Marathon Girl

La rédaction 16 avril 2015

Laura s’est entraînée dur pour ce premier marathon qu’elle compte bien terminer. Pourtant, à quelques heures du départ, la jeune femme a du mal à gérer la pression qui précède la course. Heureusement, une jolie petite commissaire va lui faire oublier ce stress de la plus délicieuse des façons… En piste !

Je m’étais énormément et très régulièrement entraînée afin de préparer au mieux ce premier marathon. Ce challenge, je me l’étais lancé il y a huit mois environ, après une rupture compliquée. Même si cela m’avait aidé à oublier mon ex, je dois dire qu’à ce moment précis, alors que j’attendais un commissaire de course pour remplir ma fiche signalétique, je n’en menais pas large… Et si je n’arrivais pas à terminer le marathon !

Cette interrogation trottait en boucle dans mon esprit sans que je parvienne à m’en défaire. Fort heureusement, le commissaire de course n’était pas un quinquagénaire ventripotent et moustachu, mais une jolie petite blonde, étudiante en fac de sport, comme elle me l’a expliqué. Karen (c’était son prénom) a tout de suite senti mon état de stress d’avant la course. Elle aussi avait connu ça !

Lorsqu’elle a déclaré en souriant qu’avec un tel physique, je devrais me mettre en avant de la course dans une voiture pour que tous les participants battent leurs records personnels en tentant de me rattraper, j’ai éclaté de rire. Cela me faisait du bien de libérer un peu toute la pression que j’avais emmagasinée. À me focaliser sur ce défi qu’était le marathon, j’en avais presque oublié ma vie de femme, mise largement entre parenthèses. Je n’étais plus qu’à quelques heures de la fin de mon challenge et il était temps que je pense à mon avenir sentimental et surtout… sexuel !

À force de les malmener, mes vibros étaient quasiment tous à court de piles, et la chaleur d’un corps, la tendresse d’une langue, le plaisir de doigts allant et venant au plus profond de mon intimité me manquaient cruellement. Les femmes ont cette faculté de pouvoir rester des mois comme des glaçons puis, lorsque le volcan entre à nouveau en éruption, c’est comme si le temps s’arrêtait et que le sexe devenait subitement une question de vie ou de mort.

Et là, dans ce vestiaire, je n’en saurais expliquer la raison, mais mon corps tout entier, mes sens, ont réclamé Karen. Pourquoi ? Impossible de vous le dire, surtout que, jusque-là, je n’avais jamais eu la moindre expérience concrète avec une femme, ma plus grande “excursion homo” se limitant à de petits touche-pipi d’ados avec ma cousine… Rien de bien transgressif, vous en conviendrez ! Là, dans ce vestiaire, c’est justement cette transgression qui m’excitait jusqu’entre les cuisses. Une femme magnifique que je ne connaissais pas, un lieu atypique où n’importe qui pouvait entrer à tout instant… Mon esprit était pour une fois au diapason de mon corps, désireux de sexe et plus particulièrement de celui de cette jolie petite blonde qui, visiblement, d’après ses gestes et ses insinuations concernant mon physique à son goût, était aussi demandeuse que moi ! Sexuellement parlant, je suis un peu comme cette personnalité qui disait qu’en amour, l’avant (quand on monte l’escalier !) est aussi important que le sexe en lui-même.

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Je prends un grand plaisir à laisser grimper le désir et à exciter l’autre, à me faire féline pour que, très vite, le corps ne soit plus qu’un brasier incandescent qui réclame sa dose de baise. C’est exactement ce qui se passait actuellement avec la douce Karen. Nous nous tournions autour comme des chattes en chaleur.Une main sur la cuisse, un regard de braise, une bouche qui s’égare sur une épaule, un souffle chaud dans le cou… Nous étions visiblement sur la même longueur d’onde question préliminaires. Lorsque nos bouches se sont enfin jointes, je tremblais de la tête aux pieds. J’ai cru bon, avant que ça n’aille un peu plus loin, de dire à Karen qu’elle allait être ma première fois avec une fille. Elle m’a simplement regardé en souriant : “Moi aussi tu sais. Cela fait longtemps que je rêve de coucher avec une femme, mais j’attendais seulement de trouver la bonne !”

Les choses étaient claires. Karen a prestement baissé mon T-shirt pour laisser apparaître ma poitrine. Sa langue habile s’est délicatement posée sur mes tétons pour les lécher, les gober, les triturer… Je la regardais, hypnotisée par cette plongée subite que je m’autorisais dans les contrées lesbiennes. Karen me tétait, et ce bruit de succion me faisait chavirer. Mon entrecuisse était maintenant une piscine de mouille. Je coulais comme une jeune fille encore vierge à son premier rendez-vous galant ! Bien évidemment, le risque d’être surprises à tout instant ne faisait qu’accroître notre excitation. Alors que nos respirations devenaient plus rapides, plus prononcées aussi, Karen a délicatement dirigé sa main vers mon fruit défendu.

D’un geste, la coquine a descendu mon petit short, laissant apparaître ma minette gluante de mouille. J’étais comme une feuille tremblante sous le vent automnal. Karen m’a invitée à me relever, visiblement très désireuse de s’abreuver à la source. Mes jambes me tenaient à peine lorsque sa langue est venue se coller à mon bouton d’amour gorgé de désir. “Hummm, c’est trop bon ! Mange-moi, mets ta langue en moi… Tu vas me rendre dingue !” D’habitude si muette dans mes ébats (chose que me reprochaient souvent mes amants !), je me sentais totalement libre d’exprimer mon bonheur et mes envies sous les coups de langue de ma craquante blondinette. “Encore bébé, donne-moi du plaisir, lèche-moi, avale ma mouille, baise-moi avec ta langue !” Les mots sortaient de ma bouche sans même que je puisse les contrôler. Si mon ex m’avait vue, passez-moi l’expression, je pense qu’il se serait fait dans les poils ! J’avoue que l’idée de faire l’amour avec une femme tenait la première place dans mes fantasmes lors de mes séances de plaisir solitaire, mais jamais je n’aurais imaginé que cela serait si bon ! C’était un peu comme si nos deux corps étaient en parfaite interstron.ru, une osmose totale que je n’avais jusqu’alors jamais connue dans les bras d’un homme. Karen a glissé doucement un, puis deux, puis trois doigts au fond de mon minou. Je regardais sa main aller et venir en moi et ma mouille couler lentement sur sa peau. La coquine me fouillait avec précision et mon point G n’avait déjà plus de secret pour elle.

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Il m’était impossible de retenir mes gémissements et mes paroles se faisaient toujours plus obscènes. “Défonce-moi comme une garce. Hummm, encore, tu vas me faire jouir, vas-y bébé, oh ouiiiiiiii !” L’orgasme approchait en effet à grands pas. Je me sentais submergée par une vague de chaleur incontrôlable.J’ai explosé sans pouvoir réprimer un cri libérateur, laissant parler un plaisir rarement atteint. Quelques secondes salvatrices ont été nécessaires afin de reprendre mes esprits. Karen m’a enlacée, glissant sa langue dans ma bouche, puis elle m’a murmuré à l’oreille : “J’ai très envie que toi aussi tu viennes lécher ma petite chatte !” Comment refuser une telle proposition ? J’ai vite baissé le jean et le ministring en dentelle de Karen et je me suis attaquée à son intimité glabre. Comme une exploratrice devant une terre inconnue, j’ai glissé un doigt pour la première fois au fond d’une chatte. Tout comme moi, ma partenaire ruisselait et, sans trop y réfléchir, j’ai recueilli un peu de sa mouille sur mes doigts pour la porter à ma bouche. Hummm, la sensation était exquise ! Elle avait un goût sucré tout simplement délicieux, qui a renforcé mon envie de la manger.

J’ai donc invité Karen a se placer devant moi et, de mes mains, j’ai écarté ses jolies petites fesses rebondies afin de me faciliter l’accès à sa minette. Je garderai à jamais en mémoire cette première fois où ma langue s’est posée sur ce sexe féminin ouvert, trempé et offert. La sensation était encore plus excitante et délicieuse que j’avais pu me l’imaginer dans mes ébats imaginaires, compagnons de mes plaisirs solitaires. Karen se cambrait au maximum et ondulait comme une danseuse du ventre. Grâce à ses vagues corporelles, elle offrait à ma langue un chemin sans obstacle vers tous ses orifices. Mon visage entre ses fesses, je dévorais sa chatte et son petit trou comme une affamée.

Elle gémissait, m’invectivant à plonger toujours plus profondément en elle. “Hummm, c’est trop bon, vas-y, pousse bien ta langue dans ma chatte, dans mon cul, tu me rends dingue !” Je me sentais dans un état de plénitude rarement atteint. Nos corps en parfaite symbiose, Karen et moi aurions pu nous adonner à nos câlins pendant des heures. Mais, hélas, j’avais un challenge à relever.

Prise par une frénésie sexuelle, je l’ai dévorée avec une telle vigueur que Karen a décollé en quelques secondes seulement. Ses cris de plaisir ont largement dépassé le petit vestiaire qui nous servait de repère amoureux. Tout comme moi quelques instants plus tôt, ma chérie tremblait de la tête aux pieds, le corps en ébullition. Nous avons prolongé notre corps à corps par de tendres caresses et des baisers longs et passionnés. Le temps suspendait son vol ! Une voix dans le micro annonçant que tous les concurrents devaient maintenant se présenter sur la ligne de départ à hélas mis fin à notre rêve commun. Un dernier baiser fougueux et, main dans la main, nous avons quitté notre nid d’amour. Les regards qui se sont posés sur nous lorsque nous sommes sorties du vestiaire ne laissaient aucune place au doute. Nous n’avions pas été discrètes… J’ai réussi à finir mon premier marathon et, comme vous pouvez l’imaginer, Karen et moi avons célébré cela comme il se devait !

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