J’ai offert une pipe à un inconnu !

La rédaction 7 mars 2023

Anne, 46 ans offre une fellation à un homme qu’elle croise tous les matins avant de se rendre à son travail, peu avant de lui offrir sa chatte dans une chambre d’hotel.

Tous les jours, je vais boire mon café avant d’aller au travail et tous les jours, je le voyais, lui aussi avec son expresso bien serré. J’avais très envie d’une histoire porno avec lui. Ni beau, ni laid, je ne l’ai remarqué que parce que nous avions les mêmes horaires, des yeux bleus magnifiques cela dit et une assurance charismatique dans tous ses gestes. Un mâle sans aucun besoin de faire quoi que ce soit pour finalement sortir du lot. Malgré ses presque cinquante ans, il a fini par m’attirer comme un aimant. Il ne m’ignorait pas, mais ne m’adressait jamais la parole. C’était la clef ! Un matin, c’est moi qui ai pris l’initiative, un simple « bonjour ». Il m’a saluée en retour, sa voix était grave, chaude à fondre, je lui ai dit que j’avais envie de lui, il a souri et m’a répondu que c’était réciproque. Il aurait la pipe ! Le soir même nous nous donnions rendez-vous dans un hôtel, nos corps étaient embrumés du voile de la sueur de notre journée, il sentait bon, il aimait mon odeur. Les préludes olfactifs sont mon absolu, si les fragrances d’un homme me plaisent, le chemin du plaisir est déjà pour moitié parcouru.

Corps à corps

Nous nous sommes embrassés, longuement, découvrant plus avant les formes de l’autre. Bientôt j’ai senti une pression appuyer sur mon ventre, il bandait et la promesse était visiblement de taille. Sa main s’est glissée dans l’entrebâillement de mon chemisier afin de gagner mes seins lourds et fermes. Il a fait montre de maîtrise et d’expérience, pas de malaxage ridicule, il s’est aventuré en effleurements légers, faisant réagir la pointe de mes mamelons pour finir par les pincer avec beaucoup de précautions tout en venant me mordiller le lobe d’une l’oreille. Comment avait-il découvert les sésames déclenchant mes humidités intimes ? Il m’a laissé mon string et mon petit caraco et j’ai enfin vu son pieu. Comment en parler autrement ? Sa queue était impressionnante et quelle érection ! Je lui ai demandé s’il accepterait que nous nous prenions en photo, histoire de graver cette première fois à vie. Allait-il aimer ma manière de le caresser, allais-je trouver, à mon tour, les portes d’accès à son plaisir ?

Fais- moi monter au septième ciel

J’ai laissé s’exprimer mon instinct, à son instar j’y suis allée tout en douceur, ma langue s’est faite plume pour s’immiscer sous sa hampe, il a frémi, j’étais sur la bonne voie. Mes doigts ont frôlé ses bourses jusqu’à son anus, il a ouvert les cuisses, mes lèvres se sont insinuées partout, je voulais le saturer de sensations. J’ai enfin pris son magnifique sceptre en bouche, volumineux et chaud. Tandis que je le suçais, il a recommencé son exploration de mon corps. Plus intime, plus pénétrante cette fois, il a joué un peu avec mes tétons, s’est aventuré sur mon nombril et a caressé délicatement le sommet de ma raie fessière. Encore une de mes zones hautement érogènes. J’ai senti le tissu s’écarter pour libérer mon sexe, il voyait tout de moi, j’étais folle de désir et ma fente coulait. J’ai accéléré les mouvements de tête, parvenant tant bien que mal à accueillir ce chibre conséquent dans sa totalité au fond de ma gorge. Lui, avait désormais entamé, d’un simple doigt, une danse de saint Guy sur mon clitoris, bonté divine ! Quel touché ! Quelle délicatesse ! De sa pulpe il allait puiser à ma source, lubrifiant par la même ma perle sensible. Il m’a amenée au plaisir ainsi, juste en faisant des cercles autour de mon bourgeon, sans le triturer ou appuyer fortement dessus, en le dessinant avec précision, terrible !

Toujours aussi dur entre mes lèvres, il était temps de l’accueillir dans une autre partie de mon corps, je me suis offerte en levrette, je le sentais visuel autant que tactile, j’ai eu raison. De nouveau, à genoux devant mes orifices abandonnés à son regard, le feu a gagné mon bas-ventre, je savais qu’il me dévorait des yeux et j’adorais cette sensation. Cela a duré longtemps puis il a caressé ma fente de son gland, je coulais, tellement cette merveilleuse délicatesse était infernale de sensualité. Lorsque son pieu s’est enfoncé en moi, toutes les fibres de mon corpsréclamaient cette pénétration profonde et intense, il m’a donné un nouvel orgasme, sans me secouer en tous sens comme certains bourrins pensent qu’il faut baiser une femme. Un artiste.

J’ai repris son dard pour le sucer et le faire jouir dans ma bouche, sa semence était douce-amère, onctueuse, j’ai tout avalé.

Depuis cette première fois, ce rituel se déroule toutes les semaines, il a mille façons de m’offrir des voluptés plus fortes les unes que les autres, je ne m’en lasse pas. Mon mari a parfaitement su comment relancer ma libido avec ce joli scénario et puis l’hôtel nous fait un prix pour la chambre !

A lire aussi: 

Sex au septième ciel

Sa queue adorée

Sperme, son péché mignon


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru