Les caresses d’un homme mûr
30 juin 2019Alison, 30 ans, Yvelines
Je m’appelle Alison et j’entretiens une relation avec un homme plus âgé que moi, Gilles. J’ai 30 ans, lui en a 60. C’est un ami d’ami, veuf et très seul. Je l’ai croisé à l’occasion d’une fête de famille et nous nous sommes bien entendus. Nous nous sommes mis à nous voir de temps en temps, au café ou au cinéma, car nous avons cette passion en commun. J’aime entendre ses histoires de vie et l’écouter parler de tous les films qu’il a pu voir. Au départ, il ne me plaisait pas vraiment, mais j’aimais sa compagnie, et il restait, au demeurant, bel homme. Notre amitié a grandi au fil des mois et il me disait souvent qu’il se sentait seul. Que, parfois, il avait juste envie de s’allonger quelques minutes à côté d’un corps ami. C’est souvent revenu dans la discussion et comme notre lien était très fort, j’y ai beaucoup réfléchi de mon côté. J’étais moi-même célibataire à l’époque et j’avais très envie de câlins. Être prise dans les bras d’un homme, être touchée, tout simplement. Cela me manquait et je n’avais pas envie de chercher frénétiquement un nouveau partenaire. J’ai donc proposé à Gilles que nous nous installions chez moi, sur mon lit, et que nous nous caressions simplement du bout des doigts, pour nous détendre. L’affection profonde qui nous unissait me donnait envie de lui faire du bien et l’idée de panser nos blessures par le toucher me plaisait. Il a bien sûr accepté et nous nous sommes retrouvés dans ma chambre, un après-midi.
Nous étions un peu gênés au départ, sans savoir où se mettre. C’est moi qui ai brisé la glace. Je me suis allongée en jeans et tee-shirt sur le lit, et j’ai fermé les yeux. « Vas-y », ai-je exigé. Gilles s’est mis à m’effleurer doucement le long des bras, sur les joues, les cheveux. C’était tout de suite très agréable. Comme je gardais les yeux fermés, je ne savais pas où sa main allait se poser et le frisson provoqué par cette incertitude et par son contact me causait des petites décharges de plaisir. Je me détendais. Pendant de longues minutes, il a parcouru mes jambes à travers mon pantalon, mon cou, mes épaules… J’ai eu alors envie de me déshabiller pour vraiment sentir sa peau contre la mienne. Lui est resté habillé et m’a regardée, avec beaucoup de reconnaissance, retirer mes habits. J’étais à présent en sous-vêtements et j’ai à nouveau fermé les yeux. Sa main s’est familiarisée avec chaque parcelle de ma peau.
Constatant que je me relaxais de plus en plus, il osait davantage aller autour des seins, dans l’intérieur des cuisses. Je m’imaginais que c’était à la fois lui qui me touchait et d’autres amants que j’avais connus et qui m’excitaient. J’imaginais les mains de plusieurs hommes sur mon corps malléable et accro aux caresses. Je sentais que je mouillais. J’avais envie qu’il ose poser sa main sur mes tétons ou mon sexe. Je lui faisais totalement confiance et son toucher était si doux que je m’abandonnais complètement. Pendant une demi-heure, il m’a ainsi parcourue. Tous mes sens étaient en éveil. Je me retenais de gémir et je sentais que mes joues étaient en feu. Toujours en gardant les yeux fermés, j’ai pris sa main pour qu’il la pose sur un sein. J’ai senti la pression, immobile, un peu interdite. Puis le pouce qui appuyait sur le mamelon, ses doigts qui massaient mes bouts de sein avec plus d’assurance, mais avec une infinie précaution. Le sang battait dans mon sexe et le plaisir dans mes seins gagnait tout mon ventre et jusqu’à mon clitoris. Pendant plusieurs minutes, il a excité ma poitrine. Je ne pouvais pas faire autrement que d’entrouvrir la bouche pour respirer plus fort et manifester mon plaisir. Alors, Gilles a descendu la main sur mon sexe et a caressé à travers la culotte, très légèrement. Je frémissais, j’étais au bord de l’orgasme.
Mon sexe était tellement impatient après toutes ces caresses ! Mes sens étaient si stimulés, j’étais tant parcourue de toutes les sensations provoquées par son contact, à vif, que j’ai joui presque instantanément. Ma jouissance est venue briser ce silence sensuel qui contenait ses caresses, lesquelles s’étaient finalement révélées très sexuelles. J’ai ouvert les yeux et j’ai rencontré son regard, la lumière dans ses pupilles et cette reconnaissance infinie. Je me suis endormie et il est parti. J’avais eu tellement de plaisir que je lui ai proposé de recommencer. Il m’a dit qu’il était d’accord et m’a avouée qu’il s’était branlé comme un dingue quand il était rentré chez lui, en repensant à notre séance de peau à peau. Ça m’excitait de l’entendre. Nous avons associé ce rituel à nos séances de cinéma et cela fait maintenant plusieurs semaines que dure ce petit jeu. D’ailleurs, le plaisir est toujours là. Lui continue de se branler hors de ma vue, mais je pense que je ne vais pas tarder à lui proposer d’inverser les rôles…
(Photo à la une : Getty Images)
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
« Ce jour-là, c’était un homme de presque 60 ans qui était là. Il s’appelait Julien. J’étais impressionnée, car c’est un métier très physique et il est rare de voir des hommes de cet âge aussi doués. » Louise.
« La première mi-temps n’était pas terminée quand je suis montée dans notre chambre pour me changer. J’ai enfilé mon plus bel ensemble de sous-vêtements, et après avoir hésité entre deux ou trois robes, j’ai finalement décidé de ne pas en mettre. » Audrey.
À retrouver sur notre plateforme VOD
Trois castings, trois univers… Malycia, 38 ans, est une ancienne actrice X qui a choisi interstron.ru pour faire son grand retour après 10 ans passée loin des plateaux de tournage. Victoire, elle, a 20 ans, elle est étudiante dans le sud de la France et avait envie de tourner sa première vidéo porno comme ça, par envie. Notre casteur va adorer sa petite chatte et son petit trou du cul bien serrés. Et enfin Zoé, 22 ans, barmaid, est une grande consommatrice de porno. À force de voir les autres se faire baiser à l’écran, elle a décidé de passer le cap et de se mettre à son tour face caméra.