Le photographe pervers

La rédaction 17 avril 2025

Alain, 52 ans, était loin de s’imaginer que sa nouvelle profession en tant que photographe amateur prendrait des tournures très sexy !

Alain nous raconte son histoire de sexe avec une modèle très sensuelle.

Salut à tous ! Moi c’est Alain, photographe amateur depuis cinq ans. À la suite de mon divorce, je me suis retrouvé un peu seul et je suis retourné habiter dans l’appartement que j’occupais étudiant. Un petit deux-pièces à Montrouge que j’ai reconverti en studio photo. Je n’y connaissais rien au début, mais j’ai très vite appris à manier des objectifs et des logiciels de montage. Au début j’avais un peu de mal à trouver des modèles car elles ne me faisaient pas forcément confiance, mais au fur et à mesure de mes publications, j’avais acquis une vraie réputation dans le milieu…

Et c’est les modèles qui venaient désormais directement vers moi !

Une modèle très coquine

C’est comme ça que ça s’est passé avec Angélique. Elle avait littéralement flashé sur une de mes séries en noir et blanc et m’avait imploré de venir faire un shooting chez moi. Ce que je ne savais pas, c’est qu’elle était aussi très coquine. En ouvrant la porte de chez moi, elle avait un énorme décolleté et m’a directement demandé si on pouvait commencer par une série de nu. Bien sûr, j’ai accepté et je voyais bien qu’elle prenait un malin plaisir à s’exhiber devant l’objectif, à cambrer son dos, à écarter sa petite chatte.

Bref, je suis resté très pro du début à la fin du shooting. Elle devait avoir 25 ans tout au plus, j’avais l’âge d’être son père, je ne voulais rien tenter qui puisse la choquer.

C’est elle qui m’a dit : « Bon, je suis fatiguée que tu te caches derrière ton appareil photo, viens un peu t’occuper de moi ! » Je ne sais pas trop pourquoi elle avait tellement envie de sexe, peut-être était-ce l’aura que vous donne cette prestance d’artiste ?

Mais je peux vous dire qu’à ce moment, il m’était vraiment impossible de lui résister. Ma bite bandait bien fort et j’avais juste envie de la coller contre elle, son corps avait l’air si chaud. C’est surtout son petit piercing qu’elle portait sur le clito qui m’intriguait. Je me demandais quel goût il aurait au contact de ma langue…

Je suis venu le lécher timidement, je ne voulais pas la brusquer, lui imposer quelque chose qu’elle ne voulait pas. Elle s’est contentée de gémir doucement en me caressant la tête tel un petit toutou à sa maman. Bon, c’est ce qu’elle voulait, super !

Une masturbation mutuelle

J’ai remonté un peu mes lèvres et je suis venu lui lécher son petit trou du cul, elle a écartéses deux fesses pour laisser libre le passage de ma langue ! Je ne me suis pas fait prier. Elle était bien propre alors je m’en suis donné à cœur joie ! J’ai même léché un peu l’intérieur de sa rosette, même si c’était un peu plus difficile à atteindre.

Elle m’a demandé où était ma chambre, et je l’ai accompagnée jusqu’à mon lit. Là, elle a commencé à se masturber  car « je l’excitais trop » a-t-elle prétexté. Moi aussi, elle m’excitait grave ! Au point où je me suis moi aussi branlé face à elle, sans lui demander la permission en retour.

La voir, elle, si belle, se donner du plaisir sur mon lit était extrêmement surprenant, et ça a rajouté à mon excitation. Mon sexe était gonflé comme jamais. Faisait-elle subir ça à tous ses photographes ? J’espérais que non, j’aurais aimé l’avoir pour moi seul.

Je n’ai pas tardé à avoir envie d’éjaculer. Je lui ai demandé où elle avait envie que je balance ma sauce. Elle m’a indiqué qu’elle avait très envie que je lui en mette plein sur le ventre. Vœu exaucé. Je lui ai même demandé si elle avait envie que je prenne une photo d’elle comme ça… Et elle n’a pas refusé !

Je l’ai laissé continuer comme ça jusqu’à ce qu’elle ait un orgasme à son tour. Là, j’ai compris que la tension était redescendue et qu’elle allait certainement partir, retrouver un autre photographe peut-être. Mais son regard en disait long, nous n’allions plus nous voir, elle en avait fini avec moi.

J’étais un peu triste et déçu qu’elle ne souhaite pas poursuivre notre relation, mais c’était comme ça. Elle avait peut-être besoin de ça pour une raison qui m’échappait, besoin de se sentir désirée, aimée, comme une petite princesse.

Avis à toutes les jeunettes qui veulent tenter un shooting photo en région parisienne, la porte de mon studio est grande ouverte.

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