Stop, non encore !
5 août 2021Lila a opté pour l’auto-stop afin de se rendre chez sa meilleure amie. Mais quand sur le bord de la route, elle croise le beau quadra Hervé, ami de la famille sur lequel elle craque depuis longtemps, la jolie mutine va se laisser guider sur une route toute nouvelle qui la conduira vers les cimes du plaisir. Fais-moi mâle !
Moi, c’est Lila, 25 ans, et mon histoire va certainement vous émoustiller. Personnellement, elle m’a carrément fait vriller. Pour vous planter un peu le décor, je dois vous dire que je galère à trouver du travail en ce moment, mais je ne suis pas du genre à me laisser abattre et à rester chez moi par ces temps moroses. Alors je sors pour voir des amis, je m’amuse, j’essaie de découvrir de nouvelles choses.
Surtout, depuis quelque temps, mon nouveau truc, c’est d’aller sur des sites web spécialisés sur le BDSM qui me donnent plein d’idées et nourrissent mes fantasmes. Je découvre que je suis assez excitée par l’idée de soumission et je me suis surprise à me masturber plusieurs fois frénétiquement sur des vidéos SM…
Je ne pensais pas profiter du confinement à ce point en découvrant des plaisirs aussi délectables ! Ça m’aura au moins servi à quelque chose ! Poussant la curiosité jusqu’à regarder ce qui se faisait comme accessoires, en ligne, je m’étais même acheté un body percé de toutes parts, fait de lanières de cuir entrecroisées qui encageaient mes seins et mes chairs. Je le mettais chez moi et je me trouvais belle, je me masturbais en le portant.
Je n’attendais plus qu’une chose : le montrer à quelqu’un. Et comme par hasard, il se trouve que les fantasmes secrets que je vivais de mon côté dans mon petit studio se sont révélés plus réels que prévu… Ou du moins, ils ont trouvé preneur pour les exécuter, à ma plus grande joie je dois dire.
Ce jour-là, je suis sortie de chez moi pour rejoindre ma meilleure amie chez elle et lui montrer ma nouvelle tenue. J’ai poireauté près de l’abri-bus au bas de mon appart pendant un certain temps, jusqu’à ce que je me rende compte que je m’étais trompée de jour dans les horaires de passages et que le prochain bus ne passerait pas avant une heure ! Merde de merde !
J’étais embêtée, mais vaille que vaille : j’allais faire de l’auto-stop, pardi ! Je ne suis pas du genre à me laisser décourager par un petit imprévu. J’ai alors fièrement levé le pouce. C’était assez risqué, car j’étais dans un accoutrement plutôt affriolant. Robe noire ultra moulante qui fusionnait presque avec mes cuisses, et ras-la-moule par-dessus le marché, les seins qui en débordaient presque, tellement ils la remplissaient, des bottines avec des plateformes et des talons…
Et moi, blonde coquette et plantureuse au milieu de ces vêtements tape-à-l’œil. Dessous, je portais mon body fait de lanières de cuir, juste pour voir ce que ça me faisait de le porter contre ma peau dans mes activités quotidiennes, en cachette des autres.
Je me suis faite klaxonner plusieurs fois, mais aucun de ces galants hommes n’a daigné s’arrêter. C’est alors qu’une voiture s’est garée à ma hauteur. Hourra ! J’espérais juste qu’il ne s’agissait pas d’un vieux pervers… Bingo, c’était Hervé ! Un ami de ma famille. Rien à craindre ! Quoique de mon côté, je risquais de ne pas pouvoir me contrôler longtemps avec lui à mes côtés… Pour vous le figurer, c’est un très beau quadra très viril, voix rauque et un côté daron, mais malgré tout des restes de jeunesse un peu canaille et un visage à la fois doux et autoritaire. Vous me voyez venir… C’est le côté autoritaire qui me plaisait bien justement et sur lequel j’avais craqué depuis belle lurette…
Il a baissé la vitre et m’a zieutée. « Où tu vas comme ça, chez ton amant ? Allez, monte ! » J’ai voulu un peu le provoquer pour le tester. Alors, j’ai posé mes seins sur le rebord de sa vitre baissée, de sorte qu’ils étaient presque prêts à sauter dans la voiture avant moi !Ses yeux ne pouvaient éviter ces deux monts de chair fraîche qu’il devait forcément au moins un peu convoiter. Je suis montée dans la voiture à côté de lui et je l’ai mené en bateau. « Oui je vais voir mon amant, et alors ? Tu veux savoir ce qu’il me fait ? » Il a rigolé. « Je suis sûr qu’il est vanille. » « C’est quoi, vanille ? » j’ai fait. « C’est tout ce qui n’est pas kinky, BDSM, tout ça, tu connais ? C’est marrant car vu comme tu es accoutrée, tu pourrais être une dominatrice. » « Moi, c’est plutôt le fait d’être la soumise qui m’excite. » J’ai retiré ma veste. Ma robe remontait contre mes cuisses serrées sur le siège du copilote. J’étais à moitié à poil et je venais de lui balancer ça à la gueule. On ne peut pas dire que je manquais du sens de la répartie !
Il a dû se sentir autorisé par mon aspect décomplexé, car il s’est penché à mon oreille en me disant : « Je suis sûr qu’il n’ose pas te faire les vrais trucs que tu aimerais qu’il te fasse. » Ça m’a fait tressaillir. Hervé aussi aimait bien la provoc’, visiblemment ! Un frisson m’a parcourue : il partait du bas du dos et remontait le long de ma colonne vertébrale jusqu’au cuir chevelu et de l’autre côté, il descendait jusque dans les terminaisons nerveuses de mon clitoris qui réagissait de manière presque mécanique à la simple évocation de ces pratiques.
Il y avait donc une vraie ambiguïté qui s’installait entre nous. Je l’ai regardé avec défi. « Tu me crois candide ? T’as qu’à me montrer ce que tu sais faire, si tu es si doué que ça. » « Tu veux ? » J’ai acquiescé. « Alors on est partis. » Tout était allé très vite, mais je ne pouvais plus faire marche arrière, j’étais trop curieuse et bercée par tous mes fantasmes que je cultivais depuis plusieurs semaines et qui ne demandaient qu’à s’exprimer.
Une fois arrivés chez lui, Hervé m’a montré la partie secrète de son appartement, une pièce entièrement dédiée au BDSM justement, avec une croix géante accrochée à un mur où il pouvait attacher sa femme, qui aimait se faire soumettre. Je n’ai pas voulu paraître impressionnée.
J’avais de plus en plus envie de lui.
« Tu crois que je n’y connais rien ? Regarde ce que j’avais prévu pour aujourd’hui. » Et j’ai retiré ma robe d’un geste de la main. Il a découvert mes gros seins nus, ma chatte à l’air libre prise dans cet entrelacs de cuir, ce harnais labyrinthique qui zébrait ma peau. « Approche-toi. »
Il a pris mon visage entre ses mains. « Tu es sûre que tu veux faire ça avec moi ? » Je suis sortie de ma posture de défiance pour laisser aller ma tête contre sa paume. J’ai dit oui. Mon maître avait reconnu la soumise en moi et c’était doux. Il m’a même donné un complément de costume : des lanières de cuir pour les jambes qui me prenaient les cuisses jusqu’en haut des genoux. Je me suis laissée attacher à la croix.
Bras en l’air, jambes écartées. « Je vais te faire du bien comme tu aimes, en jouant avec ta résistance à la douleur. » J’en tremblais déjà de plaisir. « D’accord. » « Si tu veux arrêter, tu dis simplement stop. »
Il a commencé par me caresser lentement la peau avec la pointe de sa cravache. Il l’a passée tendrement, partout où la chair était exposée. J’étais déjà en transe et chaque parcelle de peau titillée par la pointe de cet outil de torture réveillait dans les tréfonds de mon corps des flammes jusqu’alors endormies.
Puis il a empoigné un fouet avec plein de lanières de cuir pour me fesser. Il m’a demandé de me tourner contre la croix pour lui présenter mon cul nul, encore vierge de sévices, mais fin prêt à se faire rosser. Les cordelettes rêches se sont abattues sur ma croupe. Parfois, je lui disais d’arrêter, il suspendait son geste, je lui demandais de s’approcher de moi et je tournais la tête pour qu’il m’embrasse et puis je disais « encore » et les fessées tombaient à nouveau.
Ah le plaisir de la douleur ! Le plaisir de sentir ses chairs percutées par un matériau dur et dru sur mon cuir à moi !
J’avais le cuir solide comme on dit, mais une sensibilité à fleur de peau, il faut le dire. J’étais à la merci de ce maître improvisé, de cet homme qui voulait me mater. « Alors, tu aimes ça ? J’ai toujours su en te voyant que tu étais portée sur ces trucs, qu’on avait des choses en commun, toi et moi. Qu’il y avait entre nous comme une sorte de secret tacite, le partage de ce tabou que peu de gens en dehors de cet univers peuvent comprendre. »
J’étais bien d’accord, mais je ne disais rien, me contentant de rececoir les tannées qu’il me réservait avec son fouet de pro. J’étais contre la croix, je sentais le cuir de mon harnais se resserrer autour de moi, je le sentais qui décuplait mes sensations.
Le cuir du fouet répondait au cuir du body et j’étais ce corps supplicié dans l’entrelacs de liens qui me contenaient, qui serraient mes seins et mon entrecuisse. Je sentais la sueur qui coulait dans les plis formés par les lanières.
Et ma mouille qui n’était pas loin de dégouliner sur ma jambe.
Mes fesses étaient dangereusement exposées à la moindre de ses envies – avec mon consentement bien sûr. Il s’est plaqué contre moi et a passé le bras autour de mon visage pour me montrer un petit plug qu’il tenait à la main. Il me l’a fait sucer, me l’a fait tourner et retourner dans ma bouche qui salivait de plaisir et de gourmandise, pour ensuite en passer doucement la pointe le long de ma colonne vertébrale, puis sur la fente de mon cul, tout tendrement, pour finalement – “pop” – me le fourrer d’un seul mouvement dans la chatte.
La petite chose était venue se ficher dans mon sexe et c’était une sensation agréable, l’objet avait été réchauffé après son passage dans ma bouche et il était délicatement tiède entre mes cuisses, me préparant aux futures pénétrations que j’attendais avec impatience. Je faisais bouger mes hanches et mon cul et je provoquais des contractions du périnée pour sentir l’objet coulisser et frémir en moi.
Il a vu que j’y prenais plaisir et il a voulu me montrer à quoi la scène ressemblait de son point de vue, alors il a tendu un miroir contre mon cul pour que, le visage tourné vers l’arrière, je puisse mirer le plug dans ma chatte. Je le voyais, petite pierre rouge étincelante au milieu de ma peau, plantée entre les monts de mes fesses, les légers reliefs de mon sexe, et ma mouille qui avait permis qu’il s’y fasse une place bien douillette.
Un autre “pop”, Hervé m’avait retiré le jouet.
La voie était libre dans mon vagin et je n’ai eu qu’à me pencher en avant sur ses ordres pour qu’il me pistonne avec sa bite bien tendue qui n’avait plus qu’à se planter là, comme le plug s’était planté dans mon corps. Penchée dans une posture de soumission, je me tenais aux chaînes qui pendaient de la croix. Mes seins étaient attirés vers le sol par la pesanteur. Lui avait retiré son pantalon et il était entré en moi avec une force encore une fois pleine de tendresse. J’étais en train de me faire baiser par Hervé, le coup de cœur que je m’étais toujours interdit !
Je ne doutais pas qu’il y avait un petit côté malsain à ce coït ambiance BDSM. Mais c’est aussi ce qui en faisait toute la saveur. La sensation de son sexe était meilleure que celle du plug qui avait réveillé mes entrailles.
Celles-ci brûlaient pour lui et l’avoir à cet endroit là de moi me donnait des ailes. Je me tenais aux chaînes dans un lâcher-prise total et il me limait avec vigueur, en attrappant parfois mon cul et en y plantant ses ongles, et pendant qu’il me pénétrait il frappait encore parfois mon séant qui avait déjà été bien éprouvé. Mais la peau avait tellement été accoutumée à ces tapes répétées que je ressentais ces fessées comme des gestes câlins.
Comme j’étais toujours tournée dos à lui, pliée en équerre, à lui tendre mon derrière, il a remis le plug, mais cette fois dans mon cul, tout en le fessant. J’étais prête pour la grande invasion.
Il a caressé mes hanches et mes cuisses, et puis il a passé ses doigts par en-dessous, dans ma chatte, constatant qu’elle était trempée de désir. Il a retiré le plug et m’a installée face à lui, le cul posé sur un siège, les jambes écartées et relevées, les bras toujours accrochés à la croix. J’étais écartelée, ouverte pour lui.
Face à moi, dans son allure un peu intimidante de maître, il m’a prise par le cul.
Mon cul ouvert, un chemin jusque là peu emprunté par les hommes, mais dont j’adorais la stimuation. Sa bite s’introduisait dans mon conduit secret et le chauffait, et sa queue était tiède et douce, encore une fois mieux que le plug. Je voyais son corps s’activer contre moi et dans mon cul, cette délicate brûlure du plaisir me transperçait. Il a décroché mes mains car il me voulait tout contre lui, et moi aussi. Je voulais sentir sa peau et plus seulement les lanières d’un fouet. Nous nous sommes étendus sur le canapé, lui derrière moi.
J’ai levé grand la jambe pour qu’il puisse à nouveau se glisser dans ma rosette et il m’a attrapé une fesse pour m’ouvrir davantage.
Avec des mouvements de bassin, il me prenait par là en donnant des impulsions plus fortes, si bien que je me faisais cuire le cul par ses mouvements et que cette pratique, relativement nouvelle pour moi, me faisait atteindre les cimes du Nirvana. J’étais ouverte et en même temps rassemblée par mon harnais de cuir qui caressait ma peau et qui se resserrait un peu plus sur moi alors qu’il me sodomisait. Je perdais tous mes repères, tant cette session était forte en émotions. Pendant qu’il m’enculait, il me donnait aussi des tapes sur l’intérieur des cuisses, qu’il caressait ensuite avec amour.
Mon cul était en ébullition et je sentais le plaisir qui communiquait avec mon clito. Celui-ci était bien bandé et il n’a eu qu’à tendre la main pour le stimuler et j’ai joui, joui, joui.
J’étais déjà sur une espèce de plateau depuis le début de la séance, prête à exploser dans la jouissance contenue depuis la voiture, tapie dans l’ombre et qui allait se déverser sur moi.
J’ai crié et il a étouffé mon cri dans sa main, ce qui a tendance à m’exciter encore plus.
Comme pour me punir, il m’a fait poser les épaules contre le canapé et relever le cul, qu’il vénérait décidément, et il s’est remis à le gifler et à le caresser alternativement.
Tout en me fessant, il se branlait, et puis il a tout lâché sur mon fion.
À la brutalité de ses gifles se conjuguait la tiédeur de son sperme. J’étais là, cul perché avec la marque de son plaisir sur moi qui calmait les restes de sensations de ses fessées. Je me suis laissée couler dans ce sentiment de plénitude qui survient après une telle décharge d’adrénaline.
J’ai regardé Hervé qui m’a couvée du regard. Je ne regrettais pas une seconde d’avoir dévié de mon chemin du matin et j’aurais, si je finissais par arriver chez elle, beaucoup de choses à raconter à ma meilleure amie…