Un plan cul parfait pour Noël

Je suis excité à l’idée de vous raconter mon histoire de sexe pendant les fêtes de fin d’année. La scène se passe après les fêtes de Noël. Dans mon quartier, il y avait deux jeunes femmes qui faisaient du porte-à-porte pour récupérer des emballages, du papier-cadeau et des décorations pour faire du recyclage.

J’avais entendu parler de leur initiative dans le journal local et j’avais préparé un carton pour elle. Je suis un homme de 35 ans, célibataire et plutôt seul depuis ma rupture, alors j’étais plutôt content d’avoir un peu de visite après les fêtes.

Des culs très provocateurs

Les filles ont fini par sonner chez moi, une après-midi sous la neige. C’étaient deux blondes de 25 ans, joviales et rigolotes. En les voyant, je suis un peu sorti de ma torpeur pour me présenter à elles sous un meilleur jour. Je les ai invitées à entrer et leur ai proposé du thé épicé et des gâteaux.

Elles sont restées discuter avec moi puis je leur ai fait visiter ma maison, car elles étaient impressionnées par son architecture et par le design d’intérieur, qui est mon métier. J’étais assez flatté qu’elles me témoignent autant d’attention. Le lendemain, j’ai eu la surprise de recevoir à nouveau leur visite, cette fois-ci pour récupérer le sapin, dont j’avais prévu de me débarrasser aussi.

J’avais l’impression que c’était plutôt un prétexte pour revenir me parler. Elles semblaient être des partenaires malicieuses, liées par une amitié forte et plus que cela, du genre à faire les quatre cents coups ensemble. Elles avaient
indiscutablement une idée derrière la tête en rentrant chez moi. Alice et Zoé, mes deux nouvelles amies, étaient assez séductrices avec moi. J’en étais de plus en plus flatté. Et un homme flatté n’offre pas beaucoup de résistances à deux jolies filles.

Un plan cul improvisé

Nous avons discuté pendant deux heures en buvant du vin chaud et je leur ai parlé de mon ex-copine. « On a un petit cadeau de Noël en retard pour toi », a fini par lâcher Zoé. C’est à ce moment-là, sans crier gare, qu’Alice s’est

déshabillée pour découvrir son corps tout menu, harnaché d’une sorte de body léger BDSM avec des fils qui lui ornaient la peau, du plus bel effet. « Avant la fin de l’année, on a pris comme résolution de se taper un mec toutes les deux », m’a informé son amie. Leur porte-à-porte avait servi de repérage.

En somme, j’avais gagné au loto, en ayant été désigné comme cible de leurs ardeurs. « Si tu es d’accord, fais ce qu’on te dit », a-t-elle ajouté. C’étaient des petites dominatrices en puissance ! Je me suis déshabillé sur leurs ordres pour me tenir nu, debout près de mon sapin désormais inutile, un peu embarrassé mais très excité par la tournure des
événements. Zoé s’est mise à me prendre en photo. J’ai un instant soupçonné un traquenard quand Alice s’est avancée vers moi.

Mais elle m’a pris dans ses bras, m’a embrassé et caressé, s’est frottée à mon torse velu. Je me suis laissé aller à cette étreinte soyeuse. Elle a glissé à mes pieds pour me prendre en bouche tandis que son amie nous photographiait. Celle-ci a tourné autour de nous pendant que je me faisais sucer pour faire des prises de vues depuis plusieurs angles, contre-plongées, de côté…

Elle était la caisse enregistreuse de mon plaisir. Je ne sais pas où elles avaient déniché ce petit scénario toutes les deux, mais elles avaient de la suite dans les idées ! Puis Zoé m’a donné son téléphone pour prendre moi-même des photos de ma compagne sexuelle en pleine action.

Je me suis retrouvé à prendre Alice en levrette et en photo dans mon salon, sur mon lit, dans un peu toutes les pièces de la maison, ne sachant plus où donner de la tête, pendant que Zoé la voyeuse nous regardait tel un chef opérateur sur un tournage de film porno. J’étais entré dans une autre dimension du plaisir, celle du plaisir scopique, à voir ces deux corps de femmes danser autour de moi, sur ma queue ou à mes côtés. Elles étaient comme deux fées de Noël qui étaient venues me dire que ma solitude était terminée.

Un Noël plus que parfait

C’est Zoé qui a pris le relais de sa copine en m’ordonnant de m’allonger sur mon lit pour m’escalader et me chevaucher sans ménagement. Ces femmes savaient vraiment ce qu’elles voulaient et elles étaient venues le prendre sans autre forme de procès. Zoé s’est pénétrée avec mon sexe et j’étais son gode humain.

Elle me prenait en elle, tournoyait au-dessus de moi, ondulait du cul et des hanches sur mon corps comme sur un cheval à bascule sur lequel elle aurait fait du rodéo. Alice a pris le pas pour faire les photos. Leurs chattes et leurs corps étaient similaires, souples, avides, déterminés et entêtés dans leur plaisir. J’ai tâché d’exaucer leur vœu en tenant mon érection le plus longtemps possible… Moyen en quoi j’ai terminé cette année littéralement épuisé.

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