Samira fait péter le décolleté

La rédaction 4 août 2019

Samira, 23 ans, Paris.

Samira fait péter le décolleté

Salut les coquins, moi c’est Samira, je suis étudiante en vente. L’autre soir, on était de sortie avec ma sœur de cœur, Nadia. On avait besoin de se lâcher, on n’avait pas fait ça depuis longtemps. Ça a commencé dès l’après-midi. En terrasse, on a rencontré des mecs super mignons qui nous ont payé des cocktails avant de nous inviter à une soirée costumée. On s’est bien saoulées et on y est allées en taxi.

C’était dans une assez grande baraque de famille aux portes de Paris. La déco était un peu mémère, comme si une vieille femme y était morte peu de temps auparavant. Je m’attendais presque à tomber nez à nez avec son fantôme! Nadia avait l’air aussi médusée que moi : « C’est quoi cet endroit de folie ? C’est une tuerie, franchement ! », a-t-elle couiné en entrant par la grosse porte qui grinçait façon manoir hanté. Les mecs qui nous avaient invitées étaient au fond du salon près d’un bar splendide, genre art déco. Ils étaient ravis de nous voir débarquer, ils ne pensaient pas que nous allions venir. Ils étaient sapés en personnages de dessins animés. Il y avait un marsupilami, un schtroumpf et une sorte d’ours, je ne sais pas trop lequel… Je vous passe les détails, mais on a discuté pendant à peine une demi-heure quand l’un d’eux nous a proposé d’aller visiter la maison.

Ce gus ne savait même pas à qui elle appartenait, mais il en connaissait les moindres recoins, soi-disant… Bref, nous l’avons suivi et, comme j’ai vu que Nadia était très branchée par le schtroumpf, je les ai laissés ensemble pendant que les deux autres étalons m’entraînaient dans une chambre. Ce n’était pas la première fois que je me prenais deux mecs, mais ça ne m’était jamais arrivé en soirée avec des (presque) inconnus. L’ours a dézippé son costume en deux secondes et le marsupilami a eu un peu plus de mal à arracher le bas, mais il y est finalement arrivé dans un bruit de craquement. Je me suis retrouvée avec deux belles queues devant moi. Ils m’ont sauté dessus, je les avais mis en appétit en me déshabillant tout doucement. Ma robe twist est tombée au sol révélant mes jolis seins et mes dessous rétro. Ils m’ont caressée de partout, ils me tripotaient en rigolant: « Viens par-là mignonne, petit, petit, petit… « Ils avaient faim, ils en voulaient à mon petit cul de beurette. Je mouillais par anticipation. J’ai attiré mes grands méchants loups sur le lit. Ils ont commencé à me croquer gentiment, ils ont commencé à me croquer gentiment. Ils goûtaient à la came, quoi !

Je me suis allongée et j’ai pris leurs bonnes bites tour à tour dans ma bouche, j’aurais adoré nous voir de l’autre bout de la pièce. Il n’y avait malheureusement pas de miroir ! Leurs engins n’en étaient pas moins durs pour autant. Je les branlais à fond, je les voulais bien en forme. Ils ont mis des capotes et m’ont baisée l’un après l’autre et même en double pénétration, ce que je fais rarement. J’en avais trop envie ! Quand j’ai pris celui qui avait la plus grosse bite dans le cul, j’ai un peu hésité, puis j’ai craqué, j’ai tendu le derrière. Ils m’ont bien perforée comme une chienne en chaleur, c’était délicieux. Ils m’ont offert une douche de sperme pour me féliciter et la semence était au rendez-vous, j’en ai avalé un max !
Après, j’ai retrouvé ma cops qui s’était fait mettre un peu mollement par son schtroumpf. Du coup, je lui ai dit que pour moi non plus ça n’avait pas été extra… Je ne voulais pas la rendre jalouse. Nous sommes reparties en taxi une heure plus tard. J’espère que j’entendrai à nouveau parler de nos lascars, j’aimerais bien goûter un peu plus à leurs queues.

(Image à la une : Getty Images)

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