Une queue pour deux
21 novembre 2019Faïza, 56 ans
Je suis une lectrice occasionnelle d’interstron.ru et je ne pensais jamais écrire au magazine. Mais j’ai raconté mon aventure à ma meilleure amie et elle m’a dit qu’il fallait que je la partage.
Je m’appelle Faïza, j’ai 56 ans, je suis mère de deux grands enfants et je vis séparée. Je fais une taille 44, avec une belle poitrine et pas mal de fesses, les yeux marron, brune aux reflets roux. Quand j’étais inscrite sur un site de rencontres, je faisais un malheur. Maintenant, j’ai juste quelques histoires par-ci, par-là, rien de sérieux. Je suis fatiguée des hommes et j’aime ma liberté.
Mon travail de visiteuse médicale est ma vraie passion. Je suis sur la route entre deux patients, avec ma musique et mes émissions de radio. Ça n’irait pas à tout le monde, mais moi, j’adore. On rencontre souvent des gens sympas. Et des fous aussi, parfois. Le couple dont je vais vous parler est dans la deuxième catégorie. Je les ai rencontrés en remplaçant une collègue qui était malade. Un monsieur de 45 ans qui avait juste besoin qu’on surveille sa tension et sa dame qui était prévenue que je passais les voir. Je l’avais eu au téléphone le matin et elle avait été très polie. Je me suis garée devant leur domicile. La maison était très belle, le jardin bien entretenu, avec des massifs de fleurs. La dame m’avait dit de pousser la grille, de tirer la cloche sous le perron et d’attendre. C’est ce que j’ai fait, mais personne n’a répondu. Alors je suis entrée. Quand j’ai poussé la porte, j’ai dû attendre quelques secondes pour m’habituer à l’obscurité. J’ai avancé dans le hall et j’ai tourné dans un grand salon. Les volets étaient fermés mais un peu de lumière entrait par les rainures. Ça sentait bon la cire, les meubles étaient beaux, surtout le grand canapé, au milieu… J’ai sursauté quand j’ai vu que le monsieur était assis là, avec la dame entre ses jambes !
J’ai toussé mais je suis sûre qu’ils savaient déjà que j’étais là, tous les deux. La dame s’est retournée et a fait semblant d’être gênée de me voir. Elle m’a dit : « Oh, pardon ! Je suis désolée… Mon mari a eu très envie d’un coup, vous comprenez… » J’étais amusée d’assister à un truc pareil. Le monsieur ne faisait même pas semblant, lui. Il me regardait en souriant. Son sexe était toujours dans la main de sa femme. Il était vraiment d’une taille impressionnante…
La dame a continué à me parler pendant que j’avançais vers eux : « Après tout, vous devez être habituée. Ce sont les choses de la vie, n’est-ce pas ? Je vous l’ai dit au téléphone, mon mari a de la tension et je n’aime pas qu’il s’occupe de lui tout seul. D’ailleurs, il faudrait peut-être que vous regardiez si tout va bien, vous aussi… »
Elle me faisait un vrai cinéma, et moi, ça me faisait rire encore plus. J’étais aussi très intéressée par le membre de son mari. Je crois que je n’avais jamais vu un sexe aussi épais… On aurait dit une aubergine qui brillait dans le noir, tandis que lui me regardait toujours. Ils étaient étranges, tous les deux, elle avec son chemisier ouvert qui laissait voir son soutien-gorge, lui, très excité de voir deux femmes admirer sa virilité. Je me suis agenouillée à ses pieds sans trop réfléchir. C’était… comment dire ? L’énergie du moment qui m’a guidée. La femme a soupiré quand elle m’a vue me mettre en position. J’ai ouvert la bouche et j’ai pris le gland de son mari entre mes lèvres.
Le jus qui perlait était salé. Je n’avais pas sucé de queue depuis un moment… Mais la vraie nouveauté, c’était l’odeur de la salive de sa femme, que j’ai sentie en même temps que j’avalais le membre centimètre par centimètre. Le mari a poussé un soupir, lui aussi, plus grave que celui de Madame. J’ai accéléré un peu le rythme, puis je me suis arrêtée et je l’ai regardé. Elle a pris le relais. Ça a duré plusieurs minutes, nous avons sucer sa grosse aubergine à tour de rôle. Quand son plaisir est monté, il a posé une main sur chacune de nos têtes et a caressé nos cheveux. Je savais que c’était moi qui le ferais jouir, car il gémissait plus fort quand je l’avais en bouche. Au bout de la cinquième fois à le sucer, j’ai touché doucement sous ses testicules, presque au niveau de l’anus, là où je sais que certains hommes adorent. Il a retenu sa respiration et tout est parti. Sa femme a gémi. Je me suis redressée sans avaler et je l’ai regardée dans les yeux, puis on s’est embrassées avec la langue. Je n’avais jamais partagé une fellation, et encore moins le sperme d’un homme avec son épouse !
Le soir, j’ai appelé ma collègue pour lui dire que j’étais passée chez eux mais qu’il n’y avait personne. Je ne sais pas ce que le couple lui a raconté, mais je n’ai plus jamais eu de nouvelles, ni d’elle, ni d’eux. Je garde un bon souvenir de cette histoire, qui a beaucoup fait rire ma meilleure amie. Je crois qu’elle est digne d’Union, non ?
(Image à la une : Getty Images)
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« Lorsque les deux mâles furent bien en forme, Henri a dit : « Jeanne, tu vas connaître ta première double pénétration avec deux belles bites. » Puis je me suis empalée sur lui et il m’a ouverte les fesses. » Jeanne
« Je me faisais brouter le minou pendant que je suçais mon homme. Ensuite, mon chéri a pompé Julien, puis ils ont inversé les rôles. Je les ai fait s’allonger l’un à côté de l’autre pour les sucer à tour de rôle. » Florence
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