Offerte à un inconnu dans les toilettes

Bonjour, ici Sandrine, 42 ans, brune plantureuse et amatrice du magazine interstron.ru et voici mon histoire de sexe.

L’inconnu des toilettes

Un soir lors d’une fête de village sur le lieu de mes vacances, alors que je m’amusais avec mon amant de 20 ans de moins que moi (le fils de ma meilleure amie), j’ai remarqué la présence d’un homme une trentaine d’années, assez banal physiquement, qui me regardait avec insistance. J’essayais d’ignorer le regard de cet inconnu qui me troublait malgré moi.

Plus tard alors que la fête se terminait, je me suis rendue aux toilettes. Je me lavais les mains quand la porte s’est soudain ouverte à la volée. L’homme se trouvait là, derrière moi, me scrutant dans le reflet du miroir. Je me suis retournée, me retrouvant contre lui. Sans un mot, il m’a pris la main et m’a attirée à l’intérieur des toilettes. Il a fermé le verrou. Sa bouche gourmande s’est posée dans mon cou, j’ai senti ses lèvres chaudes descendre dans mon décolletté. J’aurais dû me débattre, crier, mais je restais là, appréciant le contact de cet inconnu. Il a déboutonné ma robe jusqu’en bas et sorti mes seins du soutien-gorge. Il les a regardés, soupesés, avant de les malaxer fortement.

Mon inconnu m’a ensuite soulevé une jambe pour poser mon pied sur la cuvette. Il a écarté l’élastique de mon string avant d’enfoncer deux doigts. Malgré ma honte, c’était déjà bien humide. J’ai senti ses doigts me fouiller, son pouce sur mon clito gonflé. Il me regardait, ses yeux fixaient mes lèvres entrouvertes qui laissaient échapper des gémissements de plaisir. Sentant mon excitation monter, il a accéléré, étouffant mes cris de jouissance en m’embrassant. Il a retiré ses doigts de mon intimité brûlante, les a portés à ma bouche. J’étais là, les cuisses encore ouverte à lécher ses doigts trempés de ma mouille.

L’homme s’est écarté de moi et est ressorti des toilettes sans un mot me laissant seule et encore tremblante. J’ai refermé le verrou le temps de reprendre mes esprits et de remettre de l’ordre dans ma tenue. Apres m’être rhabillée, j’ai observé mon visage dans le miroir, me demandant si je n’avais pas rêvé. Le rouge de mes joues, mes yeux brillants et mes lèvres gonflées étaient la preuve que tout cela était pourtant bien réel. Cet instant n’avait duré que quelques minutes, mais j’avais l’impression que le monde s’était arrêté de tourner.

Je rejoins ensuite mon amant

J’ai rejoint mon petit amant, Yannis en regardant autour de moi, mais aucune trace de l’inconnu nulle part. Sur le chemin du retour nous étions main dans la main dans une ruelle, il m’a demandé si tout allait bien, je lui ai répondu que oui en lui souriant. Apres nous être assuré que nous étions seuls, il m’a attirée contre lui et m’a embrassée en me pelotant les fesses à pleines mains. Ma main a caressé sa belle érection naissante à travers son bermuda. Il m’a retournée, a soulevé ma robe et pénétré ma chatte, déjà bien accueillante… Il était très excité. Après quelques coups de queue, il m’a fait mettre à genoux devant lui et s’est vidé dans ma bouche.

Ensuite, nous sommes rentrés, exténués par cette soirée pleine d’émotions. Mon sommeil a été très agité. Tout se mélangeait dans mes rêves, l’inconnu, Yannis… Après avoir réfléchi, j’ai décidé de ne pas parler de ce qui s’était passé dans les toilettes à Yannis. Après le petit déjeuner, nous sommes allés à la rivière pour profiter de l’eau fraîche en cette journée qui s’annonçait très chaude. On s’est installés sous un arbre, sur une couverture dans un endroit tranquille. On s’est passé de la crème mutuellement avant d’entrer dans l’eau. Nous étions en train de barboter quand je me suis aperçue que l’inconnu était là, assis à nous observer ! Je ne sais pas si Yannis l’avait vu, mais ça l’a pas empêché de me serrer contre lui, de m’embrasser et de caressé mon dos nu. Je lui ai signalé la présence de cet homme, il m’a répondu qu’il allait finir par partir. Je me suis éloignée des bras de Yannis pour calmer ses ardeurs, mais c’était sans compter la fougue de son jeune âge… Je l’ai senti dans mon dos, son sexe était dur et frottait contre mes fesses sous l’eau. J’étais face à mon inconnu les seins à l’air, il ne perdait pas une miette du spectacle.

Yannis m’a fait face, il m’a pris les jambes pour m’accrocher à sa taille et il a sorti son sexe pour me pénétrer debout au milieu de la rivière. Ses mains sous mes fesses me faisaient monter et descendre le long de son membre tendu. Je regardais l’homme. Il se branlait pendant que je prenais du plaisir à me faire baiser par mon amant. Yannis nous a emmenés jusqu’à la rive, il m’a allongée et pilonnée avec vigueur. Nous avons joui ensemble, serrés l’un contre l’autre. Quand je me suis relevée, l’inconnu n’était plus là… Nous avons ensuite passé la journée à lézarder et nous baigner.

Yannis m’a annoncé qu’il devait me laisser, il m’a donné une adresse à laquelle je devais le rejoindre pour 20h. Je suis rentrée me préparer pour mon rendez-vous. Je m’attendais à un resto chic. J’ai donc délaissé ma robe d’été et mes ballerines, pour une robe moulante qui mettait mes courbes généreuses en valeur, des talons hauts, un léger maquillage et un peu de parfum. Je me sentais nerveuse en me rendant à l’adresse indiquée, je craignais (ou espérais) croiser l’inconnu. Je suis arrivée en voiture devant une grande porte. J’ai vérifié l’adresse encore une fois et j’ai frappé. Yannis m’a ouvert, une rose à la main. J’étais surprise par le lieu, mais ravie de le voir là, aussi beau dans son costume en lin beige.

Il m’a demandé de le suivre à l’étage. Je n’arrêtais pas de poser des questions auxquelles il ne répondait pas. Il a ouvert la porte d’une grande chambre, j’allais le suivre quand il s’est retourné et m’a regardée bizarrement. « Il t’a plus mon cadeau ? » Je ne comprenais pas de quoi il parlait… Jusqu’au moment où il m’a fait entrer dans la pièce. L’inconnu était là, assis dans un fauteuil, je regardais tour à tour l’homme et Yannis. J’avais du mal à comprendre. « J’espère que j’ai réussi à réaliser ton fantasme mon ange ? » Je n’arrivais pas à articuler un mot, mes pensées se bousculaient dans ma tête. J’avais bien dit à Yannis mon envie qu’un inconnu me fasse jouir, mais je n’aurais jamais pensé qu’il organiserait tout ça pour me satisfaire ! « Je te présente Paul un ami. Tous les deux, nous allons te baiser comme une reine. Je crois me souvenir que c’était sur ta liste aussi, non ? »

Il m’a embrassée, j’étais sous le choc ! Paul s’est levé du fauteuil et il est venu refermer la porte derrière moi. Je me suis retrouvée entre eux. Yannis me caressait le visage pendant que Paul dégrafait ma robe. Elle est tombée à mes pieds, me laissant en dessous de dentelle et talons aiguille. Mon amant m’a attirée vers lui, s’est assis au bord du lit en sortant son sexe déjà dressé et m’a demandé en souriant : « Suce-moi, ma salope. »

Il a attrapé mes cheveux et engouffré son sexe dans ma bouche pendant que Paul à genoux derrière moi, me retirait mon string pour mieux goûter à mes orifices. Ses mains écartaient mes fesses, sa langue se faufilait en moi, mes gémissements étaient étouffés par le membre de Yannis qui coulissait profondément, aidé en cela par ma salive qui coulait le long de sa bite. La langue de « mon inconnu » a eu raison de moi. Un orgasme a parcouru tout mon corps. Je me suis écroulée sur le lit. Le temps que je retrouve mes esprits mes hommes s’étaient mis nus. Paul s’est allongé. À quatre pattes entre ses jambes, je pouvais enfin bouffer son sexe, lui rendant ainsi tout le plaisir dont il m’avait gratifiée depuis notre première rencontre. Yannis s’est placé derrière moi, il m’a pilonné la chatte en me malaxant fermement les seins. Ses coups de reins rythmaient la cadence de la pipe que je prodiguais à mon « inconnu ».

Voulant profiter à fond de toutes les possibilités que la situation m’offrait, j’ai pris l’initiative de venir m’empaler sur le sexe tendu de Paul, offrant mon cul à mon chéri. Penchée sur Paul, j’ai écarté mes fesses à pleines mains pour faciliter le passage de la grosse bite de Yannis. Je me sentais écartelée entre ces deux queues ! Je n’avais jamais été aussi remplie. Doucement nos corps se sont mis à bouger en cadence. Nos gémissements, nos respirations redoublaient en même temps que la puissance de leurs bites qui me défonçaient. Paul a joui en déversant son foutre au fond de la capote que je lui avais enfilé. Yannis m’a attrapé par les hanches, son ventre claquait contre mes fesses de plus en plus vite m’arrachant des cris, mélange de douleur et de plaisir… Nous avons continué jusqu’au petit matin à essayer de multiples positions. Je ne saurais pas dire combien de fois j’ai joui avant de m’endormir épuisée, souillée, mais comblée. Quand je me suis réveillée dans les bras de Yannis, Paul n’était plus là. Il y avait un petit mot sur la table de chevet : « Merci, à bientôt peut-être pour d’autres fantasmes… »