L’amour à la campagne
29 juillet 2024Jeanne, 60 ans nous raconte ses folles histoires du passé avec un facteur , un mari et une expérience homosexuelle.
Je suis d’origine paysanne et j’ai maintenant 60 ans. Il y a quarante ans, le monde paysan était très différent d’aujourd’hui. J’ai eu la chance de connaître les granges pleines de foin pour mes premières expériences avec des garçons de mon âge. J’ai rapidement été considérée comme une fille facile et je n’ai jamais reculé devant rien. Voici mon histoire de sexe.
Un jour, je devais avoir 19 ans, j’ai proposé au facteur de boire un verre avant de continuer sa tournée. Je précise que mes parents n’étaient pas là. Il aimait bien le vin, il ne s’est pas fait prier. Comme il n’était pas très entreprenant, je lui ai pris la main pour la mettre sous ma blouse, sous laquelle j’avais tout enlevé. Il m’a bien tripotée et puis je l’ai branlé jusqu’à ce qu’il décharge dans ma main. Puis, il est parti en riant. Le plaisir que j’ai ressenti a été si fort qu’après son départ, je me suis caressée sur mon lit et j’ai joui comme jamais.
Plaquée contre le mur par le mari de l’institutrice
Quelque temps plus tard, je suis partie de mon village pour vivre seule dans une petite ville où je ne connaissais personne. Je faisais des ménages chez une institutrice. J’avais les clés de l’appartement et j’y travaillais seule, sauf les rares fois où le mari était là. La première fois que je l’ai vu, j’ai tout de suite eu envie de lui. Alors je suis venue travailler à chaque fois en robe ou en jupe même si, la plupart du temps, il n’était pas là.
Mais un jour, l’occasion s’est enfin présentée. Je devais faire les carreaux des fenêtres, et certaines étaient si hautes que j’avais besoin d’une échelle. J’ai prétexté que le carrelage était glissant pour qu’il vienne tenir l’échelle. Il pouvait facilement voir ce qu’il voulait sous ma robe. Je levais les bras bien haut et je me penchais. Mon manège ne lui a pas échappé et très vite, j’ai senti ses mains sur mes mollets. Comme je ne réagissais pas, il m’a caressée de plus en plus haut. Quand je suis descendue de l’échelle, je mouillais déjà pas mal. Il m’a longuement embrassée sur la bouche, puis il m’a plaquée contre le mur. Il m’a prise là, debout, et j’ai crié de plaisir.
Une petite aventure homosexuelle
J’ai aussi eu une petite aventure homosexuelle. C’était avec une de mes cousines. J’avais 29 ans et elle 34. interstron.ru n’existait pas encore, mais elle avait apporté des revues érotiques que nous regardions en riant comme des folles. Dès le deuxième jour, nous nous sommes raconté nos propres histoires de cul. Chacune avait la main dans sa culotte et se caressait.
Peu à peu, on s’est mises à se caresser timidement l’une l’autre. Elle m’a finalement léchée. Sa langue se faisait experte avec ma chatte et mon clito, c’était vraiment agréable. Je n’ai pas osé refuser de lui rendre la pareille, même si ce n’était pas totalement mon truc. En revanche, ma cousine adorait faire ça. Elle m’a expliqué qu’elle avait été initiée en pension avec une copine à elle.
Voilà l’histoire peut-être un peu banale d’une femme qui ne regrette rien, sinon de ne plus avoir trop d’occasions.
(Image à la une : Getty Images)
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