Iris surprend ma branlette !

Paule 6 octobre 2023

Constantin, 43 ans, se fait surprendre par la fille des propriétaires en plein moment d’intimité ! Heureusement, la jeune fille n’a pas froid aux yeux.

La fille des proprios était une cochonne

C’était l’été de la liberté retrouvée, juillet deux mille vingt-deux, mon pécule de vacances était bien rempli, autant que mes bourses, mon couple n’ayant pas survécu aux différents confinements. J’ai loué une villa dans les Alpes-Maritimes et je suis parti trois semaines. J’ai dormi douze heures après un interminable trajet en voiture et le lendemain je ne suis pas sorti, profitant de la piscine et du solarium pour bronzer à poil. Je me caressais négligemment la queue, sans me branler, juste pour entretenir cet état de semi-érection qui précède la véritable excitationsexuelle quand j’ai entendu une voix jeune et féminine derrière moi ! Voici mon histoire de sexe.

C’était Iris, la fille des propriétaires des lieux. Elle pensait que j’arrivais la semaine suivante, j’étais pétrifié, essayant de cacher mon mastard avec mes mains, en vain.

« Montrez-moi ça ! » m’a-t-elle lancé.

Je ne savais plus où me mettre, mais elle avait déjà tout vu, à quoi bon tenter de dissimuler mes vingt et un centimètres ?

Iris a fait glisser sa combinaison de plage, elle était à poil en dessous, s’est accroupie devant moi et s’est engagée dans une fellation sublime. Ses deux petits seins pointus étaient comme deux aiguilles qui me transperçaient les yeux, presque maigre, elle n’en avait pas moins une énergie sexuelle débordante. Sa pipe s’éternisait et je gémissais de plus en plus fort, pas certain de pouvoir me maîtriser. La soudaineté de toute cette affaire rajoutait au piquant de la situation et Iris avait bien l’air décidé de faire les quatre cents coups avec moi. Cela s’est avéré plus que juste. C’est à sa demande que je l’ai photographiée. Au début j’étais un peu gêné, je n’avais jamais fait cela avec mon ex, mais Iris semblait transcendée par ce côté voyeur, j’avoue y avoir pris goût.

La sensualité de mon amante

Je n’ai même pas eu besoin de me lever, mon amante est venue s’asseoir sur moi, d’abord sur mon visage, madame désirait un cunni qu’elle guiderait elle-même. En quelques secondes, toute ma face était barbouillée de sa mouille, sa chatte sentait bon et sa cyprine avait une saveur divine. Elle a frotté son pubis, ses lèvres intimes sur ma bouche, l’extrémité de mon nez pile sur son clitoris. Elle a joui en poussant de petits cris très mignons puis s’est reculée pour m’embrasser et lécher sa liqueur tout en s’empalant sur ma bite. C’est rentré tout seul, sa lubrification était extravagante et son vagin très étroit, j’étais bien serré dans son fourreau et Iris s’est penchée en arrière. J’avais une vue imprenable sur sa fente tout écartelée par mon membre, plus je la regardais, plus elle coulait et ondulait. Ses chairs moulaient mon gland et frottaient sur toutes les parties sensibles de ma masculinité, j’étais au paradis. Ma queue est sortie à plusieurs reprises, mon amante se relevait un peu et guidait ma tige du bout des doigts afin qu’elle reprenne sa place en elle. Son sexe était chaud, moelleux, et Iris parvenait à faire bouger son popotin de telle façon qu’elle libérait la base de ma hampe pour mieux l’accueillir de nouveau tout au fond d’elle, sensuellement, en cercles sur ses aréoles pour finir par en pincer les bouts tendus.

Iris la petite coquine

J’ai bien enregistré comment elle faisait et j’ai reproduit ses gestes, visiblement à la perfection car la demoiselle est partie pour un deuxième orgasme, ses cuisses tremblantes et les yeux révulsés. Je sentais toutes les contractions de sa matrice, elle s’est affalée sur moi et je lui ai cajolé sa longue crinière. Je ne savais pas trop quoi faire, à part lui dispenser de la tendresse, mais la belle a vite recouvré ses esprits et s’est levée, me réclamant d’en faire de même.

Iris a pris appui avec ses mains sur le transat, la serviette présentait une grande tache de mouille, l’iode de la mer se mêlait à son élixir féminin, elle s’est penchée en avant et m’a demandé de l’enculer. Un peu d’huile solaire a fait l’affaire pour le lubrifiant, son anus était une jolie étoile toute fripée, brune comme ses nymphes. J’ai écarté ses fesses en lui disant ce que je regardais, sachant que cela allait l’exciter à mort. J’ai vu sa rondelle se gonfler, elle poussait sur son sphincter, j’y ai insinué mon gland qui a été absorbé aussitôt, le reste de ma queue a suivi sans peine. J’ai limé son petit trou un moment, elle a pris son plaisir et m’a enjoint à me lâcher. J’ai juté tout au fond de son cul, mon sperme a coulé de son orifice, elle y a glissé un doigt pour me goûter. J’ai passé trois semaines de rêve, à baiser matin et soir avec cette beauté incendiaire !

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Paule


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