Un anniversaire merveilleux

Paule 1 mars 2024

Pour son anniversaire Martin, a fait la surprise d’emmener à la côte bretonne sa copine et savait qu’elle j’avais passé toute son enfance là-bas.

Cloués au lit !

Julie passe la journée à l’hôtel avec son amoureux Martin. À travers quelques lignes, ils soulèvent la couette de leurs ébats… Je vous raconte mon histoire de sexe.

Pour mon anniversaire, Martin m’a fait la surprise de m’emmener à l’hôtel près de la côte bretonne. Il savait que j’avais passé toute mon enfance là-bas, et, amoureux avec l’intensité des premiers mois d’une relation, il s’est mis en tête de me faire revivre ma madeleine de Proust. Problème ? Nous étions tellement fusionnels tous les deux… que nous n’avons pas quitté la chambre d’hôtel. Nous avons baisé intensément, passionnément, pendant deux jours. Je me souviens avec beaucoup d’émotions du premier matin. Martin m’a pris dans ses bras, émerveillé de ma beauté éclatante, révélée par les premiers rayons de soleil. Enfin, c’est ce qu’il m’a dit. Nous dormions nu, et Martin m’a fait glisser sur le côté pour me prendre tendrement en cuillère. Je frottais mes fesses sur son érection matinale et très vite, j’ai senti couler le long de ma jambe tous les fluides de mon corps.

Cela imbibait les draps, dans une odeur de sueur fraîche et d’iode. À quoi bon aller se promener en bord de mer ? Nous en avions tous les embruns à même le lit. Nous avions faim, comme lorsque l’on se réveille d’une lourde nuit de sommeil. Faim de nos corps respectifs. Martin a approché son visage de mon sexe baveux. J’étais tellement excitée que je sentais mon sang battre entre mes deux cuisses. Martin a sorti une petite langue timide et a agacé tous les replis qui dépassaient. C’était froid, léger, et il réveillait avec beaucoup de tact mon corps encore un peu engourdi de la nuit. Tendrement, je me laissais faire, les yeux mi-clos. Je me suis tournée de façon à lui faciliter le passage et je cambrais mon dos pour l’encourager, pour faire fusionner mes lèvres épaisses avec ses lèvres douces. Ses coups de langue se sont amplifiés, infiltrés dans des territoires plus osés. J’ai senti mon vagin s’ouvrir sous les muscles déterminés de la langue de Martin. Mes mains se sont promenées sur ses cheveux, hésitant entre les lui tirer et les caresser doucement. Il accompagnait sa danse buccale de délicieux « Mmmpf » « Mmmpf ». Je me suis dit qu’il était temps que je lui rende la pareille. Je l’ai positionné d’autorité sur le dos.

J’ai passé sensuellement mes mains sur sa nuque, son torse et ai ralenti sur le haut de son pubis. Son sexe, dressé, épais attendait avec impatience que je m’occupe de lui. J’ai craché dans une de mes mains, juste devant lui, puis j’ai enserré sa queue dans mon emprise humide. Je l’ai secouée un peu avant de me la mettre en bouche. J’aurai pu le deviner : le sexe de Martin était tout chaud, tout moite. J’aimais savoir que j’avais quelque chose de lui, quelque chose de vivant en bouche. Cela m’excitait beaucoup. Alors que j’essayais de le faire rentrer au plus profond de ma gorge, j’ai glissé un de mes doigts dans ma chatte en même temps. Plus je me doigtais, plus je gémissais fort. Martin a compris qu’il fallait absolument me baiser. La longue attente de sa queue en moi ressemblait à un supplice. Il m’a alors ordonné de lui grimper dessus. Je me suis positionnée à l’envers, les fesses posées près de son visage, et je l’ai enfourché avec vigueur.

Je faisais moi-même les mouvements, je montais et descendais comme il me plaisait. Martin me portait avec légèreté, les deux mains posées sous mes cuisses. Il serrait un peu plus fort quand je m’enfonçais beaucoup, puis relâchait la pression quand je m’éloignais. Et puis, nous avons totalement revisité le kamasutra. Je me suis retrouvée en missionnaire, en levrette, sur le côté. Martin me glissait des mots obscènes à l’oreille : « J’ai envie de te prendre dans toutes les positions. Voir sous quel angle le soleil te rend la plus sexy. » De mon côté, j’essayais d’être la plus bandante possible. Mes cheveux glissaient sur mes épaules et je lui lançais des œillades très explicites. Je me mordillais les lèvres, passais parfois un doigt dans ma bouche, pour être encore plus aguicheuse. Martin a fini par sortir de mon sexe pour venir s’astiquer très vigoureusement à quelques centimètres de ma fente et m’asperger les orifices. C’était bon et gluant, je sentais le sperme chaud glisser sur moi. Nous nous sommes ensuite endormis dans les bras l’un de l’autre… et avons attendus que la nuit tombe. Ce fut un anniversaire merveilleux.

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Paule


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