Mon mari, ce soumis
2 mai 2019Mireille, 40 ans, Valenciennes
Il y a quelques semaines, mon mari m’a avouée qu’il avait des fantasmes de soumission. Il avait envie, au moins le temps de quelques heures, que je sois sa dominatrice, sa maîtresse, et lui mon soumis. J’ai été surprise quand il me l’a demandée, car nous n’en n’avions jamais parlé, même si j’avais remarqué son extase particulière quand je prenais l’ascendant et lui donnais des ordres pendant nos rapports sexuels. Nous avons donc établi à voix haute ce dont il avait envie et ce que j’étais disposée à lui faire. Le rendez-vous fut pris la semaine suivante, un samedi après-midi, quand les enfants seraient absents, occupés par leurs diverses activités. J’ai voulu jouer la chose à fond, alors je me suis renseignée sur Internet, j’ai lu des œuvres SM et j’ai acheté en ligne des gants noirs en latex très beaux et très chers. Nous verrions plus tard pour une panoplie complète…
Quand mon mari, Luc, est rentré à la maison après avoir déposé nos enfants, j’étais en lingerie, juchée sur des hauts talons et j’avais revêtu cette paire de gants qui était comme une seconde peau. J’ai 40 ans et j’aime beaucoup soigner mes dessous et mon apparence pour faire l’amour avec mon époux. Quand il m’a vue ainsi, il en est resté bouche bée. Il ne pouvait pas défaire son regard de mon corps. « Viens ici », ai-je ordonné sèchement. Je me sentais à l’aise dans ce nouveau rôle, je voulais voir jusqu’où je pouvais aller, car c’était un défi pour moi aussi. Luc s’est approché de moi, hésitant. « Baisse les yeux. » Yeux baissés, joues rosissantes de mon homme. « Agenouille-toi. » Il s’est exécuté. Je me suis dirigée vers la chaise qui était placée au milieu du salon, non sans avoir rangé les jouets qui auraient pu détourner notre attention de nos jeux d’adultes.
Je me suis assise sur cette chaise dans une posture provocante. J’ai écarté les cuisses, découvrant ma fente aux yeux de Luc. Ma lingerie était fendue à ce niveau et les poils surgissaient de cet entrebâillement, comme un buisson soyeux au milieu de la dentelle. Les joues de Luc se sont enflammées encore davantage et il a à nouveau baissé les yeux après s’être quand même un peu rincé l’œil. « Approche, à quatre pattes. » Mes jambes étaient de part et d’autre de la chaise et mes talons en soulignaient le galbe. Mon mari s’est approché de moi en rampant sur le sol dans une attitude docile, servile. « Lèche. » Quand il a été à la hauteur de ma chatte, il s’est frayé un chemin jusqu’à ma fente ourlée de noir et il s’est mis à lécher avec ferveur. « Mieux que ça, plus vite. Moins vite. Utilise le bout de ta langue. »
J’étais ravie de jouer la femme autoritaire et de pouvoir en profiter par la même occasion. Sa langue s’appliquait à m’astiquer le clitoris en le frappant très précisément et rapidement, comme j’aime. Le plaisir parcourait mon bassin cerné de tissus affriolants, ma peau était couverte de chair de poule. Alors qu’il gardait toujours le silence et attendait de nouveaux ordres, j’ai dit à Luc de se déshabiller. Il s’est retrouvé complètement nu devant moi, dans une grande vulnérabilité, la queue dressée entre les jambes.
Je me suis approchée. Comme il m’avait expliquée qu’il aimait les sensations de frustration, je me suis mise à passer ma main très rapidement sur son sexe sans faire durer, jusqu’à voir une expression de supplication naître sur son visage. Je ne voulais pas qu’il jouisse. Pour le punir de sa perversité, je lui ai appliqué quelques fessées retentissantes sur le postérieur. Puis, malgré un moment d’hésitation, une gifle sur le visage. Je l’ai traité de petit animal insignifiant. Plus je l’humiliais, plus il semblait excité et pantelant. Je me suis allongée sur le sol et lui ai demandé de caresser chaque recoin de mon corps. Avec une grande application, il a promené ses mains sur chaque centimètre carré de peau, a appuyé sur mes tétons comme j’aime, et a aussi appuyé ses doigts sur mon sexe, alternant les pressions et les caresses plus légères. Je m’abandonnais de plus en plus, mais je devais rester dans mon rôle de maîtresse. Je lui ai donc à mon tour ordonné de se mettre sur le dos et je me suis mise à le branler. Sauf qu’à chaque fois que je sentais qu’il allait venir, je m’arrêtais et lui mordais le cou pour détourner son attention. Le petit jeu a duré un moment et Luc semblait de plus en plus possédé par son désir.Nous ouvrions une nouvelle porte sur notre sexualité.
Finalement, je me suis postée debout au-dessus de lui, alors qu’il était toujours à terre, et je me suis mise à me masturber dans cette position, de sorte qu’il pouvait me regarder faire depuis en bas, mais avec l’interdiction de se caresser lui-même. Je me suis menée jusqu’à la jouissance en frottant énergiquement mon clito de ma main gantée qui s’activait au milieu de la dentelle et tout mon corps s’est cambré dans mes sous-vêtements qui enserraient mes formes. Le spectacle devait être joli ! Le contact du latex avait chauffé ma peau et provoqué un orgasme particulièrement intense. Quand j’ai baissé les yeux vers mon époux, il était comme sidéré, bandant plus fort que jamais. Pour le libérer, je l’ai branlé aussi énergiquement que je m’étais branlée. Sa queue s’est épanouie dans ma main et son foutre n’a pas tardé à tacher mes gants noirs.
Fou de reconnaissance, Luc s’est jeté à mes pieds en me couvrant de baisers et de remerciements pour cette séance et pour ma compréhension à l’égard de son fantasme. Je dois dire que depuis, notre entente sexuelle ne fait que s’accroître et qu’il n’a jamais été aussi bon amant.
(Photo à la une : Pexels)
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« Jean et moi bandions comme des ânes dès le pantalon retiré. Nos queues faisaient à peu près la même taille, la sienne était un peu plus poilue. Ça m’a rassuré ; ça peut paraître bête mais je n’aurais pas apprécié de baiser ma femme avec un mieux membré que moi. » Victor.
« Là, il m’a fourré son énorme queue en bouche, en me prenant par les cheveux pour que je l’engloutisse bien en entier. Il l’a ensuite retirée pour que je vienne laper ses couilles telle une petite chienne en chaleur. J’adorais quand il me prenait comme ça, aussi sauvagement. » Flora.
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