Triolisme marocain

Maroc, Terre de Feu !

Je me souviens de ces vacances et de ces photos, nous avions réalisé un périple à travers le Maroc en camping-car avec Sandrine, mon épouse encore aujourd’hui. C’était il y a vingt ans. Le séjour avait mal commencé puisque je m’étais luxé un genou et ma jambe droite était immobilisée dans une orthèse peu confortable. Mais les surprises des voyages viennent souvent de l’imprévu. Pour nous il s’est matérialisé en une belle rencontre : Jérémie et Fred. Deux jeunes baroudeurs qui, comme nous, sillonnaient le pays avec leur sac à dos. Ils avaient réussi à se trouver une petite piaule pas chère pour une semaine à Essaouira. C’est là que nous les avons croisés sur la plage. Alors que j’étais coincé sur la plage, ils ont longuement joué dans l’eau avec Sandrine, et en fin de journée, ils nous ont conviés à partager leur repas. Nous étions déjà un couple libre à l’époque et j’ai compris très vite que ma femme avait envie de s’amuser. Nos deux compères n’en sont pas revenus lorsqu’elle a enlevé son maillot de bain à peine le pas de leur porte franchi, un matelas était installé par terre, elle s’y est vautrée, écartant les cuisses pour inviter nos nouveaux amis à la découvrir de plus près. Voici mon histoire de sexe.

Sandrine, Jérémie et Fred

Leurs shorts tombés au sol, ils se sont rués pour la rejoindre et l’ont caressée avec l’empressement de la jeunesse, Sandrine s’est vue, en quelques minutes, un sein dans chacune de leur bouche et tous les trous investis d’un ou plusieurs doigts ! Elle a calmé les ardeurs de ses prétendants en leur promettant qu’il y en aurait pour tout le monde et s’est mise à quatre pattes pour pomper les deux demies molles qui ne demandaient qu’à bander plus dur.

J’ai sorti mon appareil photo et j’ai commencé à les matraquer. Qu’elle était belle, ma charmante épouse, le cul bien relevé, son anus et sa fente déjà prêts à subir toutes les agonies possibles ! Sandrine a toujours été très sensuelle et cela se ressent encore plus lorsqu’elle suce. Je voyais sa petite tête aller et venir, de bas en haut et de gauche à droite, alternant la queue qu’elle recevait dans sa bouche gourmande.

Puis l’un des deux garçons, ayant eu son compte, s’est penché pour goûter les doux secrets de Sandrine. On reconnaît vite un “bouffeur de cul”, celui qui n’a pas de réticence à aller fouiner partout dans l’entrejambe d’une femme. Je crois que c’est Fred qui a honoré ma chérie, cunnilingus et feuille de rose, tout y est passé. Plus il doigtait ma bien-aimée, plus il la léchait, plus il bandait. Sa queue était un petit boudin épais planté au milieu d’une touffe de poil pubien exubérante.

Une partie de jambe en l’air partagé

Sandrine, la chatte et la raie trempées de ses sécrétions intimes et de salive, était toute chose quand elle s’est tournée sur le dos afin de recevoir les premières pénétrations. Jérémie s’est installé entre ses cuisses qu’elle a relevées au maximum en ouvrant son sexe avec ses doigts, elle a gémi fort lorsqu’il l’a prise direct jusqu’à la garde ! La suite a été un déchaînement. Sous l’intensité de la jeunesse et la fougue de l’inexpérience, il a juté en quelques minutes, incapable de retenir son éjaculation. Fred s’est un peu moqué de lui, mais il n’a pas fait mieux sous la pipe que lui a administré Sandrine et il lui a giclé dans la bouche à l’en étouffer tant son jet était puissant et volumineux.

Je continuais mes prises de vue. Sandrine les a invités à aller profiter d’une douche fraîche et elle est venue me sucer pendant que nos éphèbes recouvraient leurs forces. Lorsqu’ils sont revenus, ils étaient d’attaque. Ma moitié a abandonné ma queue pour aller de nouveau s’amuser avec celles de nos amis et ces derniers avaient visiblement une idée derrière la tête. Les caresses se sont très vite focalisées sur la petite pastille tant convoitée par les hommes.

Après de nouveaux jeux de langue pour s’assurer de la vigueur des érections, ils ont enfin eu accès au Graal. Sandrine leur a demandé de s’allonger et de se laisser faire. Ils ne se le sont pas laissé dire deux fois ! Elle a enfourché le premier et d’une main autoritaire s’est logé son vit dans le cul, d’une traite ! J’ai entendu l’heureux élu gémir en sentant sa bite absorbée par le conduit serré, puis cela a été le tour de l’autre jusqu’à ce qu’aucun des deux ne puisse plus tenir.

Le premier s’est de nouveau répandu en une très jolie faciale sur le visage de Sandrine, le second a été pompé par cette dernière jusqu’à la moelle et elle a avalé tout son foutre. Elle m’a aussi soulagé en me branlant pendant que je matais cette superbe pipe impériale et que Fred prenait les ultimes photos de cette séance épique !

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