Un amour de prof
29 juillet 2024Sophie, 21 ans, se retrouve sur la plage avec son professeur. Elle abandonne ses amis pour passer 3 jours torrides avec cette amour de prof.
Cet été, sur une plage landaise, j’ai croisé de loin un de mes anciens profs de lycée, un beau gosse d’1 m 80, latino, dont les beaux yeux verts me faisaient chavirer, au bahut. En cours, il était courtisé par une ou deux pétasses de ma classe. À l’époque, j’avais la rage en pensant au rentre-dedans d’enfer qu’elles lui faisaient, alors que ma timidité m’empêchait de lui glisser la moindre avance. Voici mon histoire de sexe.
Le hasard a voulu que nous nous retrouvions le lendemain de la plage, dans un bar de Hossegor. Il était installé au comptoir et m’a fait un grand sourire lorsque j’ai franchi le seuil. Il m’a invitée à le rejoindre. Mes amis m’attendaient au fond de la salle, mais qu’importe ! Je me suis hissée sur le tabouret libre, à ses côtés. Nous avons discuté. Ses beaux yeux verts s’attardaient avec insistance sur mon décolleté. Il faut dire que je suis une Méditerranéenne pur jus, brune et pulpeuse.
Le verre de trop
Nous avons bu de nombreux verres. J’avais éteint mon portable. J’ai collé mon nez dans mon verre quand mes amis se sont dirigés vers la sortie. Je leur expliquerais tout le lendemain… À la fermeture du bar, je n’ai pas pu résister à la tentation de prendre un dernier verre chez lui. Sitôt la porte passée, tout s’est enchaîné comme dans un rêve. Ce beau mâle d’une trentaine d’années m’a embrassée avec une délicatesse telle que j’ai étouffé un petit cri de plaisir. Il m’a posé des bisous dans le cou et sur le décolleté d’une manière très charnelle avant de me lancer un « J’ai envie de toi » torride. Mon fantasme d’adolescente devenait réalité !
Il m’a effeuillée lentement, comme si j’étais une marguerite qu’il délestait un à un de ses pétales. Il ne m’a laissé que mon string en dentelle blanc et m’a conduite dans sa chambre. Il m’a assise sur le lit tandis qu’il se désapait en prenant tout son temps, avec une assurance très virile. J’ai pu admirer ce que j’avais si souvent imaginé, en me caressant le soir, après l’un de ses cours. Il a gardé seulement son slip rouge qui protégeait ses belles formes. Il bandait déjà !
Rêve devenu réalité
Nous nous sommes enlacés. Je sentais son parfum musqué, goûtais sa peau sucrée, un vrai bonheur. Je le tenais enfin, et il allait m’offrir le plaisir que j’avais tant attendu de lui. J’ai posé mes mains sur son petit cul et je lui ai suggéré d’enlever son slip, ce qu’il a fait. Nous avons joué au jeu : tu me lèches, je te suce. Sa bite n’était pas énorme, mais elle était très belle et cela me suffisait amplement. Mon prof adoré est monté sur moi.
De ses mains expertes, il a ouvert mes cuisses, a écarté un pan de mon string et s’est introduit en moi. Ses cuisses puissantes et ciselées tapaient sur les miennes. Il a accéléré son pilonnage. Nous avons joui très vite, d’abord moi, puis lui, presque simultanément. Il a copieusement arrosé mon bas-ventre de ce breuvage sublime, dont j’ai recueilli quelques gouttes avec mon index. Je m’en suis délectée. Il a été gentleman jusqu’au bout. Je me suis sentie aimée, et non pas le « coup d’un soir ». Il m’a longuement serrée contre son torse, j’ai adoré sentir sa queue au repos contre mon ventre.
Sous la douche avec mon prof
Nous ne nous sommes plus quittés pendant les trois jours qui ont suivi. J’ai envoyé un texto à ma meilleure copine pour la rassurer, et je me suis vautrée avec délice dans les plaisirs de la chair. J’ai appris que ceux-ci ne passaient pas uniquement par le coït : je n’ai jamais joui avec autant d’intensité que sous la douche, contre sa peau huilée de musc ou d’ambre, en sentant se frotter dans la raie de mes fesses son pénis bien raide. J’adorais recevoir son gland entre mes seins, l’entendre râler en se masturbant ainsi… J’en mouille encore en l’écrivant !
Bébé, aujourd’hui, je te fais parvenir cette lettre d’amour par le biais de ce magazine coquin. Je sais que nous avons treize ans de différence, mais tu me manques terriblement. Ton corps est encore en moi. J’ai hâte de te rendre le shorty que je t’ai subtilisé et qui ne quitte plus mes nuits.
(Image à la une : Getty Images)
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Julien
Bonjour,
Voilà une histoire ou on sent encore les regrets et l’envie.