Savoir ses leçons sur le bout des doigts
30 novembre 2024Alexia, 29 ans, et Victor son conjoint s’adonnent à un petit scénario de prof sévère et élève soumise !
Victor et moi étions en couple depuis deux ans et nous nous adonnions régulièrement à des petits scénarios coquins. Nous aimions nous déguiser et nous redécouvrir à travers de nouveaux personnages. Mais là, ce soir, il avait fait très fort ! Je m’appelle Alexia et voici mon histoire de sexe amateur !
Les prémices d’une soirée torride
Il était vêtu d’une veste à carreaux droite en laine et d’un pantalon à pincette. Il tenait à la main un petit cartable en cuir usé – celui qu’il avait lors de son premier job de consultant – et frappait la table avec cette fameuse règle en fer. Je mouillais déjà.
Je me suis assise à la table en face de lui et ai posé tous mes livres devant moi. Dictionnaire français – latin, analyse du texte de Phèdre, une encyclopédie des oiseaux… J’avais essayé de mettre la main sur les livres les plus scolaires de ma bibliothèque. J’avais retrouvé la petite jupe plissée que mon frère m’avait offerte suite à son voyage en Écosse et j’avais dissimulé mon corset noir sexy derrière un petit chemisier blanc bien sage. J’étais prête.
« Avez-vous bien révisé vos leçons, mademoiselle ? ». Victor était sec et autoritaire ! J’aimais ça ! D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu le fantasme des professeurs, des policiers et même des contrôleurs de train. J’aimais être prise en faute, et que quelqu’un me punisse, cela m’excitait terriblement. « Interrogation surprise pour contrôle des connaissances ! Quel était le prénom du marquis de Sade ? ». Mince, je n’en avais aucune idée. J’étais allée voir une exposition avec lui il y avait à peine quelques mois, mais les (nombreux) prénoms du Marquis me sont complètement passés par-dessus la tête. « Je ne m’en souviens plus », ai-je balbutié, défaite.
Un professeur bien dur
Il m’a dit de me mettre à genoux sur la règle de fer « pour me faire apprendre mes leçons ». Je me suis exécutée dans la minute. Ça faisait un peu mal aux genoux, mais c’était supportable.
« Mets tes mains derrière la tête, je ne veux plus les voir ! ». Je suis restée comme ça quelques minutes, punie. Il en a profité pour glisser sa main sous ma jupe écossaise et baisser ma petite culotte en coton blanc. Elle était trempée. Il m’a donné quelques petites claques sur le sexe. Je n’ai pu contenir quelques gémissements. « Taisez-vous, mademoiselle ! Je ne veux plus vous entendre. ». J’ai retenu tous les sons qui voulaient m’échapper. Victor s’amusait à appuyer de plus en plus fort sur ma chatte luisante de désir. Je me contenais dignement, imperturbable sur ma règle. J’étais très fière de moi !
« Bravo, mademoiselle, s’est exclamé Victor, maintenant, sur le lit ! ». Je me suis mis à quatre pattes sur le matelas et j’ai soulevé ma jupe écossaise sur mon dos. Victor m’a embrochée d’un coup. Heureusement, j’étais déjà bien lubrifiée. Je sentais qu’il prenait vraiment du plaisir en moi. « Retire ton chemisier, petite cochonne, et ta jupe d’écolière. Je sais que sous ton costume se cache une vraie et belle petite salope. ». Je n’étais plus qu’en corset noir, cambrée, le cul offert à ses à-coups. Il a délacé les nœuds de mon corset, et je me suis retrouvée entièrement nue sur notre lit. Victor m’a claqué le cul et continuait toujours de me bourriner à un rythme incroyable.
La fin de leçon
« Mets-toi sur la table ! Je veux te voir, toi, en train de te faire baiser ! ». Je me suis allongée sur les livres scolaires et les feuilles de papier que j’avais préparés pour notre scénario.
Il m’a prise par les hanches et a enfoncé sa bite en moi comme dans du beurre. La position me faisait un peu mal au dos, mais au bout de plusieurs allers-retours, je ne sentais plus rien, la douleur s’était dissipée laissant place à un orgasme montant. Il a mis une main sur ma bouche, et de l’autre a caressé mon clitoris.
« Ne jouis qu’à mon signal, petite cochonne » a-t-il murmuré à mon oreille. Je devenais complètement folle, tout mon corps convulsait littéralement. Il a prononcé le compte à rebours : « 4, 3, 2, 1 : Orgasme ! ». Il a appuyé très durement sur mon sexe, sa bite toujours enfoncée en moi. J’ai joui dans des spasmes incontrôlés de plaisir. Qu’est ce que c’était bon. Il s’est retiré et a essuyé son sexe sur ma jupe écossaise posée sur le lit. « Le prochain scénario, c’est moi la maîtresse ! » me suis-je écriée.
Moi aussi, j’avais envie qu’il soit à ma merci…
(Photo à la une : Getty Images)
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