Cours privé à domicile
6 avril 2025Didier, 43 ans à un hobby très particulier : la photo érotique amateur. Il ne s’attendait pas à ce que la prof de maths de son fils soit aussi douée pour apprendre…et se faire prendre !
Didier nous fait part de son histoire de sexe avec la prof très particulière de son fils !
Je suis l’heureux papa d’un jeune ado de 14 ans. Sa mère et moi, on s’est séparés il y a dix ans, mais on a conservé de bonnes relations. En octobre dernier, j’ai reçu un texto de sa part : “Merci de garder Sacha chez toi pour son cours particulier de maths.
À cause du boulot, je ne peux plus être chez moi avant 19 h 30 le mardi.” À 17 heures, j’ai vu arriver mon grand garçon. Sa prof de maths, une étudiante que je rencontrais pour la première fois, a sonné dans la foulée. Prof, oui, mais jeune, dans la mi-vingtaine, avec un très joli sourire et une grosse paire de seins.
À la fin du cours, mon fils est venu m’embrasser avant de rentrer chez sa mère. Je suis resté seul avec la jeune femme pour la régler et parler un peu des progrès de Sacha. Je me sentais bien en sa compagnie. Je l’ai entraînée dans un petit bavardage. Nous avons bu un verre de vin et, comme elle avait l’air d’apprécier l’environnement de mon bureau, je lui ai proposé d’y donner son cours la semaine suivante.
Le hobby du père : la photo amateur
Un jour, alors que mon fils venait de retourner chez sa mère, nous avons bavardé de mon hobby : la photo amateur.
Cela l’intéressait, elle qui se contentait d’appuyer sur le bouton. Je lui ai expliqué les techniques de base : balance des blancs, profondeur de champ, etc. Dans la foulée, je lui ai montré mon book de nus féminins et lui ai proposé de me servir de modèle pour des photos érotiques privées, en ajoutant que j’en profiterai pour lui expliquer deux-trois trucs.
Elle a rougi, elle ne pouvait plus dire un mot. Mais lorsqu’elle est partie, elle m’a lancé : “D’accord pour les photos, on verra ça la semaine prochaine, après le départ de votre fils.” Le mardi suivant, à 18 heures, je lui ai demandé de prendre quelques pauses gentiment érotiques, puis de s’installer dans le fauteuil de mon bureau et de relever sa jolie robe noire.
Ses bas noirs tranchaient sur sa chair pâle. J’ai commencé par des pauses sages, jambes croisées, puis décroisées. Sa petite culotte faisait rempart, j’étais curieux de voir son minou. Elle a fini par accepter d’écarter le tissu. Cela a suffi à mon bonheur. Le soir, je me suis longuement caressé en regardant sa chatte qu’elle avait dévoilée rien que pour mes yeux.
Des requêtes de plus en plus osées
La fois suivante, elle était nettement plus à l’aise, et j’ai compris que notre petit jeu commençait à lui faire de l’effet. En fin de séance, mon audace a grimpé d’un échelon. Je lui ai demandé si cela ne la dérangeait pas de venir la semaine d’après avec un sextoy, si elle en possédait un.
Elle m’a juste répondu : “Je verrai.” Inutile de vous dire que le mardi suivant, après son cours, au début de notre séance, mon cœur était en mode tir de kalachnikov quand je lui ai tendu une nuisette transparente à enfiler.
Nous étions dans la chambre d’amis que j’utilise pour les nus allongés. Ma modèle d’occasion avait gardé ses jolis dessous blancs, mais quand je lui ai demandé si elle avait pensé au sextoy, elle s’est levée d’un bond et a sorti sans un mot noir et argent de son sac à main.
Sans que je lui donne de directives, elle a enlevé sa culotte et a commencé d’elle-même à le passer sur son clitoris et ses petites lèvres lisses. J’étais sur un nuage. Elle semblait tellement concentrée dans sa recherche de plaisir que j’en ai d’abord oublié de prendre des photos. Mais je me suis rattrapé ensuite, lorsqu’elle a fait coulisser le petit objet dans sa jolie chatte épilée. On entendait des “floc floc”, y’a pas à dire, elle ne simulait pas, mais en gardant du recul. Comment vous expliquer… Un jeu s’était établi entre nous, avec ses conventions, et cette distance que nous nous imposions faisait partie de notre excitation.
Séance photo qui chauffe
Bien sûr, je me suis longuement branlé sur ces images après son départ. Elle devait s’en douter, vu le côté cru des photos qui n’avaient plus rien d’artistiques, mais c’était ok comme ça. J’aurais pu passer l’année sur ce mode de fonctionnement, cela me convenait.
Sauf que j’ai fini par craquer plus vite que je ne l’imaginais. Ce jour-là, elle portait des collants, mon péché mignon. Ça m’a chauffé à mort, j’ai bandé instantanément.
Nous étions dans mon bureau. Elle avait pris place dans mon fauteuil et remonté sa jupe. Derrière mon objectif, je sentais monter un bon gros barreau dans mon caleçon. Je focalisais sur ses énormes nichons qui ne demandaient qu’à sortir du décolleté de sa petite robe. J’étais dans un état d’excitation maximale.
En regardant vers mon jean, elle a remarqué ma braguette bien tendue et elle m’a demandé : “Et moi, j’ai aussi le droit de voir ?” Quels doux mots si agréables à entendre ! Des mois qu’elle me faisait bander sans me toucher, et là, allez savoir pourquoi, elle en désirait plus !
J’ai sorti ma bestiole et j’ai saisi sa main pour la poser sur mon sexe. Mais elle a voulu que je me caresse, pour voir d’abord comment je m’y prenais. Ça m’excitait encore plus, mais je n’avais qu’une envie, la déboîter !
Une jeune prof expérimentée
Après une minute de ce nouveau jeu entre nous, je lui ai demandé à mon tour de me montrer comment elle s’y prenait, elle, avec un sexe d’homme. Elle a fait quelques va-et-vient avec ses mains et a joué du bout des doigts avec le liquide séminal qui perlait en gouttes claires de mon gland. J’en ai profité pour le rapprocher de ses lèvres. Message reçu, elle l’a englouti sans la moindre hésitation.
Quelques minutes plus tard, après une poussée plus prononcée et son accord, j’étais bien au chaud, au fond de sa gorge. Elle avait trop l’air d’aimer ce qui se passait, la petite chienne ! J’ai poussé encore plus loin, je grossissais toujours et je l’imaginais trempée. Je n’en pouvais plus. Je l’ai retournée contre mon bureau, je lui ai baissé ses collants et elle m’a tendu son joli cul de princesse. J’avais tellement envie de la défoncer à ma façon que je n’ai pas réfléchi, j’ai étalé sa mouille sur son petit trou et je suis entré d’un seul coup.
Pendant que je coulissais dans son boyau, elle m’a caressé les couilles, preuve que ça lui plaisait. Puis elle s’est enfoncé des doigts dans la chatte. J’ai accéléré la vitesse, ce qui a fait claquer ses fesses contre mon ventre : “Flap, flap, flap”. Je lui donnais aussi des tapes sur ses globes. Au moment où j’ai senti que nous allions jouir, elle s’est mise à hurler sans s’arrêter !
Très vite, j’ai sorti mon sexe pour lui enfoncer dans la bouche. Elle m’a accueilli entre ses lèvres et je lui ai éjaculé au fond de la gorge. La jeune prof a continué de lécher le sperme sur mon gland et ma queue quand je me suis retiré. C’était trop bon !
Chaque mardi est désormais une fête, et la mère de Sacha est contente : notre fils a fait de gros progrès en maths !