Regarde-moi !

La rédaction 22 décembre 2025

Ma femme a toujours de nouvelles idées pour mettre du punch dans notre vie de couple. Sa dernière volonté, elle me l’a dit sans rougir, un matin, en prenant notre café : « Tu sais, ton ancien collègue Arnaud qui est passé prendre l’apéro l’autre jour ? En ce moment, je fantasme qu’il nous regarde en train de faire l’amour. » J’ai ri. Ce n’était pas de la jalousie. C’était autre chose, un sentiment d’inconnu teinté d’excitation. Comme si elle venait, une fois de plus, de frôler une ligne que je n’avais jamais pensée franchissable. Avec Arnaud, on avait bossé ensemble il y a quelques années. Un gars tranquille, réservé. Il était passé par hasard, en transit dans la région. On avait bu quelques verres. Il avait complimenté la maison, souri à ma femme avec retenue, mais aussi avec un regard appuyé. Voici mon histoire de sexe amateur érotique.

Fantasme d’exhibitionnisme

L’idée a fait son chemin. Un soir, elle m’a demandé de l’aider à choisir une robe. Elle en a choisi une, fendue sur le côté, presque indécente. « C’est pour vendredi », m’a-t-elle soufflé. « On l’a invité à dîner, tu te souviens ? » Je me souvenais. C’était elle qui avait lancé l’invitation. Elle avait pris les devants et lui avait fait part de son fantasme. Lui, plus libre que je le croyais, était bienveillant et savait mon épouse fantasque. Il avait accepté, sous réserve que je sois d’accord. Le jour-J, tout était soigneusement orchestré. Vin blanc au frais, bougies, playlist sensuelle. Ma femme rayonnait. Moi, je me sentais comme un complice dans une pièce dont je ne connaissais pas le dernier acte. Arnaud est arrivé à l’heure. Toujours aussi posé. Il l’a regardée de haut en bas en la saluant. Elle lui a souri sans baisser les yeux.

Pendant le repas, les conversations étaient banales. Mais sous la table, ses pieds ont effleuré ma cheville. Elle était belle et sexy à tomber. Et à un moment, elle a posé une main sur ma cuisse. Lentement. Arnaud a vu. Il a retenu son souffle avant de reprendre une gorgée de vin. Elle voulait que je la voie autrement, à travers ses yeux à lui, et elle voulait me désirer en même temps qu’elle se sentait désirée par un autre. Elle avait besoin de ce double regard désirant de deux hommes sur elle pour vivre pleinement son fantasme. Elle m’a pris par la main pour me guider dans notre chambre, sur notre grand lit blanc immaculé qui était comme un appel à la luxure. Arnaud était sur nos talons. Sa robe fluide a coulé sur ses hanches, tel un voile liquide. Elle était magnifique dans sa lingerie jaune pétant qui sublimait son bronzage. Elle a retiré ses hauts talons.

Aventure observée

Je me suis approché d’elle, presque intimidé par l’audace et la puissance de ma femme. C’était elle qui menait le jeu.
Elle m’a ordonné de m’allonger, elle est venue sur moi, imposante, féline. Elle m’a embrassé tout le corps, j’en ai eu des frissons, puis elle s’est rapprochée de ma queue qu’elle a prise délicatement pour m’offrir une pipe passionnée. Sa bouche dansait sur mon sexe. Arnaud, dont je n’avais pas oublié la présence, nous regardait, j’entendais sa respiration s’accélérer. Il prenait des photos. Je sentais que ma femme en rajoutait pour lui, pour le spectacle, et que les sensations partagées en étaient augmentées. Son corps se livrait à une véritable performance. Je voyais son petit cul bouger en même temps qu’elle me suçait et c’était une vue renversante, de même que celle de son joli visage concentré sur sa tâche.

Elle s’est allongée sur le ventre, étendue sur le lit, cul cambré en arrière, où il y avait son tatouage en forme de fleur sur la chute des reins. Je me suis frotté contre ce cul splendide et je l’ai prise par-derrière, presque allongé sur elle. Je sais qu’elle adore cette position et que les mouvements d’allers-retours de nos corps font que son clito frotte contre les draps. Elle était complètement trempée, et très active malgré la position couchée, je sentais sa cambrure, ses frottements, les contractions de sa chatte. J’ai senti qu’elle jouissait avant même qu’elle ne crie. Nous étions complètement connectés dans ce moment de grâce. Quand j’ai repris mes esprits, je me suis souvenu qu’Arnaud n’en avait pas loupé une miette. Il nous a regardés avec des étincelles dans les yeux. Cela se voyait, lui aussi avait passé un bon moment.

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