Salle de baise !

La rédaction 8 novembre 2024

Laura, 35 ans de l’Essonne est amoureuse de son mec qui a tout le temps envie d’elle. A sa merci elle l’attend chaque soir pour sa ration.

Ce que j’aime chez mon mec ? Il a tout le temps envie de moi et, peu importe l’endroit, s’il a décidé de me baiser, il me baise ! Voici notre histoire de sexe amateur.

Un amant insatiable

Quand je l’entends rentrer le soir, quelle que soit la pièce où je me trouve, je sais que je vais y avoir droit … même si je suis aux toilettes en train de faire pipi … surtout si je suis aux toilettes en train de faire pipi ! Monsieur est un tantinet urophile ! Il est tranquille, il devine que ma petite moule est toujours prête, rasée ou épilée, mon piercing de clito bien visible et trempée comme si je venais de me branler … ce qui est souvent le cas du reste. Aussi, n’a-t-il de cesse de m’envoyer des cochonneries sur mon portable, des mots crus, des scénarios pornos à souhait et, bien évidemment, des selfies de lui nu et de son énorme bite !

En retour, il exige de moi la même chose, je parsème donc ses journées de clichés de moi, sous la douche, encore dans le lit, un gode enfoncé dans le minou ou dans le cul, dans la cuisine vêtue d’une simple nuisette, de mes pissous qui le rendent dingue. Combien de fois s’est-il masturbé dans les chiottes de son bureau !? Ce soir-là, j’étais dans la salle de bain, je sortais d’une douche pour me rafraîchir, mes petits tétons pointaient, ma fente exsudait un miellat épais, il a poussé la porte, j’étais assise sur les toilettes, une serviette orange déjà auréolée de mon jus intime sous les fesses. Il m’a demandé de patienter, le temps qu’il se passe lui aussi sous le jet d’eau, puis il s’est planté devant moi, l’heure de la fellation vespérale avait sonné.

Son énorme chibre était en érection, j’ai joué quelques minutes avec, pendant que monsieur me prenait en photo, je l’ai branlé doucement en prenant soin de bien décalotter le gland. Il n’en perdait pas une miette, shootant ma tête et mon visage obéissants tandis que j’approchais mes lèvres de son sexe désormais tendu à craquer. Il m’a demandé de me pencher en arrière, mon équilibre était précaire, mais j’ai obtempéré et écarté en grand les cuisses comme il me le commandait. Il a lâché un filet de salive à la verticale de ma cicatrice rose et celui-ci s’est étalé le long de mon sillon, l’instant d’après je recevais l’appendice massif de mon Amour tout au fond de la chatte. Comme toujours, j’ai eu l’impression que mon sexe allait exploser, mon Dieu, ce qu’il est gros, ce qu’il est long, lourd et puissant.

J’ai senti les premiers frémissements de plaisir parcourir mes reins, le tronc de chair et de sang allait et venait, ne me laissant aucun répit. C’était délicieux. Il ne s’arrêtait que pour prendre des photos de mon vagin et de mes petites lèvres, les plus nettes possible. Une fois qu’il a eu ce qu’il voulait, il s’est retiré, mon con tout ouvert où l’air s’est engouffré, m’a fait frissonner, une tape sur la cuisse, il était temps que je me retourne et que je lui présente ma croupe. Telle une jument bien obéissante, je me suis levée. Il a déposé un baiser fougueux sur ma bouche avide et je me suis installée à genoux sur les WC, les mains sur le rebord de la baignoire. La différence de hauteur des deux éléments me permettait de me cambrer à l’extrême et de lui soumettre ma chute de reins pile au bon niveau.

J’ai écarté les fesses et attendu sagement qu’il veuille bien me fourrer à nouveau. La torpille s’est faufilée, le chemin était prêt. Le gland s’est décalotté à l’entrée de mon trou, puis la couronne est passée, plus grosse, elle me fait toujours un effet fou. Le reste de la pine a suivi, sans peine, jusqu’à buter contre mon col, tout au fond de mon intimité. Ma grotte était investie, je m’étais masturbée peu avant l’arrivée de mon amant, mes muqueuses étaient donc gonflées et je lui ai enserré la hampe très fortement comme je sais qu’il apprécie. Il m’a limée à la limite de la chute, me bourrant de coups de reins plus rageurs les uns que les autres. J’ai joui en quelques secondes, ce traitement me rend dingue à tous les coups.

J’ai inondé l’abattant et le sol en criant mon plaisir qui a résonné dans la pièce carrelée jusqu’au plafond. J’étais en coton, mes genoux lançaient douloureusement, mais cela concourt à ma plénitude, il me faut simplement quelques instants pour reprendre ma posture initiale et branler le manche de mon Amour. J’ai besoin de temps et d’énergie pour le faire cracher, surtout quand il s’est paluché précédemment au travail ou dans la voiture. Et puis ça gicle enfin ! Une masse de foutre est expulsée à hauteur de mes seins, le sperme s’écrase sur ma peau noyant mon nombril, dévalant la pente musclée de mes abdos pour mourir sur mon mont de vénus.

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