Léchette et mat
16 août 2021Alicia et moi, vieux couple ensemble depuis toujours, partageons une passion pour les jeux d’échecs. Mais pas que pour ça, sinon on s’ennuierait pas mal ! Non, à 67 ans, on aime aussi la gaudriole, le cul, la dépravation ! Mais nous avons mis longtemps à nous dévergonder. Pour cela, il nous a fallu une rencontre avec des nanas plus entreprenantes que nous. Plus audacieuses, surtout, plus suceuses, euh… soucieuses de se faire du bien ! Et ça nous a bien réveillé la libido, alors nous avons pris la plume pour vous en faire part. Je m’appelle Jacques et voici mon histoire porno.
L’échauffement
Nous appartenons donc à un club d’échecs dans notre région, c’est notre passion et nous en faisons très souvent. Nous sommes d’ailleurs les meilleurs de notre club, si bien que ça nous vaut d’être des petites stars dans notre groupe de joueurs. Les deux seules qui arrivaient à nous défier étaient Rita et Maéva, un couple de femmes quinquas que tout le monde admirait pour leur classe légendaire. C’étaient des femmes très grandes aux cheveux courts, genre un peu masculines, dominantes, mais aussi avec des formes, de la poitrine, et un côté très sûr d’elles qui les rendait irrésistibles. Ma femme Lina les adorait.
Un soir, nous avons organisé un petit tournoi, mais comme il faisait très chaud ce jour-là, beaucoup de monde avait annulé. Sauf Lina et moi, et Rita et Maéva. Nous avons donc changé de partenaire pour une fois, et séparé les couples. Ma femme a joué avec la belle Rita, grande brune genre James Bond girl à la coupe garçonne. Et moi, avec Maéva, blonde aux yeux bleus et au corps renversant.
Je sentais ma femme toute excitée par la situation et on se jetait des petits clins d’oeil en rigolant. Rita draguait carrément ma nana. Ça faisait rire tout le monde car elle ne s’en cachait pas. Dans l’intimité de notre quatuor, les deux lesbiennes ne s’en voulaient pas d’être crues. “Je parie que Jack (moi) te lèche jamais, ça te ferait pas de mal qu’une femme comme nous te montre vraiment ce que c’est.”.
C’était dit avec tellement de naturel que nous avons trop ri ! Ça m’a excité et j’ai commencé à bander, de même que j’ai vu ma Lina commencer à se tortiller sur sa chaise. Maéva aussi souriait en regardant sa femme entreprendre la mienne. “ Mais vous privez pas, j’apprendrai, comme ça !”, ai-je lancé. Alors que la soirée était bien avancée, les deux femmes se sont rapprochées de la chaise de Lina devant la table de jeu et lui ont demandé si elle voulait goûter à leur savoir-faire. Elle m’a regardé, toute rouge et je l’ai encouragée.
La pratique
Enfin il y allait avoir un peu de spectacle dans nos vies ! Les filles se sont ruées sur sa bouche, se sont embrassées sur la sienne, et lui ont bouffé le visage avec tellement de sensualité… J’en revenais pas. On était dans le local du club d’échecs où il n’y avait que du carrelage et des chaises en bois. Il y avait un petit côté BDSM dans ce dénuement et cette froideur que Rita et Maéva avaient réchauffés de leurs baisers.
Leurs mains ont caressé ma femme. Rita l’a embrassée à pleine bouche, ça faisait longtemps que je ne l’avais pas moi-même galochée comme ça ! C’était tellement bon que ma femme faisait déjà des bruits de plaisir… Pendant cette pelle de l’au-delà, la blonde Maéva caressait ses tétons et descendait sur son corps pour la frotter entre ses jambes sur sa chaise. Comme un interrogatoire avec deux fliquettes sexy qui aurait mal tourné…
Les jambes d’abord fermées de Lina, se sont retrouvées en quelques secondes grandes ouvertes à toutes ces caresses. Maéva était derrière le dossier de sa chaise et ses mains la caressaient en entourant son buste. Rita, qui l’embrassait, s’est accroupie pour se retrouver nez à nez avec sa chatte, sous sa jupe. Elle la lui a enlevée et s’est mise à lui faire un cunni qui a fait haleter ma compagne. Moi, j’ai voulu m’approcher, mais j’en ai eu l’interdiction alors j’ai sorti ma queue pour me caresser tout en me régalant avec les yeux.
Ma femme a fini comme une folle dépenaillée, désormais debout près de sa chaise, un pied sur le siège, avec Maéva derrière elle qui lui mettait deux doigts dans la chatte par-derrière et devant, Rita accroupie qui lui léchait le clito sans arrêt. Doigtée et léchée par deux femmes. Meilleur que la double péné, à en juger par les cris de plaisir de ma femme, qui a joui au moins trois fois si je m’en réfère à la sonorité de sa voix.
Les corps, les bouches alanguies et béantes, leurs mains qui prenaient ma femme en étau, pressée de toutes parts, sa poitrine bandée, sa chatte prise d’assaut et son clito dévoré par un visage magnifique… C’était renversant. Je suis resté sans voix devant tant de beauté… Moi, j’avais juste ma queue pour m’amuser, mais ça avait l’air beaucoup plus drôle d’avoir une vulve ! J’ai adoré voir ma femme ainsi désirée et vénérée.
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