Virée alpine
13 juin 2020Marie-Pierre, 40 ans.
Je m’appelle Marie-Pierre et je viens d’avoir 40 ans. La vie n’a pas toujours été très tendre avec moi, je dois l’admettre. Du coup, quand j’ai pu vivre une expérience inoubliable, j’ai ressenti le besoin de la partager, mon histoire de sexe, à travers toi, mon magazine préféré…
Depuis mon veuvage il y a 4 ans, je me suis découvert une passion : la randonnée. Mon mari n’avait jamais été un grand marcheur ou un amoureux de la nature. C’était rafraîchissant de m’adonner à une activité qui ne me l’évoquait en rien. Et puis, ce hobby me permettait de me reconnecter avec ma sexualité, en sommeil depuis sa disparition. L’aventure a eu lieu en mai, lors d’un séjour de randonnée dans les Vosges en solo. Enthousiasmée par les paysages boisés, j’ai mis un certain temps à me rendre compte que mon corps avait du mal à tenir. Mes reins surtout me faisaient souffrir. Alors, j’ai décidé de me détourner un peu du chemin prévu, pour passer la nuit dans un refuge que j’avais repéré sur la carte en préparant ma rando du jour. En faisant le tour du pâté de maison, un drôle de bruit a attiré mon attention. Un grincement régulier. J’en ai vite découvert la source : une femme nue activait une pompe à eau pour remplir un seau, qu’elle vidait ensuite au-dessus de sa tête afin de se laver. Elle était jeune, plutôt sportive. Sa coupe à la garçonne allait bien avec son corps élancé. J’étais surtout attirée par ses petits seins qui pointaient sous l’eau fraîche. Elle était tout le contraire de moi, avec mes cheveux bruns en batailles et mes seins trop gros pour ma taille moyenne… La voir ainsi nue, au milieu de la montagne sauvage, me procurait un drôle d’effet.
La jeune femme a fini par me voir. Un peu gênée d’être surprise en train de la regarder, j’ai bafouillé une invitation à manger après sa douche. Elle n’avait amené que de maigres provisions m’a-t-elle répondu, et a donc accepté de bon cœur. Le plat de lentilles que j’ai préparé dans la cuisine spartiate du refuge nous a bien requinquées. Après avoir allumé un feu dans la salle commune où nous étions seules, Lucia m’a racontée qu’elle était kiné à Madrid, sa ville natale, et s’était lancée dans une rando d’une semaine. Nous discutions depuis un bout de temps quand je me suis rendue compte que mes reins me faisaient toujours un mal de chien. « Ça ne va pas ? », a fait Lucia en me voyant grimacer. « J’ai un peu mal en bas du dos », ai-je répondu. « Laisse-moi jeter un œil », a-t-elle murmuré. J’ai obéi.
La scène qui a suivi devait être étrange vue de l’extérieur. J’avais retiré mon haut et mon soutien-gorge bonnet F, ne portant plus que mon bermuda de randonnée, et j’étais allongée sur le ventre à côté de la cheminée sur une couverture rugueuse. Un peu comme une James Bond Girl, mais version montagne, ai-je souri intérieurement. Lucia a commencé à me masser. Quel bonheur de sentir ses paumes douces sur ma chair douloureuse.
« Tu as des mains magique », l’ai-je félicitée. « C’est le métier. Waouh, tu es toute nouée ! », a-t-elle lancé avec un air soucieux.
La belle était alors accroupie sur mes fesses et je pense qu’elle a senti que quelque chose se réveillait en moi. Une chaleur que je n’avais pas éprouvée depuis des années… Et surtout pas avec une femme ! J’essayais d’analyser ce qui m’arrivait, de prendre du recul. J’ai senti Lucia déposer un baiser sur ma nuque. « Je ne sais pas si c’est raisonnable. J’ai 10 ans de plus que toi… », ai-je bafouillé. « Tu réfléchis trop », a-t-elle fait avec son accent charmant.
Lucia a enlevé son tee-shirt pour dévoiler à nouveau sa poitrine, si élégante avec ses tétons nacrés comme des perles. Elle s’est collée contre moi et m’a forcée à tourner la tête pour l’embrasser. Nos mains se sont alors emmêlées, s’aventurant de plus en plus loin et effaçant toutes les frontières. Je goûtais avidement aux creux de ses reins, à la rondeur de ses fesses, à son corps jeune et ferme. La lumière du feu dansait sur nos peaux. La belle a semblé apprécier particulièrement mes nichons lourds, qu’elle a peloté tels des globes précieux.
Être désirée par une femme m’a fait perdre tout sens commun. J’ai osé guider Lucia vers mon bassin et elle n’a pas rechigné. J’avais besoin de sentir son souffle intense dans mon intimité… Hum, avec quelle délicatesse ma petite ibérique en a flatté la fente avec ses lèvres brûlantes, appliquant sa langue sur mon clitoris gonflé par sa tendresse ! Et avec quelle maestria elle a pénétré mon trou de ses doigts fins, variant l’angle, la pression, pour finalement atteindre mon point G en courbant légèrement son majeur ! Là, je n’ai pu qu’agripper ses cheveux courts pour enfin remplir le refuge de mes cris de jouissance. Encore tremblante de plaisir, j’ai invité Lucia à s’allonger à son tour sur la couverture. Guidée par mon instinct, je me suis calée entre ses jambes écartées. Dans cette position, j’ai frotté ma petite chatte encore toute engourdie par l’orgasme contre la sienne, que j’ai trouvée velue et trempée. Mes gros nichons bougeaient dans tous les sens, sa poitrine menue était dressée vers moi et j’ai attrapé ses cuisses pour mieux m’emboîter contre son sexe. Lucia a gémi et j’ai senti qu’elle jouissait. Accélérant le rythme, j’ai ressenti tous les soubresauts de son corps contre ma fente, lui donnant un orgasme plus fort encore à vivre que le mien.
Nous avons continué une bonne partie de la nuit, n’interrompant nos ébats que pour remettre une bûche dans le feu. Puis nous avons fini par nous endormir l’une contre l’autre, enroulées dans la couverture devant l’âtre aussi rougeoyant que nos chattes épuisées. Le lendemain, Lucia est repartie après m’avoir embrassée doucement. J’ai quitté le refuge le sourire aux lèvres, avec le sentiment qu’il me reste encore de très nombreux territoires à parcourir.
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« Je mouillais comme une folle. Ma serviette est tombée à son tour, et Peter a découvert mes seins fermes et imposants, légèrement tombants. C’est au moment où il a choisi de les empoigner que j’ai aperçu une autre personne dans le fond de la pièce : Carie, sa femme, qui nous guettait d’un oeil lubrique derrière ses lunettes. Tout s’est enchainé très vite. Les sensations restent nébuleuses en moi quand je tente d’en réactiver le souvenir… Je revois Peter qui me soulève pour me déposer sur un lavabo. Le robinet qui me flatte l’entrée de l’anus. » Cathy, 47 ans.
« Je voyais ce sexe qui entrait et sortait, Laurence gémissait un peu plus à chaque fois que la cadence augmentait. J’étais fier de ma femme, elle réalisait son fantasme et moi, je trouvais ça très excitant, magnifique à regarder. Je lui ai donné ma queue à sucer. Ses coups de langue et sa bouche qui m’aspirait me faisaient un bien fou. Henri qui lui donnait des coups de queue de plus en plus fort a fini par éjaculer en elle » Jean-baptiste, 40ans.
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Caillat
Oh que oui j’ai beaucoup apprécié leurs récits brulant…