Une chatte assoiffée
11 août 2023Maria, 26 ans, mariée, part à la rencontre d’un autre mec dans un lieu romantique. Cette dernière s’est fait défoncée la minette avant de se faire sodomiser.
Cette histoire se passe pendant le premier confinement, le plus strict de tous. Je vivais sous le même toit que mon mec de l’époque, mais nous étions un peu en froid. Voici notre histoire de sexe. Rester à tourner en rond à la maison ne nous a pas beaucoup aidés et c’était un peu la soupe à la grimace tous les jours. Il dormait souvent sur le canapé. Je n’avais qu’une envie : m’échapper.
J’ai trouvé refuge sur les réseaux sociaux. Je me suis alors mise à discuter avec un homme que j’avais trouvé en ligne. Ses photos donnaient envie, il était franchement canon et sexy. Il était plus âgé que moi, dans la quarantaine, ce qui m’attirait aussi car je trouvais mon copain de mon âge plutôt immature.
Attirée par un autre
Nous nous sommes mis à discuter nuit et jour, c’est devenu comme une drogue pour moi ou en tout cas, ça me donnait une raison de me lever le matin. Nos conversations avaient le don de me faire me sentir vivante dans ce moment d’apathie extrême. Assez rapidement, les discussions ont dérapé vers quelque chose de plus intime. Je me suis mise à faire des rêves érotiques sur lui et à les lui raconter chaque matin. Je lui décrivais toutes nos aventures imaginaires nocturnes. Je rêvais qu’on se retrouvait dans la nature, qu’il me plaquait contre un arbre et que je goûtais enfin à son corps qui me faisait tant envie sur les photos.
Je me laissais aller à ses bras. Il me retournait et me baisait contre cet arbre jusqu’à me faire gémir, à en faire s’enfuir les oiseaux de la forêt. Mes petites histoires l’excitaient beaucoup. La tension sexuelle a eu le temps de monter pendant toute la durée du confinement, jusqu’à la date fatidique de la levée des restrictions. Nous avons décidé de nous retrouver en cachette de nos conjoints respectifs, pour voir si la réalité serait à la hauteur de notre fantasme. Il m’a donné rendez-vous sur une aire de parking, au beau milieu de la nature.
J’étais intriguée. Allions-nous faire ça dans sa voiture ? Quand je suis arrivée, j’ai vu qu’il avait en fait une caravane ! Ce serait bohème, mais confortable. J’ai été émue de découvrir son visage et son corps en chair et en os. Notre désir l’un pour l’autre était bien là, ce n’était pas qu’une illusion créée par la distance entre nous. Il m’a fait monter dans son bolide. C’était un peu artisanal, mais ça ferait bien l’affaire. Il m’a fait asseoir sur une banquette dépliée qui servait aussi de lit. Je sentais qu’il avait envie de me manger toute crue, mais il a su garder quelques manières. Il faisait très chaud là-dedans, mais quand il m’a proposé un soda, nous savions tous les deux que ce n’était pas ça qui nous rafraîchirait. Je sentais la sueur entre mes jambes, et je ne savais plus si c’était de la sudation ou de la mouille, car j’avais moi aussi envie de passer rapidement sur les civilités, pour enfin pouvoir me le taper.
Une chate bien trempée
Après tout ce temps …Y’a pas à dire, la frustration et l’attente font grimper le désir puissance mille. J’ai posé mon soda. En lui souriant, j’ai dit que j’avais chaud et j’ai lentement retiré ma robe tout en le regardant.
Il a posé son verre et a posé ses mains sur moi. Il m’a étreinte et m’a donné un baiser de cinéma. Il me trouvait si belle qu’il a voulu me prendre en photo, ce que j’ai accepté, flattée. Les caresses ont vite mené aux choses dont on avait parlé et qui nous avaient fait fantasmer tous les deux. Il s’est positionné en 69 au-dessus de moi et j’ai vu sa belle queue se diriger vers mon visage. Je l’ai happée avec une sincère envie. Il s’est mis à coulisser dans ma bouche et j’ai senti chaque petit relief de son sexe sur ma langue.
J’aimais le contact si intime de cette caresse. De son côté, il prenait des photos tout en me prenant la bouche, puis il a posé son téléphone pour me gratifier d’un cunni aussi généreux que ma fellation. J’ai continué à le sucer dans d’autres positions, couchée la tête entre ses jambes, lui au- dessus de moi à me tirer le portrait. J’avais tellement imaginé la texture de son corps que je me régalais en prenant enfin contact avec lui. Sa queue était longue et bien ferme. Pendant que je le suçais, il prenait toutes sortes de positions acrobatiques pour me prendre en photo jambes et fesses écartées. D’une main, il tenait mon cul ouvert, de l’autre, le téléphone, pour voir mes trous qu’il convoitait. J’étais devenue sa chose.
La chatte et le cul bien baisé
Je me suis assise sur le lit dans une position avec les jambes repliées, comme une petite grenouille. Il s’est introduit en moi, et j’ai regardé son sexe entrer tranquillement dans mon vagin, où le plaisir m’a tout de suite irradiée de ses ondes magnétiques. Il a voyagé lentement en moi, afin que je ressente chaque mouvement, en pleine conscience. C’était bien mieux que le boum-boum auquel j’étais habituée, beaucoup plus sensuel. Il m’a ensuite prise en levrette puis, avec la même sensualité, il m’a sodomisée d’une manière très douce qui m’a donné la sensation de planer, tant c’était tendre et bien amené.
C’était si bien effectué que je n’étais pas gênée des photos de ses diverses pénétrations, j’étais contente qu’il veuille ainsi me posséder dans sa galerie d’images personnelles. En tout cas, cette étreinte était à la hauteur de mes rêves de confinement. Nous ne nous sommes jamais revus après ça, mais grâce à lui, le déconfinement a vraiment eu un goût de foutre et de liberté.
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