Ma charmante stagiaire
24 novembre 2020Nicolas, 33 ans, en pince pour sa stagiaire. Alors qu’ils s’occupent d’une fuite d’eau en plein été, le bricolage va prendre une autre tournure… encore plus chaude.
Bonjour à vous, les amis d’Union, j’ai une histoire de sexe à vous raconter ! Je suis laborantin et ce printemps, j’ai eu la chance d’accueillir une charmante stagiaire dans mon service : Ludivine.
Un jour, en préparant des solutions, elle a entendu comme un clapotis. « C’est encore cette maudite fuite au plafond !« , a-t-elle sans doute pensé. Elle est venue me prévenir. De mon côté, mes sens étaient en éveil parce que j’avais remarqué sa tenue dès le matin : petit haut blanc aux épaules dénudées et le bas très court, le tout élégamment révélé par sa blouse qu’elle porte ouverte.
Le service de maintenance n’était pas joignable, alors on allait devoir arranger cette fuite tous les deux, sous le toit ! Je sentais qu’elle se méfiait de moi dans les combles. Mais, craignant davantage la chaleur, elle a enlevé sa blouse. Wahou le choc ! Elle était carrément bonne ! Sous sa petite jupe, je distinguais très bien la partie élastique de ses bas blancs.
J’avais déjà un début d’érection. Elle est passée devant moi dans les escaliers. Petit coquin que je suis, j’ai profité du spectacle en me penchant légèrement. Elle avait dû deviner que je la matais, car elle exagérait ses mouvements. Quand nous sommes arrivés au-dessus de notre bureau, nous avons cherché la fuite. À la faveur d’un passage sous un gros tuyau d’aspiration, un courant d’air chaud m’a fait profiter d’une vue imprenable sur le haut de ses cuisses. Un bonheur !
Nous avons localisé la fuite et nous avons refait le même chemin en sens inverse et à nouveau : wouff, j’ai plongé du regard sur son entrejambe. Cette fois, je n’en pouvais plus.
Ma main a pris la direction de ses fesses et les a caressées vigoureusement. Ça l’a d’abord déstabilisée, j’ai eu peur qu’elle ne crie… Heureusement, elle a semblé adorer ça. Elle s’est retournée et est venue m’embrasser à pleine bouche.
Elle m’a glissé à l’oreille : « Je suis excitée comme une chienne, baise-moi ici ! »
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Mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai soulevé sa jupe et je lui ai caressé le minou à travers son string blanc déjà tout trempé. De son côté, elle a ouvert ma braguette et sorti mon pénis qui réclamait de l’air. On se masturbait mutuellement en s’embrassant de plus en plus fort. Nos langues jouaient l’une avec l’autre.
Soudain, elle s’est accroupie devant moi et a commencé à poser de petits bisous sur mon pénis. Puis, elle a gobé mon gland en me masturbant. Elle jouait avec sa langue et sa bouche, mon sexe était dur comme de la pierre. Que c’était beau de voir coulisser ses lèvres si douces sur ma queue !
Je l’ai arrêtée, craignant d’arriver trop vite. Je l’ai retournée. Elle a pris appui sur le gros tuyau d’aspiration. Elle s’est penchée en avant et a écarté les jambes. À mon tour, je me suis accroupi et j’ai léché sa fente par-derrière. Ma langue lapait ses lèvres et s’aventurait de temps en temps vers son petit trou. Elle n’avait pas l’air habituée à ça, mais semblait apprécier.
Elle mouillait abondamment. On aurait même cru percevoir un bruit de clapotis sortir de sa chatte. Elle s’est laissé aller à un premier orgasme sans se soucier de savoir si on allait nous entendre d’en bas. Son plaisir était trop fort ! « Viens me prendre, je veux te sentir en moi !« , m’a-t-elle supplié. Je ne me suis pas fait pas prier.
J’ai présenté mon sexe à l’entrée de son vagin et je l’ai pénétrée tout doucement… Puis plus en rythme ! Je lui pelotais les seins, je les écrasais comme des fruits trop durs et elle adorait ça : « Vas-y baise-moi fort, je suis ta petite chienne ! »
J’ai continué à la limer, tout en commençant à jouer avec son anus. D’abord un doigt puis deux. Je faisais des cercles. Son anneau se dilatait. « Tu veux goûter à la sodomie ? »
Excitée comme une puce, elle n’a pas pu refuser. J’ai posé ma queue à l’orée de son petit trou. Et doucement, je l’ai pénétrée, centimètre par centimètre. Pendant que je la sodomisais, sa main droite jouait avec son clito. Quel spectacle grandiose ! Il y avait de l’orgasme dans l’air. Elle a joui une deuxième fois, encore plus fort que la première. Et moi, dans un râle incontrôlable, je me suis laissé aller en elle. C’était si bon de la remplir du fruit de ma jouissance !
Je me souviendrai longtemps de ma charmante stagiaire qui, entre nous, a eu une très bonne note à son rapport de stage…