Orgasme en cuillère

Je suis une femme de 45 ans et j’ai toujours eu beaucoup de mal à jouir. Je n’ai pas dû tomber sur les bons partenaires… Et puis, j’avais du mal à communiquer sur mes envies, je faisais des blocages. Mais il y a quelques années, j’ai trouvé un amant qui me fait jouir à chaque fois.  Je ne sais pas si c’est parce que je ne projette pas beaucoup d’enjeux sur lui, si c’est parce que je n’ai pas eu d’enfant avec lui, que je n’ai pas de vie quotidienne avec lui, ou parce que je me lâche plus avec un « inconnu ». Toujours est-il que, lorsque c’est cet homme en particulier qui me touche, cet homme qui appuie, ça décolle. Avec cet amant, j’ai découvert le plaisir merveilleux de la position en cuillère. C’est peut-être terriblement banal, mais c’est vrai. Voici notre histoire de sexe !

Mon corps ne peut lui résister

Quand nous sommes très excités et qu’il m’a déjà branlée ou léchée, voire après quelques allers-retours en missionnaire, je donne le signal en me retournant sur le côté dans le lit et là, il se glisse tout contre moi. Je sens nos sueurs qui se mélangent, sa bouche et sa langue qui se promènent délicieusement dans mon cou.

Il caresse mes fesses avec ses mains, entoure mon buste et mes hanches, se presse contre mon dos. Il passe une main par-dessus pour venir caresser mes seins. Moi, je suis toute trempée. Je n’ai alors qu’à cambrer un peu le bassin pour ouvrir le passage à sa queue bien bandée. Et c’est là qu’il m’enfile, collé contre moi, et fait des va-et-vient entre mes jambes à demi-serrées, dans le passage étroit de ma foune, de sorte que je puisse ressentir chaque pénétration de façon intense. Comme un long serpent dans mon passage secret qui viendrait en mordre chaque recoin, en caresser chaque morceau de sa peau visqueuse. Les coups de boutoir de sa queue dans ma chatte quand nous sommes en cuillère me provoquent un plaisir décuplé.

La queue au fond de ma chatte

Je ferme les yeux et j’imagine qu’un autre homme s’occupe de moi en même temps. Mon mec branle mon clito et mes tétons d’une main, tout en continuant à me baiser par-derrière et à s’enfoncer dans mes tréfonds humides. Je cambre de plus en plus et je gémis, sa main frotte, frotte, frotte et c’est, en effet, comme s’ils étaient deux. Mes tétons bandent, mon clito bande, sa bite bande et me culbute dans un bruit liquide et c’est délirant comme le plaisir monte en flèche, déjà allumé par nos précédentes caresses. Il sent le moment qui précède l’orgasme et il caresse très rapidement mon clito en ralentissant un peu la pénétration pour ne pas jouir trop vite. C’est comme si on agitait un très bon repas sous le nez de mon vagin. Il salive et il a envie de tout dévorer, vite, vite. Puis, quand je sens l’orgasme monter et exploser en moi, il accélère et, tout en me branlant, il me baise par-derrière et donne des coups de queue de plus en plus vifs. Je suis alors tellement branlée et baisée, mon sexe est un tel vivier de flammes de plaisir, que je jouis en hurlant et je manque à chaque fois de réveiller tout l’immeuble. J’ai essayé de reproduire cette position avec mon mari, mais ce n’est pas la même chose… Alors je garde mes sessions « cuillère » pour cet amant, dont je crois, je ne me lasserai jamais.

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