Douces révisions avec Lorie

La rédaction 31 décembre 2020

Josh, 19 ans, invite Lorie, une amie étudiante pour une partie de révisions en marketing dans sa chambre. Au grand dam de sa maman !

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Je m’appelle Josh, j’ai 19 ans, et j’habite encore chez mes parents, à Concarneau. C’est une très jolie petite ville mais j’ai pour projet de la quitter, afin de faire mes études de marketing à Nantes. Avec le confinement, je suis les cours à distance, toujours dans ma famille, mais j’ai effectué la demande de location d’un petit studio pour janvier et je compte bien m’y installer.

Ma mère est très triste de savoir que je vais quitter le nid. Je suis le petit dernier de la troupe, et je crois qu’elle a très peur de se retrouver seule avec mon père. Évidemment, on n’évoque jamais ce genre de choses entre nous. Mais je sens qu’elle est collante, qu’elle trouve des solutions pour que je reste confiné encore plus longtemps avec eux, qu’elle me fait de bons petits plats… je connais ma mère, voilà tout !

Pendant le confinement, j’ai échangé avec une étudiante nantaise qui suit les mêmes cours que moi et qui se retrouve aussi à distance, dans sa famille, du côté de Quimper, Lorie. Je ne dirais pas que l’on « sort ensemble » mais on échange des textos et des appels au moins tous les jours. Je ne l’ai vue qu’une fois, lors de la visite du campus, on bien sympathisé puis on a échangé nos numéros. Et nos solitudes respectives nous ont rapproché.

Il y a quelques jours, j’ai demandé à Lorie si elle voulait bien venir pour réviser les cours ensemble, avant que je ne parte m’installer à Nantes. J’ai évidemment demandé l’autorisation à ma mère avant, qui a accepté, la mort dans l’âme. J’ai rangé tant bien que mal ma chambre, sorti tous les cartons de déménagements dans le grenier, arrangé mon lit une place, changé ma couette (ma mère m’avait mis celle de « TinTin »), j’ai débarrassé mon bureau pour laisser de la place à Lorie et j’étais fin prêt ! Ma mère nous avait cuisiné une tarte pour que l’on puisse avoir un goûter. Ce qui était très gentil.

Quand j’ai vu Lorie arriver chez moi, j’avais le cœur qui battait à tout rompre. Je ne savais plus où me mettre, ni même comment lui dire « bonjour ». Elle est montée dans ma chambre et j’ai remarqué qu’elle aussi était très gênée, elle se touchait beaucoup les doigts, le visage, les cheveux et mangeait ses mots. Mais surtout, j’ai vu à quel point elle était belle avec ses cheveux longs et ses lunettes rondes. Je crois bien qu’ils avaient poussés en quelques mois. Elle avait préparé notre entrevue et quelques questions étaient notées sur une feuille de papier, on a commencé à bosser, très studieux l’un et l’autre. Ca me faisait très bizarre car nous étions allés assez loin dans nos échanges respectifs, par textos. Et là, nous étions à nouveaux des inconnus. Enfin, pas réellement inconnus, mais presque.

Ma mère est rentrée dans ma chambre au bout d’une heure, avec le fameux gâteau, sa tarte aux pommes « maison » dont elle est très fière, qu’elle décore toujours d’une pointe de vanille. Puis a refermé la porte, je l’ai vue rassurée de voir que l’on travaillait convenablement tous les deux. Lorie portait une jupe de velours et des collants épais et ses jambes fines avaient tendance à frôler les miennes.

Évidemment, j’ai eu une érection directement. Je n’ai jamais encore pénétré une femme (j’ai déjà embrassé et fait quelques attouchements, mais sans plus) et je suis souvent à cran, surtout en ce moment. Plus nous avancions dans le travail, plus nos mains se frôlaient, nos regards se croisaient… J’avais beaucoup de mal à rester concentrer, à organiser clairement les fiches qui étaient face à moi.

Et puis, alors que Lorie reprenait un bout de tarte, j’ai senti que c’était le bon moment ! J’y suis allé tout de go, mes lèvres se sont posées sur les siennes et j’ai attendu de voir comment elle réagissait. Ses lèvres m’ont littéralement électrisé, comme lorsque l’on plonge directement dans une piscine. Une sensation de chute d’abandon suivi d’un plaisir immense. Heureusement, elle prenait plutôt bien la chose et m’a souri à son tour, de façon un peu gênée. Moi, j’étais dans tous mes états. Le sang tambourinait dans mes oreilles, mon cœur battait la chamade. J’avais envie d’hurler, de m’enfuir et de l’embrasser, encore, à nouveau. Je voyais bien qu’elle n’était pas contre, mais qu’elle ne savait pas elle-même comment prendre les devants.

Alors j’ai pris une de ses mains et je l’ai posée contre ma joue. Elle m’a regardé dans les yeux, un peu bêtement. Ses lunettes ne masquaient en rien son joli regard, plein d’intelligence et de charme.

Ma mère a décidé de rentrer dans la chambre à ce moment là pour récupérer les assiettes, et elle nous a surpris le visage à quelques centimètres l’un de l’autre. On s’est décollé d’un coup, elle a débarrassé gênée mon bureau et nous a demandé combien de temps on en avait encore.

Lorie a soufflé poliment « Quelques minutes, madame. Quelques minutes, seulement. » On a rigolé tous les deux. Je l’ai à nouveau embrassée, cette fois-ci ma langue a cherché longtemps la sienne et j’ai osé poser une main sur son chemiser blanc. J’ai deviné la forme de son sein, plein, rond, bien fait. A nouveau, mon érection me faisait de plus en plus mal.

Mais Lorie a décidé que c’était fini et s’en est allée très rapidement. En descendant les escaliers avec Lorie, j’ai croisé le regard de ma mère. J’ai deviné qu’elle avait compris : il était grand temps de laisser partir son fils vivre sa folle jeunesse à Nantes !

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