La stagiaire et le commercial

La rédaction 10 mars 2016

En stage de fin d’études, Éva se voit conviée à un séminaire pour le week-end. Mauvais concours de circonstances, la miss avait prévu de réviser son Kama-sutra en compagnie d’un ex de passage.
Heureusement, dans les douches, elle rencontre Benoît, le commercial au grand cœur (et pas que…) de la société. Éva se dit alors que, parfois, le hasard fait bien les choses…

Sympa le séminaire ! La boîte dans laquelle j’effectuais mon stage de fin d’études n’avait rien trouvé de mieux que de nous organiser un week-end à Tourcoing, pour évoquer les stratégies de rentrée. Moi, je devais venir pour le décor, assurer la maintenance en café… Dire que j’avais prévu de faire des cochonneries tout le week-end avec un ex de passage.

Cerise sur le gâteau, comme nous rendions les chambres à la mi-journée et que, dans l’après-midi, nous avions une course en sac pour motiver les troupes, il ne restait plus qu’une seule chambre avec douche pour nous laver les uns après les autres avant le retour au bercail. Ça, c’était de l’organisation !

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Après notre séance de course, je me suis rendue dans la chambre “dédiée” au brin de toilette. Oups, quelle ne fut pas ma surprise en ouvrant la porte ! Benoît, le commercial de l’équipe, était là, nu comme un ver !!

Le garçon, plutôt bien bâti, a semblé aussi étonné que moi. Mais d’un seul regard, je crois que nous avons bien compris que nous étions sur la même longueur d’ondes ! Bah oui, je n’avais pas eu le week-end de sexe que je m’étais, au préalable, savamment concocté.

J’ai laissé tomber mon peignoir pour que nous soyons d’égal à égal niveau tenue vestimentaire. Dans une pose très “Penseur de Rodin”, Benoît a détaillé chaque parcelle de mon anatomie comme s’il se demandait si le jeu en valait la chandelle.

Se faire serrer la queue à la main avec une petite stagiaire, il y avait effectivement mieux pour sa com’ au sein de l’entreprise ! Visiblement, mon penseur à moi avait des idées très cochonnes à l’esprit car sa queue grossissait désormais à vue d’œil !

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D’un coup, quand il m’a saisi par la queue-de-cheval pour diriger ma bouche vers sa bite tendue, je me suis dit que le désir avait été, une fois encore, plus fort que le risque encouru. Décidément, les hommes sont si faciles à convaincre lorsqu’il s’agit de sexe !

C’est dingue, à un moment, on a vraiment l’impression que toutes leurs capacités cérébrales se retrouvent propulsées comme par miracle au-dessous de la ceinture… Et là, le moins que l’on pouvait dire, c’était que je sentais très bien toutes les “capacités cérébrales” de Benoît ! Sa queue bien raide parcourait tout mon visage, et il se plaisait à tapoter son gros gland sur mes joues. Le bruit que cela engendrait n’était pas pour me déplaire et ne faisait que renforcer l’excitation perceptible entre mes cuisses humides.

L’attirail de Benoît était large, épais, une queue comme je les aime… J’allais enfin pouvoir me rattraper de mon week-end de frustration. Non par l’odeur alléchée mais par la vue du bel engin, j’ai enfourné ce gros morceau au fond de ma bouche. Sur la bite de notre commercial en folie perlait déjà une petite goutte de plaisir que je me suis empressée de déguster, comme on le ferait avec un bon vieux rhum vieilli en fût. Le nectar était certes moins alcoolisé, mais tout aussi divin. Pour donner dans le registre “petite garce”, j’ai fixé Benoît du regard en avalant cette perle d’excitation.

Chaque homme a une manière bien à lui d’aimer être sucé. Visiblement, mon commercial au tempérament de feu prenait un plaisir certain à se laisser déguster les testicules… Testicules gorgés de semence, si j’en jugeais par leur volume.

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Benoît les pressait et semblait à deux doigts de les faire exploser. Mais non. Il me les tendait, pour une dégustation en règle de ses beaux rognons blancs… Comme pour mieux me faire passer le message, il a joint la parole au geste dans un registre nettement plus cru que celui utilisé au cours de ses interventions orales devant les grands pontes de la société : “Allez, vite, bouffe-moi bien les couilles, oui, lèche-les…

Je veux que tu me les enduises de ta salive, que ma queue soit toute luisante avant de te prendre comme une petite cochonne.” Inutile de vous dire que le monsieur avait dû profiter du week-end pour réviser ses dialogues de DVD porno, tant sa prose semblait plus proche du catalogue interstron.ru que de James Joyce. Que les poètes du sexe se faisaient rares en ces temps de téléréalité ! Enfin, cela n’allait pas pour autant gâcher mon plaisir.

Je n’étais pas là non plus pour déclamer du Ronsard mais pour me délecter d’une bonne dose de sexe. Terriblement énervé après cette séance de mise en bouche, Benoît m’a conduite sur le canapé de la chambre afin de poursuivre notre exploration en profondeur. Étant donné la salive que j’avais répartie sur sa queue et le degré d’humidité de ma minette, son gros pieu s’est enfoncé d’une traite entre mes cuisses. Côté coup de reins, la course en sac avait visiblement donné de l’entrain à mon partenaire qui faisait son possible pour m’enfoncer son gros témoin.

Et hop, cinq points au gagnant ! Pour entrer dans le registre de Benoît niveau dialogue, je me suis fait un plaisir de me prendre, moi aussi, pour une actrice en plein tournage de scène : “Oh oui, vas-y, défonce-moi bien. Elle est bonne la chatte de la petite stagiaire hein? Tu aimes la baiser! Dis-le!” Eh oui, moi aussi je connaissais mes classiques ! La bite de Benoît était d’un calibre parfait et elle comblait délicieusement ma minette toujours à la recherche de sensations fortes. Heureusement que nous étions dans les derniers à prendre notre douche car je crois qu’une sortie en duo aurait carrément éveillé l’attention.

Les cuisses ouvertes au maximum, j’ai eu une pensée émue pour mon ex qui devait se morfondre seul dans une chambre d’hôtel pendant que moi, je m’envoyais en l’air ! En tout cas, je trouve qu’en terme de stratégie de rentrée, Benoît et moi étions déjà bien au point !

Lorsque l’on a frappé à la porte de la chambre et que mon fougueux commercial a rétorqué un “Occupé!”, j’avoue que la situation m’a encore davantage excitée. Cela a agi sur moi comme une véritable métamorphose, me transformant en petite garce prête à tout. J’ai invité Benoît à rejoindre ma bouche pour déguster la mouille qui enduisait sa queue et changer de registre niveau pénétration.

Le fixant droit dans les yeux, j’ai simplement déclaré : “J’ai envie que tu m’encules!”

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J’ai bien cru qu’il allait avaler tous ses argumentaires commerciaux tant il a semblé décontenancé par ma proposition. Heureusement, une fois la surprise passée, il n’a pas été long à combler mes attentes. J’ai senti son gros gland presser mon œillet et pousser, pousser encore…

Vu la dimension de son engin, il a dû cracher sur ma rondelle et enduire sa queue de salive pour faciliter l’entrée des artistes. J’adore cette sensation entre légère douleur et plaisir intense où une belle et grosse bite vient se perdre au fond de mes entrailles. Celle de Benoît m’a arraché un cri lorsqu’enfin, son gland épais a pris mon joli petit cul à l’abordage. Me faire sodomiser là, comme ça, par un mec de l’équipe avec qui je bossais, et alors que les directeurs de la boîte se trouvaient à quelques mètres, ça avait quelque chose de transgressif et de tout à fait jouissif.

Je cambrais bien mes reins et je poussais au maximum mon cul pour faire entrer toute la belle bite de Benoît au fond de moi. “Défonce mon petit trou, allez, mets toute ta grosse queue dans mes fesses, je suis à toi, vas-y, remplis-moi encore…” Il est vrai que question remplissage, Benoît s’imposait là.

Son énorme engin dilatait au maximum mon œillet qui, pourtant, prenait un malin plaisir à encaisser ses coups de reins.

De ses mains puissantes, il m’écartait les fesses afin de s’enfoncer jusqu’à la garde au fond de mes entrailles. Sa grosse queue coulissait à une vitesse folle, et les sensations étaient telles que je ne pouvais réprimer quelques mots crus qui, visiblement, faisaient le bonheur de mon assaillant. “Oh oui, dans mon cul, comme ça, reste bien au fond de mes fesses, défonce-moi, mets-moi tout, remplis-moi, éclate-moi, j’aime ça, j’adore ça…”

Alors que j’y allais de mon petit monologue pornographique, de nouveaux tambourinements se sont fait entendre à la porte. Il est vrai qu’avec une belle grosse bite dans les fesses, on ne voit pas le temps passer. Mais ceci n’était pas le cas de tout le monde, et un petit retardataire semblait lui aussi pressé de s’octroyer la chambre pour quelque temps. Mes gémissements de plus en plus audibles l’avaient peut-être alerté… Partie comme je l’étais, je n’aurais pas été contre un duo masculin pour s’occuper des moindres parcelles de mon corps, mais il me restait encore quelques semaines de stage dans la société et je ne voulais pas compromettre ma réputation, déjà durement mise à l’épreuve avec la queue du commercial dans mes fesses !

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Le temps pressait. Mon Benoît devait se sentir divinement bien calé là à l’intérieur de mon petit trou car sa résistance ne paraissait pas flancher ! J’ai glissé une main entre mes cuisses et je me suis caressée pour décupler un peu plus les délicieuses sensations qui parcouraient mon corps tout entier. Benoît en a profité pour redoubler d’efforts et accélérer encore un peu plus ses va-et-vient dans mon joli cul maintenant totalement distendu. “Oui, plus vite, allez encule-moi bien au fond, tu vas me faire jouir…” Expert en la matière, mon partenaire s’est enfoncé d’un coup sec jusqu’à la garde entre mes fesses et est resté planté là, à remuer, le pieu introduit en moi. Un tel traitement n’a pas été long à me faire jouir bruyamment. J’ai poussé des “oui” de jouissance alors qu’une vague de chaleur d’une puissance inouïe parcourait mon corps entier.

Monsieur VRP souhaitait continuer à s’activer en moi, mais une fois que j’ai pris mon pied en me faisant sodomiser, il faut vite sortir sinon ça me fait mal ! J’ai sauté sur ce dard tendu et je l’ai enfourné dans ma bouche pour remercier Benoît de l’orgasme de haut vol qu’il venait de m’offrir. Je n’ai pas eu beaucoup à patienter pour que ses couilles pleines ne se vident au fond de ma gorge. Un délicieux jus, épais et tiède, que je me suis empressée d’avaler sans en laisser la moindre goutte. Le bruit de déglutition prononcé a mis mon commercial dans tous ses états. Je sais bien que les mecs adorent que l’on avale leur sperme, ça les excite grave !

Une fois (re)douchés et habillés prestement, nous nous sommes éclipsés de la chambre en toute discrétion. Notre tambourineur masqué avait dû finir par abdiquer. Nous avons rejoint le groupe, l’air radieux. Il n’y a pas à dire mais une bonne partie de corps à corps, rien de tel pour voir la vie en rose.

Le lundi, mon boss n’a rien trouvé de mieux que de m’envoyer pour la semaine sur les routes avec… Benoît, pour améliorer mon bagage commercial ! Autant vous dire que je l’ai complété de manière plus qu’assidue par tous mes petits orifices. Les commentaires de mon vigoureux collaborateur sur mon rapport de stage ont été dithyrambiques, comme vous pouvez vous en douter !

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