Cul d’enfer
24 août 2023Idris, 38 ans, nous raconte ses ébats avec une invitée au corps presque parfait. Voici son témoignage.
Un restaurant marocain où je suis invité, il y a deux ans environ, mes amis sont sur place, l’ambiance est festive jusqu’à ce que la musique s’amplifie et qu’arrive « Khadija et sa chorégraphie féérique » !En costume complet, c’est-à-dire à moitié nue, avec ses pampilles en cuivre sonores et étincelantes, elle m’a subjugué. Lorsqu’elle est revenue au bar en tenue civile, je suis allé lui offrir un verre. Voici mon histoire de sexe.
Le beau cul de madame
Une heure plus tard, j’abandonnais mes potes pour aller chez elle. Après la danse du ventre, elle est passée à la pole dance, vêtue d’un top noir transparent et d’un tanga en dentelle qui lui rentrait bien dans le cul et montrait bien plus qu’il ne cachait. Ses seins énormes aux grosses soucoupes brunes gigotaient et ballottaient dans tous les sens, j’ai sorti mon portable et j’ai eu son assentiment pour la prendre en photo, je n’ai pas arrêté de toute la soirée et j’ai eu raison, vu ce qu’elle m’a offert jusqu’au bout de la nuit.
Transpirante, Khadija m’a convié à la suivre dans sa salle d’eau, j’ai pu assister ainsi à sa douche durant laquelle elle a pris soin de relever ses jambes souples et de se glisser des doigts dans la fente comme dans l’anus, j’allais bientôt avoir la confirmation qu’il s’agissait bien là d’une invitation à lui défoncer le petit, et plutôt deux fois qu’une ! Me voyant humer sa culotte restée au sol et comprenant que son fumet intime me transportait, la coquine l’a renfilée prestement et s’est jetée sur son lit en m’exhortant à venir lui brouter le minou à travers le tissu. Elle mouillait à fond et son jus imbibait le coton pour finir par ruisseler dans ma bouche. Je me suis tortillé pour me foutre à poil tout en continuant de lui bouffer la chatte.
Mais elle avait envie d’autres plaisirs que ceux prodigués par ma langue, elle a fait tomber son tanga et son visage d’ange s’est tourné vers la tête de lit, elle m’a présenté son cul, des fesses incroyablement bombées, fermes, séparées par une raie profonde et sombre. Ses jambes se sont écartées, écartées, écartées, jusqu’à ce qu’elle soit sûre que je vois tout de son intimité. Je ne pouvais rien rater, ni de sa chatte ouverte comme une jolie moule bien cuite, rose et perlante d’une eau saline et abondante, ni de son anus, œil cyclopéen, brun intense lorsqu’il était au repos, laissant un carmin humide apparaître quand elle poussait sur son sphincter.
Queue à la main
L’invite que j’avais devinée lors de ses ablutions sensuelles deviendrait-elle réalité ? J’ai avancé ma queue vers son vagin, elle l’a saisie d’un geste précis et a commencé à la faire aller et venir de haut en bas, se caressant le clitoris avec mon gland pour mieux parcourir le sillon de sa foufoune avec ce dernier, et elle remontait de plus en plus haut, jusqu’à dépasser son périnée.
Tant et si bien que je me suis retrouvé inexorablement pile au centre de sa petite rondelle. J’ai fermé les yeux en priant d’avoir capté les bons signaux, je m’apprêtais à pousser gentiment mon bassin afin de tenter un embryon de sodomie, doux et hésitant. C’est tout le derrière de Khadija qui, sans que j’aie le temps de ne rien comprendre, s’est reculé d’un coup ! Son anneau s’est dilaté, a roulé, tendant à l’extrême la circonférence anale bicolore et enserrant la base de mon pieu avec une violence inouïe.
La queue au fond du cul
Une fois bien empalée, elle s’est relâchée, j’ai senti l’étau se détendre et elle m’a demandé de l’enculer, précisant que je pouvais « y aller franchement » ! Ses jolies mains fines aux ongles aiguisés ont empoigné ses deux ballons de chair pour que je puisse m’enfoncer le plus loin possible, son trou s’est ouvert et m’a accueilli avec une facilité qui démontrait une grande habitude de se faire prendre par là.
Une aubaine pour moi qui n’avait que peu pratiqué l’anal. Khadija mouillait même du cul, lubrifiant de plus en plus ma bite que je faisais entrer et sortir avec de plus en plus de vitesse et de force. Elle a joui sans même se caresser, comme ça, d’un coup. Son corps s’est mis à chalouper, elle s’est plaquée à mon pubis, mon vit a été aspiré comme sous l’effet d’une ventouse, j’ai senti des contractions loin dans son ventre puis elle est revenue à sa posture initiale pour que je recommence à la prendre.
J’étais ébaubi par son appétit sexuel, j’ai pourtant un membre assez long et plutôt large, ce qui rebute la plupart de mes amantes en général, mais Khadija semblait insatiable et me montrait par sa gestuelle qu’elle en voulait encore ! Je l’ai enculée quasiment toute la nuit, elle a eu je ne sais combien d’orgasmes et j’ai fini par juter tout mon foutre au fond de son rectum !
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