La maîtresse décolle
25 mars 2023Abdel, 41 ans, se fait draguer par la prof de son fils. Un jour, lors d’un rendez-vous, il ne peut s’empêcher de céder à la tentation.
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En tant que Marocain, j’ai toujours entendu dire que les Tunisiennes étaient les femmes les plus chaudes de la Méditerranée. J’avais déjà eu le plaisir de connaître une Grecque du tonnerre dans ma jeunesse et mon ex-femme est Algérienne. Avec elle, je n’ai jamais eu à me plaindre. Mais je teste depuis peu une belle de Monastir et je peux vous dire qu’elle est au-dessus des autres. Quand elle n’est pas au-dessus de moi !
Mon fils, M., est turbulent depuis mon divorce il y a un an. Je n’ai donc pas été surpris quand son instit’, la belle Djihane, m’a convié à un rendez-vous parent-prof. Nous avions déjà parlé pas mal elle et moi en début d’année. Elle semblait chaude, du genre à faire des regards par en dessous aux papas célibataires… Mais je n’avais pas osé la brancher plus que ça. Le jour de notre rendez-vous, j’ai quand même mis une belle chemise et mon parfum préféré.
La maitresse joue sa carte de séduction
Quand je suis arrivé à l’école de mon fils, elle était quasi vide. Il faut dire qu’il était déjà 18 h… Mais je n’ai pas senti le piège de suite. C’est en arrivant devant la salle des instituteurs que j’ai tiqué : là, carrément personne. Après avoir poussé la porte, j’ai appelé, aucune réponse. J’ai pris place sur le canapé puis j’ai allumé la télé. Un quart d’heure plus tard, alors que les lumières de l’école s’éteignaient les unes après les autres, j’ai entendu la porte s’ouvrir.
Quelle vision s’est offerte à moi ! Madame Djihane, dans une tenue qui m’a mis dans l’ambiance de suite : robe léopard, perfecto et collants pour réchauffer ses gambettes en ce mois d’octobre frisquet. J’étais servi ! Elle est venue vers moi et a souri : « Bonjour Monsieur H. Comment allez-vous ? » J’ai toussé pour m’éclaircir la gorge (et les idées). Difficile de ne pas la reluquer tandis qu’elle s’asseyait sur le canapé, tout près de moi. Quand elle a croisé ses longues jambes, la robe est remontée, dévoilant des bas… J’ai toussé de plus belle, m’étranglant à moitié. Djihane a ri puis a posé sa main sur ma cuisse. Les jambes se sont décroisées et mon regard s’est figé sur son antre, totalement dévoilé. Pas de culotte, une simple bande de poils rasés et une chatte bombée à souhait…
Je n’avais donc pas rêvé : lors de notre rencontre, elle m’avait bien dragué. Tout en remontant sa main le long de mon pantalon, la maîtresse a murmuré : « J’ai pensé que vous me recontacteriez. Mais comme rien ne venait, j’ai pris les devants. » Sa main était désormais au niveau de mon sexe en érection. J’ai pensé tout bas que j’aurais dû repasser à la maison prendre une douche : j’avais eu chaud pendant cette interminable journée passée en réinterstron.ru et cela devait fouetter là-dedans. J’ai commencé à gamberger sur le sujet, mais la belle qui me malaxait ne faisait que rendre l’érection plus solide. Quand elle a dégrafé mon fute et sorti l’engin, il perlait déjà…
Baisée dans la salle des profs
Djihane a poussé un soupir de satisfaction puis s’est penchée sur mon zob. Ses bruits de bouche montaient dans la pièce, couvrant le son de la télé. Des gémissements humides quand elle s’est mise à nettoyer ma queue collante avec sa langue, puis des glouglous quand elle l’a avalée toute entière, couilles comprises ! Après dix bonnes minutes de plaisir, Djihane s’est levée, a remonté sa robe et s’est assise dos à moi, me présentant son cul bronzé. Elle avait dû s’exposer nue au soleil cet été : seule sa raie était plus claire, le reste ressemblant à un pain d’épice moelleux à souhait. Pendant que je massais ses miches, Djihane a écarté sa vulve et s’est empalée sur mon pieux. Tout de suite, elle s’est mise à brailler. J’ai prié pour qu’elle n’attire aucune femme de ménage dans la salle des prof… Elle m’aurait trouvé les yeux aux ciel, mains vissées sur les hanches de la maîtresse, en train de lui ramoner la chatte façon tunnel. Quel kif, putain !
Mais la catin en voulait plus. Elle s’est désemmanchée pour se mettre dans l’autre sens et j’ai pu faire glisser les bretelles de sa robe, dévoilant ses mamelles. Là encore, j’ai trouvé du ferme et du bronzé, que j’ai léché pendant que Madame s’en refoutait plein la chatte : en un tour de poignet, elle m’a guidé en elle et s’est mise à onduler. Il nous a fallu moins de 5 minutes de cette position pour être au bord de l’extase… La bouche ventousée sur les tétons de Djihane, je l’ai suppliée d’accélérer. Elle s’est empalée de plus belle, m’obligeant à décharger. Elle a suivi. Mes mains ont alors cherché ses fesses et j’ai senti son petit anus palpitant sous l’effet de l’orgasme…
Quand nous avons quitté la salle, les lieux étaient totalement vides. Madame Djihane en a profité pour me faire faire un tour du propriétaire et a pris la pose dans l’école, jouant même avec un petit sextoy qu’elle planquait dans son sac à main. En repartant, elle me l’a confié et m’a dit : « Tu as les photos dans ton smartphone et mon odeur sur le gode. Quand tu en auras assez de te branler dessus, appelle-moi ! » J’ai tenu trois jours…
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