Sex(e)agénaire

La rédaction 10 mars 2024

Renaud, 35 ans, libère une femme en manque de sexe en lui mettant deux doigts dans le petit trou.

Sex(e)agénaire

Bonjour à votre équipe, vous êtes super ne changez rien. Je m’appelle Renaud, je suis marié et j’ai 35 ans. Je fais partie d’une association. Au moment des déclarations d’impôts, j’ai aidé Ghislaine, une superbe femme, une veuve de 66 ans. C’est une amie de la mère de mon épouse. Début février, elle m’a invité chez elle un samedi après-midi. Quand je suis arrivé, je l’ai complimentée en toute innocence : « Tu es très belle aujourd’hui. » Elle portait une jupe, des bas et un chemisier laissant deviner sa généreuse poitrine, elle n’avait pas de soutien-gorge, juste un maillot de corps en dentelle. Voici mon histoire de sexe.

Pause café, pause doigté

Quand on en a eu terminé avec les dossiers, elle m’a proposé un café. Elle m’a parlé de son veuvage, de sa solitude, accentuée par son âge avancé, et même (ses joues ridées ont un peu rougi) de sa frustration. J’ai pose la main sur son genou, le coeur battant à fond la caisse, et j’ai commencé à caresser sa peau avec mon index. Ghislaine a frémi mais n’a pas bougé. Les cinq doigts se sont mis à remuer ensemble, à ramper le long de la cuisse, ont atteint le temple, se sont glissés sous la culotte gainante en épais coton.

Il faut avouer que j’ai toujours été attiré par les femmes plus âgées que moi. En l’occurrence, ma vieille amante avait de beaux restes. Et ce qui a vraiment été une grande surprise, c’est qu’elle était intégralement épilée. Je l’ai déshabillée en la couvrant de caresses. Elle baissait les yeux, mais avait des petites réactions qui me montraient qu’elle éprouvait des sensations agréables. Ses paupières se sont presque entièrement refermées quand je lui ai massé le clitoris, écartant de temps en temps ses grandes lèvres qui bâillaient. Je lui ai appuyé sur les épaules pour qu’elle s’agenouille en face de moi, j’ai défait tous les boutons de mon jean en une fois, et j’ai frotté ma bite entre ses deux gros seins aux tétons comme des raisins secs.

Larmes de jouissance

Je l’ai enlacée et je l’ai rejointe à terre. J’ai écarté ses jambes de façon assez brusque. Ma tête a plonge entre ses cuisses et je l’ai léchée. Elle mouillait peu, mais c’était bien suffisant. J’ai glissé mes doigts au fond d’elle, elle a laissé s’échapper les premiers bruits de contentement. Je sentais qu’elle avait tellement manqué de sexe qu’elle serait prête à tout. Je l’ai retournée et je lui ai léché l’anus. Elle ne bougeait pas beaucoup, mais ses faibles soupirs me renseignaient sur la jouissance qu’elle éprouvait. C’est comme si elle allait rattraper tous ses orgasmes manqués des dix années passées.

J’ai glissé deux doigts dans son petit trou, d’abord les premières phalanges et, au fur et à mesure que son anneau se dilatait, je les ai enfoncés au plus profond d’elle, jusqu’à l’articulation entre le pouce et la main. Là, ses yeux se sont ouverts en grand, comme si elle ressuscitait, et elle a eu une sorte de hoquet, très impressionnant, et des larmes ont dévalé le long de ses joues. Je l’ai tendrement prise dans mes bras en couvrant son front de baisers. Le soir, je me suis masturbé en y repensant.

(Image à la une : Getty Images)

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« Avec lui, je me suis vraiment sentie salope et je l’ai autorisé à me sodomiser. Il a pris le temps de me préparer l’anus avec sa langue, puis avec ses doigts lubrifiés. Cette fois-ci, je n’ai pas eu mal malgré son organe qui affichait une taille au-dessus de la moyenne. » Jos.

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« Moins d’un quart d’heure plus tard, nous étions en pleine nature, dans la voiture et nous nous embrassions fougueusement à pleine bouche. Sa main était dans mon chemisier. » Martine.


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