.
Mais c’est finalement sans peine que les deux membres virils s’enfoncèrent dans des rondelles pour lesquelles, à coup sûr, il ne s’agissait pas d’un galop d’essai.
Les anus s’ouvrirent avec délice, souples et à la fois très réactifs. Les alliances charnelles se resserrèrent et enveloppèrent les pines qui se mirent en action une fois les sas des sphincters interdits vaincus. Eva avait juste devant elle la chatte de Jody, elle ne put s’empêcher d’y porter la main et, très vite, la doigta profondément, voulant sentir la bite de son homme de l’autre côté de la fine paroi.

Leurs orgasmes se déclenchèrent quasi simultanément, l’une pinçant fortement le téton de l’autre, la seconde glissant presque sa main entière dans le vagin de son amie. Les méats fusèrent chez chacune d’elles, libérant une quantité de mouille impressionnante et laissant Eva et Jody exsangues et fourbues par tant de plaisir et de sensualité partagés.
Mais leurs amants conservaient, eux, une énergie débordante et n’étaient pas prêts à cesser leurs assauts. C’est donc en missionnaire, les femmes alanguies et totalement passives, qu’ils reprirent le chemin des cons de ces dames. Ouvertes et lubrifiées, les deux jolies chattes imberbes accueillirent les beaux membres bandés pour un dernier baroud d’honneur, chacun ayant, orgueil suprême, la volonté de donner un ultime orgasme à la compagne de l’autre.
La chorégraphie fut somptueuse, Eva et Jody se roulaient des pelles tout en encaissant les va-et-vient des mâles déchaînés pour cette cavalcade vers la petite mort. C’est l’introduction de leurs doigts dans les anneaux des deux blondes qui alluma la mèche du bouquet final.
Tous leurs orifices emplis par les bites qui se mouvaient tels deux pistons, et les phalanges qui fouillaient leurs trous du cul, la délivrance arriva très rapidement. Épuisées, Eva et Jody restèrent longtemps seules sur le plaid à se câliner et à se faire de touchantes déclarations d’amour.

Le plaisir de ces dernières avait été tel, qu’elles se devaient d’offrir une fellation inoubliable à chacun. Elles furent récompensées par deux superbes éjaculations qui laissèrent de grandes coulées de foutre crémeux lézarder leurs joues et leur cou.
Un ultime baiser, il était temps de mettre le couvert après cet apéritif charnel qui les avait tous mis en appétit. Eva, quand à elle, était maintenant pressée de rentrer au chaud afin de se préparer pour d’autres aventures coquines.
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guy jourdin
ces 2coquines savent bien qu’en s’instalant sur cette couverture profité de ces 2 bite a leur disposition ce régalent de leur bouche sur ces braquemard pour ensuite ce faire pénétré entière les lèvres de leur chatte s’enfonçant sur ces pieux magestueux















