Un scénario bien monté

La rédaction 1 juin 2017

Le scénario qu’avait prévu Georges pour donner un peu plus de piquant à sa soirée candauliste n’est pas aussi réussi que prévu. Qu’à cela ne tienne ! L’appétit sexuel de Manon, sa femme, fera de ce plan « baise » un moment mémorable pour les trois.

Ce n’était pas la première fois que Georges et moi, nous nous adonnions aux plaisirs candaulistes. Libertins de longue date, nous aimions de temps à autres, inviter un étalon à la maison pour qu’il me prenne avec avidité sous les yeux scintillants de mon cher et tendre. Mais Georges a eu un besoin impérieux d’innovation cette fois-ci ; il voulait un asiatique (d’habitude, notre choix se portait plutôt sur un beau black bien membré) et il voulait interpréter une petite pièce de théâtre.

Une façon, selon lui « de se mettre en bouche. » Il serait alors PDG d’une grosse boîte et négocierait avec un « client » pour affaires. Moi, j’interpréterais sa petite secrétaire cochonne et je faciliterais la signature du contrat. Honnêtement, je trouvais son scénario un peu facile, mais je me suis bien gardée de jouer les rabat-joie ! Il était très concentré en rédigeant les dialogues sur son ordinateur et avait du mal à cacher l’excitation que cela lui procurait.

Nous avons trouvé l’homme parfait pour jouer l’asiatique sur le Net (un trentenaire sportif), et nous lui avons proposé l’idée du scénario coquin imaginé par Georges ! Il nous a avoué avoir pris quelques cours de théâtre dans sa jeunesse et qu’il vouait une vraie passion pour les jeux de rôles. Une fois arrivé à la maison, quelques jours après notre entretien virtuel, Georges, lui a tout de suite glissé son texte entre les mains en trépignant d’impatience.

Antoine (l’asiatique) a lu sa partie pour lui faire plaisir, mais je voyais bien qu’il ne pouvait s’empêcher de sourire ! Ses répliques étaient d’un ennui mortel. « Bonjour Monsieur, je voudrais savoir si je pouvais me déshabiller : il fait très chaud dans cette salle de réunion ! » Était-ce du second degré ou est-ce qu’il n’avait réellement aucun talent d’auteur ? Nous avons échangé un regard complice avec Antoine et – face à son regard désemparé – je n’ai pu retenir un fou rire tonitruant !

Je leur ai arraché les feuilles des mains, et je me suis assise outrageusement sur les genoux de Georges, le décolleté bien ouvert. « C’est fini de jouer les garçons, on passe aux choses sérieuses maintenant ? » ai-je balancé en plantant mon regard dans celui d’Antoine. Soulagé par l’annonce de la fin de son calvaire, Antoine s’est jeté avec appétit sur mes nibards, rejoint quelques secondes après par Georges.

Mes seins étaient une de mes plus belles fiertés. Gros, ronds, pleins, durs, je sais qu’ils sont depuis toujours une de mes cartes maîtresses pour plaire aux hommes et pour les attirer dans mes filets.

Je sentais la main d’Antoine caresser avec curiosité ma petite culotte. Il était en train de repérer les fentes et les bosses, et évaluer mon taux d’humidité – je le savais. Dans un élan de témérité, il a tiré sur l’élastique et a glissé un doigt entre mes lèvres. Les hommes font toujours très attention lorsqu’ils caressent une nouvelle femme pour la première fois, ils sont parfois même un peu maladroits, vivant dans l’angoisse d’un geste trop appuyé, trop brusque… Mais Antoine a su trouver très vite le bon tempo et s’est parfaitement adapté à mon anatomie. Pendant que je me faisais gratter le minou, j’ai profité de ma main libre pour aller flatter mon homme.

Il avait son érection des beaux jours, celle qui peut durer une nuit entière.

Je peux la reconnaître à son sexe, très innervé, qui penche légèrement vers l’avant, au lieu de rester mollement entre ses deux jambes. Ça lui arrivait de temps à autres quand la situation était particulièrement nouvelle et excitante. J’étais sûre que mon petit haut de secrétaire très sage et mes lunettes y étaient aussi pour quelque chose.

Mes seins étaient une de mes plus belles fiertés. Gros, ronds, pleins, durs, je sais qu’ils sont depuis toujours une de mes cartes maîtresses pour plaire aux hommes et pour les attirer dans mes filets. Je sentais la main d’Antoine caresser avec curiosité ma petite culotte. Il était en train de repérer les fentes et les bosses, et évaluer mon taux d’humidité – je le savais.

Dans un élan de témérité, il a tiré sur l’élastique et a glissé un doigt entre mes lèvres. Les hommes font toujours très attention lorsqu’ils caressent une nouvelle femme pour la première fois, ils sont parfois même un peu maladroits, vivant dans l’angoisse d’un geste trop appuyé, trop brusque… Mais Antoine a su trouver très vite le bon tempo et s’est parfaitement adapté à mon anatomie. Pendant que je me faisais gratter le minou, j’ai profité de ma main libre pour aller flatter mon homme.

Sa queue était étincelante, elle luisait de mille feux. Elle m’appelait comme une sirène chante pour emporter son marin au fond de l’eau. Une sorte d’hypnose irrésistible. Ni une, ni deux, j’ai plongé sur le manche dans un mouvement bref et décidé. J’ai d’abord aspiré les quelques gouttes qui perlaient sur son gland, puis je me suis attelé à englober toute la tige avec ma bouche. Il l’avait bien épilée, il savait que l’on recevait du monde. Je dois avouer que sous la langue, c’est nettement plus agréable – bien que je ne suis pas contre quelques odeurs viriles qui restent parfois emprisonnées dans sa broussailleuse touffe.

Très vite, tout son membre s’est retrouvé englué dans une pâte blanchâtre, mélange de salive, de sécrétions urétales et de transpiration. Notre ami asiatique me lapait toujours comme un petit chaton, avide de sentir tous les flux de mon sexe. Sa queue était étincelante, elle luisait de mille feux. Elle m’appelait comme une sirène chante pour emporter son marin au fond de l’eau.

Une sorte d’hypnose irrésistible. Ni une, ni deux, j’ai plongé sur le manche dans un mouvement bref et décidé. J’ai d’abord aspiré les quelques gouttes qui perlaient sur son gland, puis je me suis attelé à englober toute la tige avec ma bouche. Il l’avait bien épilée, il savait que l’on recevait du monde. Je dois avouer que sous la langue, c’est nettement plus agréable – bien que je ne suis pas contre quelques odeurs viriles qui restent parfois emprisonnées dans sa broussailleuse touffe.

Je m’étais moi-même bien préparée pour l’occasion ; ma chatte était entièrement imberbe et je l’avais même parfumée avec quelques gouttes d’une fragrance intime. Mon lécheur devait bien se faire plaisir avec ces notes d’agrumes légèrement épicées. Je tenais bien fort ma petite culotte d’une main pour lui laisser tout l’espace nécessaire à un cunnilingus en bonne et due forme. Il s’en donnait à cœur joie.

Je pouvais même sentir un léger filet de bave s’écouler lentement du haut de ma cuisse jusqu’à mes bas en soie. C’était absolument divin.

J’ai abandonné quelques minutes mon Georges pour venir caresser la tête d’Antoine, telle une maîtresse encourageant son petit toutou. Il a répondu à mes caresses en me lapant de plus belle et en me regardant droit dans les yeux.

Quel regard ! J’avais l’impression qu’il allait me bouffer toute entière, sans me laisser la moindre opportunité d’en ressortir vivante !

Il me fixait avec l’intensité d’un prédateur prêt à dévorer sa proie. Cet homme aimait me goûter ? Il allait être servi !

Nous sommes montés dans la chambre pour nous mettre sur le lit. C’était beaucoup plus agréable que de rester sur un canapé trois places, et de plus – prévu dans le scénario de Georges !

En entrant dans notre « temple secret », j’ai retiré mon chemiser sensuellement en me couchant sur le lit. Là, je me suis retournée pour lécher mon homme entre ses cuisses. Georges était ravi que je m’intéresse à nouveau à sa queue. Quant à Antoine, je lui ai laissé le loisir de se repaître de ma croupe, lui laissant à la fois mon sexe et mon cul disponible. À lui de s’orienter vers l’orifice qu’il préférait lécher.

Savez-vous ce qu’il a choisi en premier, ce petit pervers ? Mon cul, bien sûr ! En entrant dans notre « temple secret », j’ai retiré mon chemiser sensuellement en me couchant sur le lit. Là, je me suis retournée pour lécher mon homme entre ses cuisses. Georges était ravi que je m’intéresse à nouveau à sa queue. Quant à Antoine, je lui ai laissé le loisir de se repaître de ma croupe, lui laissant à la fois mon sexe et mon cul disponible. À lui de s’orienter vers l’orifice qu’il préférait lécher.

Après avoir lentement tournoyé autour de ma rosette, Antoine a engouffré sa langue tout au fond de mon anus, sans plus de précaution que ça. Personnellement, je trouvais cet exercice un peu dégoutant. Georges n’aimait pas trop me « goûter » l’anus, quant à y entrer son sexe, c’était seulement pour les jours de fête.

J’imagine que l’on doit vous sembler représenter un couple assez débridé avec Georges, en nous voyant de la sorte, s’adonner à des plaisirs charnels, la queue au vent et le cul à disposition. Mais dans le quotidien, nous sommes un couple « classique ». Il est cadre dans une entreprise de grosse distribution et moi je dirige le pôle communication d’une célèbre marque de produits laitiers. Nous nous sommes rencontrés dans ce milieu professionnel qui – croyez-moi – est tout sauf « glamour », et nous ne nous sommes plus quittés depuis.

Georges a toujours voulu être un artiste, un écrivain célèbre. Il aime écrire des nouvelles érotiques et des scénarios de « films pornos ». Évidemment, les textes ne sortent jamais du tiroir où il les cache comme des trésors secrets. Mais je sais, au fond de moi, que c’est parce que « son talent » n’est pas assez développé pour en faire quoi que ce soit d’autre que de simples feuilles gribouillées à l’encre bleue. N’est pas Henry Miller ou Anaïs Nin qui veut.

Cependant, Georges avait hérité une superbe créativité érotique et il n’hésitait pas à trouver tout un tas de nouveautés surprenantes quant il s’agissait de passer sous la couette.

En particulier, je sentais qu’en ce moment même, il voyait bien qu’Antoine se sentait délaissé. « Chère secrétaire, auriez-vous l’obligeance de me laisser étudier votre cul et de prendre le sexe de Monsieur ? Je crois que personne ne s’est occupé de lui depuis le début des festivités… » Il était encore resté sur notre « jeu de rôle » du début, imperturbable. Antoine et moi avions manqué de peu d’exploser de rire à nouveau, mais nous nous sommes contentés de suivre scrupuleusement ses instructions.

J’avais le sexe d’Antoine en bouche, et Georges a enfoncé sa bite jusqu’au fond de mes entrailles.

Le chibre d’Antoine était un peu plus petite que la plupart des « queues invitées » que je côtoyais lors de nos ébats libertins. Cependant, elle avait un goût plus mielleux, plus doux… et quelque part, j’ai trouvé ça plus rassurant. Il y avait une réelle tendresse qui se dégageait de notre trio, comme si – pour une fois – au-delà de simplement baiser, nous savourions un moment de complicité. Que nous étions une bande de potes qui se connaissaient de longue date et que nous nous amusions à nous découvrir pas à pas, en étant très attentif à l’autre.

Antoine avait un corps si doux, si imberbe. Il me faisait penser à mon cousin lointain, Jules. Il était comme lui, délicat et prévenant. Je n’ai bien sûr jamais eu de pratiques sexuelles avec mon cousin, mais je dois vous avouer que l’idée m’avait déjà traversé l’esprit lors de quelques nuits passées en solitaire avec ma main droite. Je suis certain que Jules aurait été aussi bon en cunni qu’Antoine.

Ils faisaient tous les deux partis de ce genre d’homme pour qui la femme doit être adorée, choyée, bichonnée. Une sorte de déesse, un être sacré, rayonnant.

C’était complètement différent avec Georges. Il me considérait comme sa partenaire, son égal. Nous nous complétions et nous nous entraidions à merveille. Mais il faut avouer qu’à ses yeux, j’étais loin d’être « un être supérieur ». Finalement, les personnalités comme Antoine et Jules ne sont peut-être pas les meilleurs compagnons de vie, mais ils ajoutent un regain de confiance en soi à des femmes mariées comme moi.

Je contemplais le visage d’Antoine. Il avait les yeux révulsés, il s’était échappé dans un autre monde. Un long et monocorde « Mmmmmh » sortait de sa bouche légèrement entrouverte. Il savourait ma pipe comme d’autres savoureraient des tartes à la crème… Il gardait ses mains près de son corps, comme s’il ne voulait pas m’interrompre dans mes mouvements. Georges avait l’habitude de « leader » la fellation, mais Antoine me laissait faire, comme si j’étais une professionnelle.

Pendant ce temps, Georges s’affairait toujours dans ma petite chatte, plus heureux que jamais. J’entendais ses habituels petits gémissements rauques que j’aimais tant. Il passait sa main sur ma croupe de façon très affectueuse. Comme lorsque l’on félicite une belle bête durant l’effort.e contemplais le visage d’Antoine. Il avait les yeux révulsés, il s’était échappé dans un autre monde. Un long et monocorde « Mmmmmh » sortait de sa bouche légèrement entrouverte. Il savourait ma pipe comme d’autres savoureraient des tartes à la crème… Il gardait ses mains près de son corps, comme s’il ne voulait pas m’interrompre dans mes mouvements. Georges avait l’habitude de « leader » la fellation, mais Antoine me laissait faire, comme si j’étais une professionnelle.

Sa queue avait conservé toute sa splendeur, et il arrivait à taper bien au fond. Pour être tout à fait honnête, cela n’était pas très agréable voire même un peu douloureux, mais j’aimais savoir que mon homme me possédait pleinement. J’aimais savoir qu’il était à son comble de l’excitation et qu’à n’importe quel moment, il pouvait jouir et foutre tout son sperme en moi. Même s’il avait l’habitude de me prévenir avant de lâcher toute la purée.

« J’ai envie de te sodomiser ! » s’est écrié Antoine brusquement.

C’est à ce moment-là que je l’ai regardé différemment. Il n’était pas le « gentil petit garçon poli » qu’il semblait être. Il était juste un homme assoiffé de sexe.

J’avais très envie qu’il me sodomise aussi, et en accord avec Georges, je me suis cambrée à quatre pattes sur les genoux. Cette position me permettait de révéler mon très beau tatouage que j’avais fait à mes 18 ans. À cet âge-là, même si je n’avais pas encore rencontré Georges, j’étais déjà une grande amatrice de cul. J’aimais les hommes, leurs bites, leurs torses musclés, leurs poils. J’en changeais à peu près tous les mois, dès que je me lassais un peu. Avec ma plastique de petite poupée russe, il ne m’était pas très difficile d’en retrouver un autre. Je pense que très jeune, déjà, j’entretenais le goût des partenaires multiples.

Antoine s’apprêtais donc à entrer dans mon cul.

Il s’est d’abord enduit la queue d’un filet de salive, par précaution. Il y est allé très doucement, sans précipitation. Il ne savait peut-être pas que j’avais l’habitude, et que je me faisais enfiler par cet orifice presque tous les week-ends.

Sa délicatesse m’a agréablement surprise, et j’ai savouré cette pénétration tout en douceur. Georges contemplait mon visage béat en même temps, faisant glisser une mèche de cheveux rebelle derrière l’oreille.

« Et si nous te prenions ensemble ma belle ? Il doit bien y avoir de la place pour deux grands gaillards là-dedans… » J’aimais l’esprit pratique de Georges. Certes, j’avais deux orifices, mais il savait que je me risquais rarement à une double pénétration. Peur d’une trop grosse intensité de plaisir – ou de douleur – d’un coup. Cependant, j’ai senti qu’avec un partenaire aussi prudent qu’Antoine, cela serait possible.

« Ok… » ai-je soufflé, « mais on tire au hasard celui qui sera dans mon cul ! » Mon défi a eu l’air de bien amuser Georges qui a attrapé une pièce de monnaie à la va-vite dans son pantalon. « Je prends pile ! » s’est-il exclamé tout excité. Il a fait tournoyer la pièce dans les airs et l’a rattrapée avec le dos de la main. « Pile ! Oh oui ! Sans rancune Antoine ? » Je voyais Antoine un peu dépité sortir de mon cul, très doucement. « Pas de souci, elle est déjà bien dilatée… » Mes deux hommes avaient l’air de s’entendre comme larrons
en foire.

Georges s’est allongé sur le dos et je suis venue m’enfoncer d’une traite sur lui. Bien que sa bite soit légèrement plus grosse que celle d’Antoine, mon cul était tellement glissant que cela passait comme dans du beurre. Antoine s’est mis à l’avant, en me soulevant bien haut les pattes. Il est rentré, comme à l’arrière, avec une douceur et une mesure qui lui était caractéristique. C’était incroyablement bon ! Et curieusement, ce n’était en rien désagréable.

Nous sommes restés immobiles comme ça quelques secondes, Antoine penché sur moi en avant et Georges couché sur le dos à l’arrière. Ce dernier m’a soufflée à l’oreille

« C’est quand tu veux ma belle, c’est toi qui impose ton rythme… » Appuyée sur mes mains, j’ai débuté un mouvement de balancement du bassin assez périlleux. Ce n’était pas très facile, pas très précis, mais j’arrivais tout de même à sentir les deux sexes
coulisser de quelques centimètres en moi. Ils se sont mis tous les deux à gémir à l’unisson, au tempo de mes coups de reins. On aurait dû nous filmer ! La scène était très belle, très tendre.

Au bout de quelques minutes à peine, j’étais déjà épuisée ! Pas facile à tenir comme position !

« Bon les gars, il y en a un qui doit sortir de moi ? » ai-je dit, à bout de force. Georges m’a encouragée en me disant que pour une première – c’était déjà très bien. Mais c’est finalement Antoine qui s’est mis debout pour que je le suce.

De cette façon, il était beaucoup plus facile pour moi de contrôler mes montées et descentes sur la tige toujours aussi bien érigée de Georges.

« Je vais venir dans ton petit cul… » m’a-t-il prévenu, à son habitude. Et là, j’ai senti une coulée liquide et poisseuse se déverser dans mon anus ! Il avait été assez rapide.

« À mon tour ! » s’est écrié Antoine « Je vais faire le deuxième service. » Il s’est enfoncé dans mon cul souillé et en quelques allers-retours à peine, je sentais les spasmes caractéristiques d’un pénis en train de jouir.

« Bon et bien, je crois que nous avons signé au même endroit. Le deal est donc bien conclu ! » a fini par balancer Georges en riant et en serrant la main d’Antoine comme il l’aurait fait avec un partenaire commercial. Le pauvre, il n’a toujours pas lâché son scénario de départ.

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