Sous la tente un soir de pluie
5 février 2020Jenn, 22 ans
Je m’appelle Jenn, j’ai 22 ans. Avec mon conjoint, nous avons décidé de partir en week-end camping avec des amis.
Après 2 h 30 de route, nous sommes arrivés à destination. Une fois que tout a été installé, nous avons profité de cette belle soirée. Puis, quand l’heure de se coucher est venue, mon homme s’est révélé d’humeur coquine. Il voulait me faire comprendre que la nuit n’était pas finie pour nous. Il a commencé par m’embrasser… Il m’a caressé la cuisse. Il sait que ça m’excite beaucoup. Ses lèvres ont glissé sur mon cou, sur mes tétons qui durcissaient. Ses coups de langues étaient un pur délice. Il a continué à descendre et à m’embrasser. Il a léché mon clitoris déjà tout gonflé d’envie et de désir.
Je lui ai fait signe de venir vers moi. Il a joué avec ses doigts sur mon clito pendant que je le branlais comme il aime. Il devenait très dur. J’ai accéléré mes mouvements. Sa respiration saccadée provoquait en moi une grande chaleur. J’avais une folle envie de le sucer, mais il en a décidé autrement. Il m’a levé les jambes et m’a pénétrée facilement. Il a malaxé mes seins avec force, miam, j’adore ! Il me collait des claques sur le cul de temps en temps, et ça aussi, j’adore ! Autour de moi, j’entendais les autres qui passaient à côté de notre tente. La pluie commençait à tomber. J’avais peur qu’on nous surprenne, qu’on nous devine. Cette position m’excitait à mort, en même temps !
Pour changer, je me suis mise sur le côté et j’ai dirigé son manche vers ce trou plus tendre qui avait justement besoin d’une petite visite. J’ai éprouvé la dureté de son membre à travers ma chair ! J’ai eu encore plus de mal à retenir mes cris. J’avais très chaud et je voulais qu’il me casse le cul sévèrement. J’ai « murmuré » aussi bas que possible : « Plus fort, plus vite, encore ! » Il a obéi. La pluie battait à tout rompre. Je parvenais très bien à distinguer ce que faisaient les autres dans leurs guitounes, mais eux, pouvaient-ils m’entendre ? Les coups de reins de mon homme étaient si bons…
Ça atteignait facile les 40 °C dans notre tente pour quatre personnes, alors que dehors, il devait faire bien froid… Soudain, j’ai senti une vague de chaleur intense. Je savais que lui aussi allait venir. « Accélère, je vais jouir !« , lui ai-je ordonné. Il m’a défoncée, et nous avons atteint l’orgasme tous les deux. Nous nous sommes endormis, enlacés. Si c’était toujours comme ça le camping, on en ferait tous les jours, mon amour. Merci pour ce week-end qui, malgré le temps, était parfait pour nous. Je t’aime.
(Image à la une : Getty Images)
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